VRTH : gouvernement Hors la Loi – action FV BZH

Les Faucheurs et Faucheuses volontaires de Bretagne ont organisé ce samedi 27 novembre des caravanes qui ont sillonné la Bretagne pour rappeler par voie d’affichage que

le gouvernement n’a toujours pas exécuté les
injonctions que lui a adressées le Conseil d’État.

Gouvernement hors la loi

Le gouvernement français est hors la loi depuis plus d’un an.
Des OGM cachés (Tournesol et colza Rendus Tolérants à des Herbicides – les VRTH – ) sont toujours cultivés et consommés en France et des OGM issus de nouvelles techniques de modifications génétiques peuvent se
développer en toute opacité.

Le tract des Faucheurs et des Faucheuses d’OGM breton.ne.s :

Hors la loi
Hors la loi Communiqué des Faucheurs et Faucheuses d’OGM BZH

Lieux visités et informés :

Permanences de députés :

Châteaulin : permanence du Député Richard Ferrand

  • Député de la 6ème circonscription du Finistère
  • Président de l’Assemblée nationale
    (tout de même …)

Concarneau : permanence d’Erwan Balanant

Député de la 8ème circonscription du Finistère

https://www.letelegramme.fr/finistere/concarneau/a-concarneau-les-faucheurs-volontaires-interpellent-le-depute-sur-les-ogm-caches-28-11-2021-12876499.php

https://www.ouest-france.fr/environnement/pays-de-concarneau-les-faucheurs-volontaires-interpellent-le-depute-70688df0-4f75-11ec-b93a-6aa1b43b752b

le télégramme 29 novembre 2021

Lorient : permanence de Gwendal Rouillard

Député de la 5ème circonscription du Morbihan
LREM

Permanence du député Gwendal Rouillard – Lorient
Permanence du député Gwendal Rouillard – Lorient

Hennebont : permanence de Jean Michel Jacques

Député de la 6ème  circonscription du Morbihan
LREM

 

permanence du député Jean Michel Jacques – Hennebont

Autres lieux :

Mairie de Quimperlé pour Michaël Quernez,
Élu régional Bretagne et
Maire de Quimperlé

Michaël Quernez, Premier vice-président du Conseil régional de Bretagne, en charge de la question du climat et des mobilités, assurait le 11 novembre dernier dans les colonnes du Télégramme
« La Bretagne sera attentive à tous les engagements de la France. La Région est déjà engagée et a lancé des projets comme le Haut conseil breton pour le climat ».

https://www.letelegramme.fr/finistere/quimperle/des-faucheurs-volontaires-affichent-leur-mecontentement-a-la-mairie-de-quimperle-29-11-2021-12877872.php

 

Quimperle Mairie

Sous préfecture de Châteaulin

Sous préfecture de Lorient

Sous préfecture de Lorient

Grand théâtre Lorient

 

Plonevez Porzay

Le Faouët

(photos à venir)

Carhaix

(pas de photos, il faisait nuit)

Autres  collages :

Lorient palais des congrès

Lorient palais des congrès

EUREDEN

 

 

https://faucheurs-volontaires.fr/

15 novembre – 20h15 – Moëlan sur mer : rassemblement devant le cinéma le Kerfany –

Presse post manif

https://www.letelegramme.fr/finistere/moelan-sur-mer/environ-50-personnes-ont-manifeste-leur-mecontentement-devant-le-kerfany-a-moelan-16-11-2021-12868342.php

Communiqué des manifestant.e.s

Bonjour à vous,

Que vous soyez vacciné.e ou non,

Vous trouvez injuste qu’une partie des français soit privée de culture (bibliothèques, cinéma, musées, expositions, concerts, …) pour la simple raison que ces personnes émettent des doutes et éprouvent des craintes face à ce traitement «expérimental» qu’on veut imposer par tous les moyens, sous couvert de rengaines disant que ces injections ne seront pas obligatoires…

La France coupée en 2, des français montés les uns contre les autres, la place belle faite à la suspicion et à la délation, … ce climat ne correspond pas à la société à laquelle vous aspirez… Par respect pour la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, vous n’acceptez pas qu’un homme, une femme, un enfant, soit discriminé.e, exclu.e de toute vie sociale simplement parce qu’il/elle émet des craintes par rapport à sa santé et à la santé de tou.te.s…

Pour ces raisons (la liste est loin d’être exhaustive), nous vous appelons à rejoindre le rassemblement :

LUNDI 15 NOVEMBRE, à 20H15, à l’entrée du CINÉMA LE KERFANY, à MOËLAN SUR MER…

Lundi 15 novembre, c’est aussi la date de la prolongation du PaSS Sanitaire…

Nous en profiterons pour ceux/celles qui sont détenteurs/trices d’une carte d’abonnement à ce cinéma de se faire rembourser les places restantes sur leur carte…

Face au futur qui se profile malheureusement, nous avons peu d’espoir (on peut croire au Père Noël…) d’avoir droit à nous «culturaliser » avant fin juillet 2022.
Notre carte, valable un an, sera périmée alors… Nous n’avons aucune raison de permettre à ceux, qui nous empêchent de bénéficier de la Culture, dont nous avons le droit, comme tout un chacun… dans une société égalitaire … de faire fructifier notre pognon…

Que vous ayez une carte d’abonnement ou non, venez soutenir notre mouvement
et SURTOUT n’hésitez pas à conviez tou.te.s ceux et celles qui rêvent (et veulent) une société libre, égalitaire et fraternelle.
QUE TOUS LES DÉTENTEURS DE LA CARTE D’ABONNEMENT NE L’OUBLIENT PAS, nous privilégions cette action collective car nous savons que c’est en nous unissant, qu’un monde meilleur pourra naître… Les personnes demandant le remboursement sont les seules qui rentreront dans le hall… pour que le climat reste cordial, nous vous demandons de respecter les «consignes sanitaires»… Informez vos réseaux, ne craignez pas les doublons… personne ne vous en voudra….sauf ceux et celles qui auront pu être oublié.e.s…

Lors de ce rassemblement pacifique, vous pouvez exprimer votre désaccord, par des pancartes ou banderoles… Nous avons tou.te.s conscience que l’ignorance et la non-connaissance entraînent souvent les conflits alors que la culture est plutôt source de paix et d’alliance.

Diffusez «intelligemment» et sans modération… À lundi… PS : Bien sûr, vous avez le droit d’utiliser ce message, pour informer, même si vous le trouvez long…..
YLD

Mobilisation : pétition pour la création d’une commission d’enquête sur les déclarations d’Olivier Véran

Alerte mobilisation !

Pétition sur le site Mesopinions.com pour demander la création d’une commission d’enquête sur les déclarations d’Olivier Véran.

Pour la création d’une commission d’enquête sur les déclarations d’Olivier Véran

Auteur : Lionel

Dernièrement face aux députés (les élus du peuple), Olivier Véran a affirmé que les vaccins n’entraînent aucun effet secondaire grave et qu’il n’y avait eu aucun mort qui puisse leur être attribué.

Or les chiffres publiés par les autorités de santé française montrent officiellement le contraire, avec plus de 900 morts possibles ainsi que des milliers d’effets secondaires répertoriés…

Le ministre ne pouvait pas ne pas connaître ces chiffres; il a donc menti face aux représentants de la nation !
Cette pétition a pour but qu’une commission d’enquête soit créée afin qu’il réaffirme ses propos sous serment. S’il persévère, il s’agirait d’un parjure qui le mettrait en grande difficulté devant le peuple tout entier, ce dernier n’étant pas informé de ce qui se passe dans les hémicycles.

Merci

Mobilisation nationale contre les “méga bassines” – 6 novembre – Mauzé le Mignon (79)

Appel à mobilisation nationale le 6 novembre 2021 à Mauzé-sur-le-Mignon (79) 

STOP aux mégabassines !

RDV devant la mairie de Mauzé-sur-le-Mignon à midi

Après une première mobilisation le 22 septembre 2021 où nous avons réussi à pénétrer sur le chantier, bloquant les travaux quelques heures, nous allons repartir à l’’assaut des méga-bassines, ces projets gigantesques et dévastateurs ! Nous allons exiger l’arrêt immédiat des travaux !

Oui l’’eau est nécessaire à l’’agriculture, oui l’’irrigation peut être une réponse et un moyen pour produire mieux et employer plus.

A condition d’être dans une logique de préservation et de répartition de la ressource.

Bien au contraire, ces bassines démesurées sont un accélérateur pour un modèle simplifié et spécialisé qui conduit les paysans dans le mur et met notre environnement en danger. Tout comme les OGM ou la 3ème révolution agricole que Macron nous promet (numérique, robotique et génétique), elles mettent directement en danger notre existence.

Ce modèle cherche à s’accaparer toujours plus les communs et à s’’imposer comme hégémonique. Comme pour les 1 000 vaches, il est prédateur d’’une agriculture paysanne qui est empêchée de se développer partout et de répondre aux différents défis écologiques, alimentaires et sociaux. Et surtout, comme pour la lutte contre les fermes usines, le combat qui se mène en Poitou-Charentes sera déterminant pour la suite :

Si les méga-bassines avancent sur ce territoire, elles avanceront demain partout !

Si les accapareurs gagnent sur l’’eau, alors la brèche sera ouverte en grand pour faire de même sur le foncier, les semences, sur tous nos communs et toutes nos valeurs !

La lutte qui s’’engage là-bas est une lutte pour notre survie : survie d’’un modèle agricole qui emploie, produit et préserve, une lutte pour notre survie tout court pour éviter d’’accélérer la fuite en avant climaticide d’’une agriculture déraisonnable !

Le Comité national de la Confédération paysanne a décidé de faire de cette bataille de l’’eau le fer de lance de notre bataille pour la préservation des communs.

Cette journée fait également partie d’’un appel plus vaste : c’’est en effet le jour choisi par les organisations de lutte pour le climat comme journée internationale d’’action en marge de la COP 26 qui se tiendra à Glasgow. Ce sera donc notre mobilisation climat : plutôt que de battre le pavé à Paris ou en province, nous vous proposons cette journée de mobilisation et d’’action !

Cette action sera plus concrète, plus festive (concerts prévus le soir) et surtout plus percutante qu’’une simple marche, méthode qui semble montrer ses limites…

Le travail de formation, de réflexions et de partage d’expériences continue en interne, l’urgence de la situation ne fait que croître : ministre et FNSEA étant unis pour siphonner l’’eau au profit de quelques-uns.

Alors, les citoyennes, citoyens, paysannes et paysans de toute la France doivent converger en Deux-Sèvres le 6 novembre sur le site de la bassine en construction que nous avons occupé symboliquement le 22 septembre dernier. La seule issue envisageable est d’’empêcher cette construction pour marquer les esprits afin de stopper la multiplication de ces projets.

Nous devons être très nombreuses et nombreux et nous devrons par nos actes de résistance et de désobéissance imposer la nécessité de revoir l’’orientation prise localement et nationalement sur la gestion de l’eau.

Tous unis pour défendre l’agriculture paysanne et nos communs !

A nous de faire flotter des drapeaux jaunes partout autour de ce projet mortifère et climaticide pour continuer à porter haut et fort qu’’un autre monde est possible, qu’’une autre agriculture est possible et qu’’il est plus qu’’urgent de dénoncer ces fausses solutions qui finiront par nous perdre.

Alors surtout on ne lâche rien, on remplit les voitures, on prépare les drapeaux, et on vient toutes et tous avec détermination et conviction scander ensemble : NO BASSARAN et empêcher la construction !

    Informations:

– 4 pages sur le sujet des méga-bassines à consulter ICI pour mieux connaître les enjeux

 – Appel à mobilisation commun avec Soulèvements de la Terre, LPO et Bassines Non Merci !

https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/6-nov-manifestation-nationale-contre-les-mega-bassines

Consignes sur l’action :

Vous êtes invité.e.s à venir vêtu.e.s de votre plus beau bleu de travail, coiffé.e.s de votre plus beau casque ou chapeau bleu, et muni.e.s de votre plus beau parapluie !

Procès baillon contre l’association “Alerte aux toxiques” pour “Dénigrement des vins de Bordeaux”

Nouveau bras de fer entre l’interprofession et une association anti-phytos

AFPle 13/10/2021 à 14:58
Une association anti-phytos condamnée en février pour avoir « dénigré » des vins de Bordeaux a défendu mercredi devant la justice son « droit » à faire appel, auquel s’oppose l’interprofession au motif qu’elle n’a pas payé les dommages et continue ses critiques « illicites ».

« Cette nouvelle procédure est une tentative pour me faire taire à tout jamais, c’est une intimidation », a affirmé Valérie Murat, la porte-parole de l’association Alerte aux toxiques devant le palais de justice de Bordeaux où la question de son appel sera tranchée le 10 novembre.
Dénonçant « procès bâillon » et « grave atteinte à la liberté d’expression », environ 80 personnes étaient venues apporter leur soutien à la militante anti-phytos, à l’appel d’une vingtaine d’organisations (associations, collectifs, chercheurs).

En septembre 2020, l’association, qui lutte en Gironde contre les phytosanitaires en viticulture, avait dénoncé la présence de résidus de pesticides de synthèse dans 22 vins (dont 19 Bordeaux) certifiés Haute valeur environnementale (HVE), sur la base d’une étude effectuée grâce à un financement participatif.
Cette présence était toutefois faible et légale, selon le laboratoire lui-même, qui avait pris se..

Le tribunal judiciaire de Libourne, jugeant que la publication relevait d’un « dénigrement fautif », avait condamné en février dernier Valérie Murat et son association, à verser 100 000 euros de dommages et intérêts au bénéfice du Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) et 25 000 euros à cinq des 25 autres plaignants – châteaux, viticulteurs, appellations, négociants.

Le CIVB avait stigmatisé « une escroquerie intellectuelle » alors que la militante dénonçait un « label (HVE) trompeur pour le consommateur ». Les magistrats avaient ordonné le retrait sous astreinte de la publication contestée et assorti leur jugement d’une exécution provisoire.

Mme Murat a fait appel mais ce recours au civil n’était pas suspensif et l’association devait donc payer.

L’interprofession et d’autres plaignants ont par la suite demandé la radiation de ce recours.

En cause : des versements insuffisants et la persistance de « propos dénigrants » sur les site et réseaux sociaux de la militante, selon un courrier du CIVB d’avril qui mettait en demeure l’association d’« exécuter » le jugement.
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Film en ligne sur TV Citoyenne :

Les guerriers des pesticides, de Stephanie Muzard

Synopsis :
13 octobre 2021, les soutiens de Valérie Murat se donnent rendez-vous devant la Cour d’Appel de Bordeaux…

Avec Valérie Murat, Marie-Lys Bibérian, Benoît Biteau, Joël Labbé, Loïc Prud’homme, les victimes des pesticides, les associations Collectif info Médoc, Alerte aux toxiques, la Confédération Paysanne, Collectif Bassine Non Merci, Les Faucheurs Volontaires d’OGM, des cavistes, des paysans, des ouvriers viticoles, des artistes….

Réalisation, tournage, montage, chant et écriture parodie : Stéphanie Muzard
Durée du film : 37 minutes 41.

Images d’articles, BD et film cités : droits réservés.

Film protégé par le droit d’auteur © latelierdesmuses.com

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80 personnes pour l’AFP mais sur place on en  compte 150 …

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Association incriminée : Association Alerte aux Toxiques

Retour sur le rassemblement et l’audience du 13 octobre devant la cour d’appel de Bordeaux.

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logo du CSVPOfVLogo PIG BZH

Soutien des collectifs et associations breton.ne.s à Valérie Murat, porte parole de l’association “Alerte aux toxiques”

–> Collectif de Soutien aux Victimes des Pesticides de l’Ouest

–> Faucheuses et Faucheurs Volontaires

–> Pisseurs et Pisseuses Involontaires de Glyphosate BZH

 

Il nous paraît absolument nécessaire de dire la vérité sur le label HVE qui est du même tonneau que l’agriculture “raisonnée” du programme FARRE il y a quelques années !!!

Un déplacement de soutien à Valérie Murat a été organisé vers Bordeaux par le Collectif de Soutien aux Victimes des Pesticides de l’Ouest, le 13 octobre

Intervention de la Confédération Paysanne de Gironde

https://gironde.confederationpaysanne.fr/actu.php?id=11873&PHPSESSID=lb6p2cf04v00nrde3smf2d7tm3

Sommes nous encore en démocratie?

La Confédération Paysanne de Gironde a été de tous les combats contre les pesticides et pour la défense des victimes de ceux-ci, qu’ils soient agriculteurs ou non.
C’est pourquoi nous avons soutenu depuis le début Alerte aux Toxiques et sa porte-parole dans cette procédure bâillon intentée par l’interprofession viticole de Bordeaux, le CIVB.
Nous nous retrouvons donc devant un Tribunal où nous avions plutôt l’habitude de voir des membres du CIVB à la place des prévenus.
La Confédération paysanne vient en effet se porter régulièrement partie civile dans des affaires de fraudes sur les vins impliquant des responsables professionnels, notamment membres du CIVB.
Ainsi, les 20 et 21 septembre derniers, nous étions, ici même, au procès pour prise illégale d’intérêt de deux éminents responsables viticoles bordelais, membres importants du CIVB au moment des faits.
Cette attaque contre Valérie Murat pour dénigrement des vins de Bordeaux vient donc, pour partie, de fins experts en dénigrement des vins de Bordeaux.
Au passage, nous sommes étonnés de la rapidité de la procédure contre Valérie Murat, alors qu’une affaire de fraudes mouillant le gratin du négoce bordelais est à l’instruction depuis des années, sans aucune suites.
Chers Messieurs du CIVB, pourquoi poursuivre des gens qui ont combattu l’utilisation de produits cancérigènes et toxiques ?
Est-ce ainsi que vous pensez rehausser la réputation de Bordeaux ?
La récente conversion bio du président du CIVB ne leur donne-t-elle pas raison a posteriori ?
Alors le mieux que vous pourriez faire c’est de stopper cette procédure qui vous ridiculise et de consacrer les cotisations volontaires obligatoires à d’autres buts plus utiles.
Responsables pour une grande partie de la débandade économique des appellations de Bordeaux, vous devriez arrêter d’imputer à d’autres par des actions judiciaires les effets de vos orientations désastreuses.
Vous pourriez arrêter ces ventes de vins de Bordeaux à 1,69 euros la bouteille et permettre à la viticulture honnête de vivre dignement.
La question posée aujourd’hui devant le Tribunal de Bordeaux est de savoir si, faute de pouvoir aligner instantanément 125 000 euros, Alerte aux Toxiques perd le droit de se défendre devant la justice, dans la patrie des droits de l’homme.

Si la Cour d’appel validait une telle interprétation de la procédure, alors le risque existe que cela fasse jurisprudence.
Dans un tas d’autres affaires où de riches hommes d’affaires pourraient se sentir « dénigrés » (injustement bien sûr), les avocats les plus coûteux de France seraient mobilisés pour défendre leur noble cause et leur honneur bafoué.
On irait vers une justice à l’américaine avec son lot de cautions aux montants astronomiques. Et l’omerta pourrait enfin régner tranquillement avec l’onction de la justice.
Cette tentative de faire taire les voix non conformes vient après la création, par la Gendarmerie Nationale, de la cellule Demeter, qui sous couvert de lutter contre l’agribashing, veut interdire toute remis en cause d’un modèle agricole toxique. Cette cellule ne s’est pas activée suite aux intimidations visant Morgan Large, journaliste bretonne investiguant sur la filière agro-alimentaire de sa région.
A la Confédération paysanne, cela nous remet aussi en mémoire notre camarade de Saône et Loire, Jérôme Laronze abattu par les gendarmes le 20 mai 2017 à la suite d’un contrôle administratif illégal sur sa ferme.

Certains et certaines intellectuelles se posent la question : « Sommes nous encore en démocratie ? ».
Il est en tout cas sûr et certain qu’il y a une véritable pulsion autoritaire du système et que nous devrons nous y opposer, ici et ailleurs.

Revue de presse

https://www.lacledesondes.fr/article/proces-baillon-contre-valerie-murat-a-bordeaux-le-front-de-la-resistance

https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/vins-de-bordeaux-la-radiation-de-l-appel-de-valerie-murat-tranchee-le-10-novembre-6555048.php

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/denigrement-des-vins-de-bordeaux-valerie-murat-saura-dans-un-mois-si-elle-peut-faire-appel-1634121715

https://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/cote-chateaux/2021/10/13/manifestation-de-soutien-a-valerie-murat-devant-le-palais-de-justice-de-bordeaux.html

 

Laurent Mucchielli : “Les vaccins génétiques anti-covid sont une forme d’expérimentation médicale”

Au regard du droit européen et du droit international, les vaccins génétiques anti-covid constituent une expérimentation médicale sur les êtres humains.
Or, d’un point de vue tant éthique que juridique, nul ne peut être obligé de se soumettre à une expérimentation médicale en l’absence d’un consentement libre et éclairé.

Épisode 65

Par Alessandro A. NEGRONI, chercheur et professeur de philosophie du droit à l’Université de Genève, auteur notamment de La libertà di (non) vaccinarsi (Vicolo del Pavone, 2021). 

 * * *

L’expérimentation médicale revêt plusieurs formes, sans qu’il soit toujours possible de tracer une ligne de séparation nette et précise entre ses différentes formes et sans considérer le fait que l’expérimentation médicale n’est pas nécessairement conduite sur les êtres humains. Il existe en effet des expérimentations médicales conduites sur les animaux ou en laboratoire sans aucun cobaye), même si nous ne discutons ici que de l’expérimentation médicale sur les êtres humains (1).

Ainsi, par exemple, une distinction importante à faire lorsque l’on parle d’expérimentation médicale est celle entre expérimentation « thérapeutique » et expérimentation « non thérapeutique » (ou « pure »). L’expérimentation thérapeutique est conduite sur un individu malade et a pour but d’être bénéfique pour la santé dudit individu. L’expérimentation non thérapeutique est conduite sur un individu sain et a pour seul objectif la recherche (2).

Cette distinction est toutefois moins nette qu’il n’y paraît. Une expérimentation thérapeutique a malgré tout un objectif de recherche et on ne peut pas exclure en outre qu’une expérimentation non thérapeutique puisse être bénéfique (ne fusse qu’indirectement) aux individus qui s’y sont soumis, augmentant ainsi le patrimoine de connaissances de la médecine.

Lorsque nous conduisons une forme quelconque d’expérimentation, nous nous exposons au risque d’un dommage dont nous ignorons la nature et l’ampleur car l’expérimentation est par définition une activité que nous commençons sans en connaître les effets sur nous-mêmes, sur les autres êtres humains, sur les animaux ou sur l’environnement (3).

L’expérimentation médicale sur les êtres humains, en tant qu’elle est accomplie dans le but de vérifier les effets, l’efficacité et la sécurité d’un traitement sanitaire pour la santé humaine (sans en connaître a priori le résultat), expose le sujet humain de l’expérimentation à un risque pour sa santé que nous ignorons encore. Le « traitement » en question pouvant être, par exemple, un médicament précis, une technique médicale particulière ou, à la limite, l’absence d’intervention sur un patient.

L’expérimentation médicale sur les êtres humains se caractérise donc par l’exposition du sujet de l’expérimentation à un risque inconnu pour sa santé et certains estiment que le consentement de ce sujet soumis à l’expérimentation médicale représente sa « libre acceptation à se soumettre à une activité risquée » (4). En d’autres termes, la présence d’un risque inconnu pour la santé peut être considérée comme un « signe » caractéristique de l’expérimentation médicale sur les êtres humains ainsi que ce qui permet de distinguer l’expérimentation médicale (thérapeutique ou non) des autres interventions médicales où le patient est soumis au meilleur traitement disponible consolidé (5).

Ce n’est pas un hasard si, historiquement (depuis le Code de Nuremberg), comme l’observent entre autres Ruth Faden et Tom Beauchamp, la première et principale préoccupation morale et légale intéressant l’expérimentation médicale sur les êtres humains consiste à contrôler le « risque » pour la santé auquel le sujet humain de l’expérimentation est exposé (6).

Les vaccins génétiques anti-covid

A propos du vaccin anti-covid-19 de Pfizer-BioNTech (mais le même raisonnement s’applique aux autres vaccins anti-covid disponibles dans l’Union Européenne), nous devons observer que :

1) à long terme, les effets et les dommages du vaccin anti-covid-19 sur la santé ne sont ni connus ni prévisibles (comme l’indique d’ailleurs le point 10 du formulaire du consentement du ministère de la santé italien) ;

2) nous ignorons notamment le potentiel cancérigène, la génotoxicité et la capacité de compromettre la fertilité masculine de ce vaccin. A la page 12 de la fiche Product Information de l’Agence européenne des médicaments relative au vaccin anti-covid-19 de la Pfizer-BioNtech, il est rappelé que « Neither genotoxicity nor carcinogenicity studies were performed » (« aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée »). Et, de façon similaire, à la page 15 du Package Insert de la U.S. Food and Drug Administration, on peut lire : « Comirnaty has not been evaluated for the potential to cause carcinogenicity, genotoxicity, or impairment of male fertility » (« Comirnaty n’a pas été évalué quant à son potentiel cancérigène, génotoxique ou d’altération de la fertilité masculine ») ;

3) le vaccin anti-covid-19 comporte un risque (inconnu) pour la santé car l’efficacité et la sécurité du vaccin ne sont pas connus sur la base d’études cliniques complètes et que des données supplémentaires sont nécessaires à ce sujet. Le vaccin anti-covid-19 a en effet reçu de l’Agence européenne des médicaments une « conditional marketing authorisation » (autorisation de mise sur le marché conditionnelle) accordée par définition en se fondant sur des données cliniques moins complètes que celles normalement exigées et en présence d’un risque inhérent au fait que des données supplémentaires sont encore nécessaires. La conditional marketing authorisation est utilisée lorsque les données présentées par le producteur du médicament ne sont pas assez solides et complètes pour justifier l’approbation standard et elle permet de renvoyer une partie de la production et de l’acquisition de preuves sur les bénéfices et les risques du médicament de la phase de pré-autorisation à la phase de post-autorisation. Un médicament soumis à une conditional marketing authorisation comporte des risques inconnus pour le patient auquel il est administré. Les retards fréquents dans l’obtention par l’Agence européenne des médicaments des données complètes sur les bénéfices et les risques du médicament ont une incidence négative sur la santé publique car ils prolongent l’exposition des patients à des « risques inconnus » (7) et, dans un éditorial du British Medical Journal, on a pu observer comment « even when manufacturers do eventually provide comprehensive clinical data, it can hardly be considered as ethically and clinically appropriate that patients and their doctors have been unaware of the benefit-risk profile of medicines they have been using for a long time – over seven years in some cases » (« même lorsque les fabricants finissent par fournir des données cliniques complètes, on peut difficilement considérer comme éthiquement et cliniquement approprié le fait que les patients et leurs médecins ignorent depuis longtemps – plus de sept ans dans certains cas – le profil bénéfices-risques des médicaments qu’ils utilisent ») (8) ;

4) enfin, nous pouvons aussi rappeler comment, à propos des vaccins à mRNA et à nanoparticules lipidiques choisies par Pfizer-BioNTech et par Moderna pour leurs vaccins, certains spécialistes en biotechnologies pharmaceutiques ont exprimé des préoccupations en raison des incertitudes liées aux effets de ces nanoparticules et souligné l’exigence de conduire à ce propos des études indépendantes en vue de vérifier la sécurité et l’efficacité à long terme (9).

La balance bénéfice/risque en question

La conséquence de ce que nous avons observé dans l’ensemble est la suivante : le vaccin anti-covid-19 est une forme d’expérimentation médicale sur les êtres humains. Le cas du vaccin anti-covid-19 AstraZeneca l’illustre de façon empirique et sans équivoque possible. En mars 2021, l’utilisation du vaccin AstraZeneca, alors qu’il avait été déjà administré à de nombreux citoyens européens, est interrompue en Italie et dans de nombreux autres pays européens à cause d’effets indésirables graves signalés à la suite de la vaccination (cf. le communiqué du 15 mars 2021 de l’Agence italienne du médicament). Quelques jours après l’interruption, un communiqué de l’Agence européenne des médicaments estime que les bénéfices du vaccin sont supérieurs aux risques, reconnaît le lien possible du vaccin avec des cas de thromboses associés à de faibles niveaux de plaquettes et signale que les informations sur le produit seront modifiées. Après le communiqué de l’Agence européenne des médicaments, en Italie (comme d’ailleurs dans d’autres pays européens) l’utilisation du vaccin AstraZeneca reprend, tout d’abord pour toutes les tranches d’âge (cf. la circulaire du 19 mars 2021 du ministère de la santé italien), par la suite uniquement pour les individus de plus de 60 ans, tandis qu’aux individus de moins de 60 ans vaccinés avec une première dose d’AstraZeneca on propose (tout d’abord obligatoirement, par la suite de préférence seulement) un vaccin à mRNA comme deuxième dose (cf. la circulaire du 11 juin 2021 et la circulaire du 18 juin 2021 du ministère de la santé italien).

Au passage, nous remarquons que le vaccin AstraZeneca n’a jamais été autorisé en Suisse car l’administration suisse compétente (Swissmedic) estime que les données disponibles ne permettent pas de prendre une décision positive sur le rapport risques/bénéfices dudit vaccin (cf. le communiqué de Swissmedic du 3 février 2021). Ce qui s’est passé avec le vaccin AstraZeneca serait inconcevable pour un médicament non expérimental et incompréhensible si nous ne nous trouvions pas dans le cadre d’une expérimentation médicale.

Enfin, au moment où ces lignes sont écrites, nous apprenons que la Suède, le Danemark et la Finlande ont interrompu l’utilisation du vaccin Moderna pour les individus les plus jeunes à cause du risque de myocardite.

Conclusion

Cet article n’exprime aucun jugement de valeur sur l’expérimentation médicale sur les êtres humains. En revanche, il affirme simplement que, d’un point de vue éthique et juridique, personne ne peut être obligé à se soumettre à une forme d’expérimentation médicale (et donc aussi à ces vaccins génétiques anti-covid-19) en l’absence d’un consentement libre et éclairé.

Cela est prescrit par tous les principaux textes qui ont règlementé l’expérimentation médicale et énoncé en la matière des principes acceptés au niveau international, à partir duCode de Nuremberg (1947),décalogue des dix principes en matière d’expérimentation médicale sur les êtres humains élaboré dans le cadre du procès de Nuremberg, en réaction aux expérimentations sur des individus non consentants faites par des médecins dans l’Allemagne nazie,dont le premier principe prescrit que pour conduire une expérimentation médicale admissible d’un point de vue éthique et légal : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Et, comme l’affirment les juges, « cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée» (10).

Plus proche de nous, je rappelle la Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine (Oviedo, 1997), premier traité international approuvé en matière de bioéthique, qui, à l’article 5 « Règle générale », énonce : « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ». Le chapitre V de la Convention d’Oviedo, qui porte sur la « Recherche scientifique », établit nettement : « La recherche scientifique dans le domaine de la biologie et de la médecine s’exerce librement sous réserve des dispositions de la présente Convention et des autres dispositions juridiques qui assurent la protection de l’être humain » (Article 15 « Règle générale »). « Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies : […] iv la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ; v le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré » (Article 16 « Protection des personnes se prêtant à une recherche ») (11).

La Convention d’Oviedo a été promue par le Conseil de l’Europe et, dans la Résolution 2361 du 27 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a justement pris une position claire et nette concernant le vaccin anti-covid-19 et l’hypothèse de le rendre obligatoire.
Dans la Résolution, on peut lire : « L’Assemblée demande donc instamment aux États membres et à l’Union européenne : 7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ; 7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » et encore : « 7.5 en ce qui concerne la surveillance des effets à long terme des vaccins contre la covid-19 et de leur innocuité : […] 7.5.2 d’utiliser les certificats de vaccination uniquement dans le but désigné de surveiller l’efficacité du vaccin, les effets secondaires potentiels et les effets indésirables ».

La position du Conseil de l’Europe revêt une grande importance politique et juridique, non seulement à cause du rôle et de l’autorité de l’organe qui l’a exprimée, mais aussi car ladite position semble exprimer parfaitement, concernant le vaccin anti-covid-19, les principes énoncés dans la Convention d’Oviedo et, d’une façon plus générale, cet « esprit de liberté » qui caractérise la tradition politique et juridique contemporaine des sociétés européennes occidentales.

Même si actuellement, en France et en Italie, les gouvernements contraignent (avec des obligations directes et/ou indirectes) les citoyens à se soumettre au vaccin anti-covid-19, ceci reste une forme d’expérimentation médicale. Et, d’une façon plus générale, comme le souligne Philippe Segur (voir l’Episode 52 de cette enquête), « la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine », le tout pour répondre à une maladie (le Covid-19) qui ne représente ordinairement un réel danger que pour les personnes très âgées et/ou atteints de maladies préexistantes importantes.

Références

(1) Sur l’expérimentation médicale sur les êtres humains, même pour une ultérieure bibliographie, consulter au moins R. R. Faden, T. L. Beauchamp, A History and Theory of Informed Consent, Oxford University Press, New York-Oxford, 1986, p. 151 et s.; D. J. Rothman, Research, Human: Historical Aspects (1995) et K. F. Schaffner, Research Methodology. I. Conceptual Issues (1995, Revised by author) in S. G. Post (ed.), Encyclopedia of Bioethics, 3rd edition, Macmillan Reference USA, New York, 2004, p. 2316 et s. et p. 2326 et s.; A. V. Campbell, Bioethics: The Basics, Routledge, New York-London, 2013, p. 115 et s.; J. D. Moreno, D. Sisti, Biomedical Research Ethics: Landmark Cases, Scandals, and Conceptual Shifts, in J. D. Arras, E. Fenton, R. Kukla (eds.), The Routledge Companion to Bioethics, Routledge, New York-London, 2015, p. 185 et s.

(2) Dans le classique Principles of Biomedical Ethics Tom Beauchamp et James Childress estiment que l’expression « recherche thérapeutique » doit être utilisée avec précaution car « the term therapeutic research is potentially misleading because, when misunderstood, it draws attention away from the fact that research is being conducted » (T. L. Beauchamp, J. F. Childress, Principles of Biomedical Ethics, Seventh Edition, Oxford University Press, New York, 2013, p. 333).

(3) Voir P. U. Macneill, Regulating Experimentation in Research and Medical Practice, in H. Kuhse, P. Singer (eds.), A Companion to Bioethics, Second edition, Wiley-Blackwell, Oxford, 2009, p. 469.

(4) S. Pollo, Sperimentazione su esseri umani, in E. Lecaldano, Dizionario di bioetica, Laterza, Roma-Bari, 2002, p. 494.

(5) Dans le cas aussi du meilleur traitement disponible consolidé, il existe des risques pour la santé du patient, cependant non seulement il s’agit de risques connus, prévisibles et limités mais ledit meilleur traitement se caractérise par des “bénéfices” pour la santé du patient clairement considérés dans le secteur médical comme supérieurs aux “risques”.

(6) Voir R. R. Faden, T. L. Beauchamp, A History and Theory of Informed Consent, op. cit., p.  151-152.

(7) Comme l’observent L. T. Bloem, A. K. Mantel-Teeuwisse, H. G. M. Leufkens, et al., Postauthorization Changes to Specific Obligations of Conditionally Authorized Medicines in the European Union: A Retrospective Cohort Study, in Clinical Pharmacology & Therapeutics, 2019, p. 426 et p. 430-431.

(8) R. Banzi, C. Gerardi, V. Bertelè, S. Garattini, Conditional approval of medicines by the EMA, in British Medical Journal, 2017.

(9) Voir J. W. Ulm, Rapid response. Will covid-19 vaccines save lives? Current trials aren’t designed to tell us, in British Medical Journal, 2020 (21 December 2020); S. Tinari, The EMA covid-19 data leak, and what it tells us about mRNA instability, in British Medical Journal, 2021 (10 March 2021).

(10) Sur l’expérimentation médicale sur les êtres humains, nous pouvons au moins rappeler, non seulement le Code de Nuremberg, mais aussi la Déclaration de Helsinki (1964), élaborée par la World Medical Association, et le Rapport Belmont (1979), élaboré par une commission du gouvernement des Etats-Unis.

(11) La Convention d’Oviedo a force obligatoire sur le sol français (loi n. 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique). En Italie, la Convention a été ratifiée avec la loi n. 145 du 28 mars 2001, mais le processus de ratification n’a pas été achevé ; dans tous les cas la Convention peut et doit être utilisée comme instrument herméneutique, en ce sens que les sources internes italiennes doivent être interprétées d’une façon le plus possible conforme à la Convention (sur la valeur de la Convention d’Oviedo en Italie, cf. B. Conforti, Diritto internazionale, Editoriale Scientifica, Napoli, 2014, p. 357; A. A. Negroni, Il diritto al consenso informato nella Costituzione, in Id. (par), Il consenso informato tra bioetica e diritto, Vicolo del Pavone, Tortona, 2020, p. 107-109).

GRATUIT : le référé-type des fonctionnaires contre la suspension imposée par l’employeur

Attention

Le référé que vous introduisez obéit à une mécanique simple que vous devez bien comprendre. Il ne concerne que les fonctionnaires exposés à la suspension sans traitement, et pas les salariés de droit privé.

Rappelons qu’on entend par “fonctionnaire” tous les agents de droit public, qu’ils soient titulaires d’un concours de la fonction publique ou bénéficiaire d’un contrat avec une collectivité publique.
Mais ce dispositif ne concerne pas les salariés de droit privé.

Démarche expliquée clairement sur le site https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/17/gratuit-le-refere-type-des-fonctionnaires-contre-la-suspension-imposee-par-lemployeur/

entete

QUI TERRORISE QUI ? 20 jours contre les violences d’Etat

Organisées à Rennes du 26 septembre au 16 octobre 2021

Par le Comité de Soutien aux inculpées du 8 décembre

Comité de Soutien aux inculpé.e.s du 8/12

https://expansive.info/Qui-terrorise-qui-Discussion-criminalisation-de-l-ecologie-et-surveillance-2898

Ce cycle de rencontres autour des violences d’État sous diverses formes a pour but de partager nos résistances et nos luttes pour l’émancipation collective, et de réaffirmer que le terrorisme quotidien de l’économie et de l’état continuera d’être combattu. Il sera question durant ces 20 jours de néocolonialisme, de terrorisme d’état, de répression, de criminalisation, de prison ; mais aussi de solidarité, de rencontres, d’alliances et de perspectives de lutte, d’internationalisme, etc.

Présence des Faucheurs et Faucheuses Volontaires bretons et des Pisseuses et Pisseurs Involontaires de Glyphosate bretons, le 6 octobre 2021, sur le thème de la criminalisation des luttes écologistes.

 

Avec entre autres, le MERCREDI 6/10 : Criminalisation de l’écologie et surveillance. Ateliers d’autodéfense numérique l’aprèm avec le collectif Défense Numérique Rennes. De 15h à 17h, et discussion en soirée.
Avec des camarades du Carnet, de Bure et les Faucheurs et Faucheuses d’OGM bretons.

pour échanger sur les techniques de répression, de surveillance et de criminalisation utilisées contre les luttes pour le vivant et contre l’industrialisation des territoires. Nous échangerons sur les dispositifs de surveillance déployés contre les luttes écologistes, l’organisation de groupes répressifs para-policiers (vigilantisme) et les outils de criminalisation auxquels nous faisons face.
Rendez-vous au Bocal, 2 allée de Finlande.
De 18h à 21h.
grignottage prix libre.
Lieu accesible PMR

Fin du Glyphosate : Initiative Citoyenne Européenne

ACTION : Initiative Citoyenne Européenne

A signer si vous ne l’avez pas encore déjà fait …
http://www.savebeesandfarmers.eu/

Attention : date limite : 30 septembre 2021 minuit !!!

Puis demandez à vos proches et à vos connaissances de faire de même. Parlez à vos contacts, envoyez-leur un email, partagez la pétition sur les réseaux sociaux. Demandez aux organisations de contacter leurs soutiens. Ensemble seulement, nous pouvons renverser la balance contre les pesticides. De nombreuses signatures supplémentaires doivent être collectées avant fin septembre. Nous devons gagner cette bataille, car il s’agit de la première étape pour mettre fin au glyphosate et aux autres pesticides.

Défendez cette cause et ne craignez pas de donner vos coordonnées : elles ne sont pas demandées par l’organisation, mais par les autorités pour vérifier la validité des votes à l’aide d’un échantillon. Ces informations personnelles ne sont pas destinées à être conservées.

 

entete

 

Vaccins : déclaration des effets indésirables

La déclaration des effets indésirables des “vaccins” est impérative.

Elle est possible sur les sites suivants :

Signalement-sante.gouv.fr – Ministère des Solidarités et de la Santé (solidarites-sante.gouv.fr)

et aussi sur le site http://effets-indesirables-vax.fr/

site qu’il nous semble bon de diffuser sans aucune modération …

L’esprit et la lettre de ce site

Nous dédions ce site à toutes les personnes qui subissent des effets indésirables liés à l’injection de thérapies géniques à visée immunogène par injections intramusculaires. Nous espérons que leur nombre soit le plus petit possible.

Les injections actuelles Pfizer (ARNm), Moderna (ARNm), AstraZeneca (ADN), Johnson & Johnson (ADN)… abusivement nommées « vaccin » et que nous bien nommons injection, vax ou vaxin, sont de telles thérapies géniques.

Beaucoup de questions sont soulevées et peu de réponses audibles sont apportées à des citoyens à qui on demande désormais de signer des chèques en blanc de confiance, sur une nouvelle technologie, certes géniale, mais laquelle nous subordonne au rôle de cobaye désigné volontaire.

Les témoignages portés sur ce site sont déclarés sur l’honneur.
Ils font néanmoins l’objet d’un filtrage de témoignages jugées inappropriés, indignes ou farfelus provenant des soubassement obscure de ce monde.
Nous les comptabilisons également pour témoigner du niveau assez bas de nos détracteurs et comme une mesure assez objective d’un climat de violence où la contradiction démocratique est la grande perdante.

Par la présente, nous tenons à rappeler solennellement, notre attachement au droit rien que le droit et tout nos droits, qu’aucun évènement quel qu’il soit ne saurait nous soustraire ; nous refusons tout déni de réalité, toute stigmatisation, et toute violation à la règle de droit consistant à protéger ses données personnelles, et son intimité digitale.

La vaxination rendu obligatoire par vague successives, sous tend la perte de nos droits hérités de la révolution française dits “Sacrés et inaliénables”, en bloc de constitutionnalité positif surpassant toute les règles et loi dans la hiérarchie des normes.

🇫🇷 C’est ça la France 🇫🇷

Je suis Emmanuel PESENTI, Président du Think-tank French-Road. Je propose, depuis 2017, une alternative “digitale sociétale” aux GAFAM, pour permettre à chacun de protéger son espace numérique et ses données personnelles,
Je suis le seul à avoir dénoncé cette dictature digitale que nous vivons aujourd’hui, à tel point qu’après 5 années homme de recherche et developpement, j’ai déposé un brevet sur l’identité numérique NON COERCITIVE. C’est une gageure mondiale et c’est francais 🇫🇷.

  • Emmanuel PESENTI

    Président du Think-tank French-Road
    Architecte des systèmes d’information
    Souveraineté numérique, équilibre digital..

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