Publication du livre “Covid-19. Des experts et ministres dignes de confiance ?” par Anne Dumont

Anne DUMONT est ingénieure civile et assistante sociale.
C’est cette double formation qui l’a orientée vers ce projet de synthèse. Selon elle, la connaissance n’est rien si elle n’est pas transformée en outil pour l’utiliser.
Ce livre est l’outil dont elle avait besoin pour informer les médecins, les bourgmestres, les députés, les journa­listes, afin d’ouvrir leurs consciences et de créer un autre futur.

Préface de Laurent Mucchielli (sociologue et directeur de recherche au CNRS. Il a publié en 2022 sous sa direction les livres La Doxa du Covid, Tome 1 et Tome 2.)

Aux éditions marco pietteur
https://www.editionsmarcopietteur.com/medicatrix/330-covid-19-des-experts-et-ministres-dignes-de-confiance-9782872111855.html#idTab21

Dans l’actuelle crise Covid-19. le concept de «consentement libre et éclairé» est central dans le processus de vaccination de masse d’une substance, pour rappel, encore en phase expérimentale.
Ce concept concerne tout autant tous les acteurs prenant part de près ou de loin à la gestion de cette crise, qu’ils soient politiciens, médecins, journalistes, policiers, juges, …
En effet, chacun d’eux devrait posséder les informa­tions qui leur permettraient de décider en pleine connaissance de cause s’ils souhaitent suivre la doxa gouvernementale ou s’ils estiment qu’ils doivent s’en distancier, notamment pour respecter les règles déonto­logiques liées à leur profession.
Malheureusement, même en tant que professionnels avec des responsabilités à l’égard des citoyens, il semble qu’ils n’aient pas pu bénéficier de ces informations à l’égal de la popula­tion en général.
Ainsi, l’intention de ce livret est d’offrir de façon conden­sée et compréhensible pour tous un autre regard sur la crise Covid que celle de la doxa gouvernementale, en partant de divers points de vue , à savoir la médecine, l’épidémiologie, le Droit et la déontologie et ainsi de permettre à chacun de poser ses choix et ses actions sur base d’un «consentement libre et éclairé».
Cet ouvrage est agrémenté de multiples références ainsi que d’une bibliographie qui permettront au lecteur qui le souhaite d’approfondir les sujets qui l’intéressent plus particulièrement.

 

Doctothon spécial enfants : lien de rediffusion

Pour celles et ceux qui l’auraient raté, voici le lien de rediff du Doctothon spécial enfants diffusé le samedi 15 janvier 2022

Des témoignages stupéfiants de psychologues, de parents, de médecins, sur la maltraitance dont sont victimes les enfants et ados actuellement, en milieu scolaire, périscolaire et ailleurs.

Pour prendre conscience et se rendre compte de l’absolue nécessité, de l’urgence de les protéger contre les délires gouvernementaux.

Rediffusion

Lien de rediffusion du Doctothon Spécial Enfants

Site ressource : Enfance & Libertés

https://enfance-libertes.fr/

nouvelles mesures gouvernementales
nouvelles mesures gouvernementales

Zombie QRcode
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Actualité : dépôt de la Sommation interpellative du recteur de l’académie

Suite de l’article publié le 13 décembre dernier sur ce blog https://veilleeveil.log.bzh/2021/12/13/covid-protection-des-enfants-sommation-interpellative-aupres-du-recteur-dacademie-bretagne/

Dépôt de la sommation interpellative bretonne

Ça y est, c’est fait – la sommation interpellative du recteur de l’Académie de Rennes a été délivrée hier, jeudi 6 janvier 2022 espérons que c’était une belle épiphanie pour l’interpellé !
Plus de 300 requérants confirmés pour la sommation !!!
Dont plus de 50 enseignants …
Finalement l’huissier a simplement demandé à ce que l’interpellé réponde “immédiatement“.
Le réceptionniste a affirmé que ce serait fait “dans les plus brefs délais”…

Voici la version finale envoyée à l’huissier mercredi

Sommation interpellative BZH

Le mot du coordinateur breton :


“Encore une fois… merci, merci, merci, à vous tous
pour votre présence, votre aide, votre participation, votre intégrité et surtout pour votre engagement et détermination à protéger nos enfants et nos jeunes!
On va y arriver (“quoi qu’il en coûte” selon la formule si chère à notre emmerdeur préféré !)”

Le site Enfance et Libertés :

Vidéo de la résistance bretonne à la tyrannie covidiste

Le 29 décembre 2021, Jocelyne & Leelou ont invité 4 résistant.es au Covidisme dans les 4 départements de Bretagne : Alice (Finistère), Fannie (Morbihan), Jessica (Ille-et-Vilaine) et Pete (Côtes d’Armor).

Cette vidéo comporte de touchants témoignages de parents qui relatent leur “réveil” et le début de leur résistance, leur adhésion aux réseaux RSA Réseaux de Solidarité Actives
Revoir la vidéo de la résistance sur le lien suivant :

Doctothon : 300 docteurs s’expriment sur la crise sanitaire pendant 24 h

Ce vendredi 10 décembre à 18 h, c’est un évènement inédit qui voit le jour : le Doctothon.

Le Doctothon

Le projet : donner la parole à 300 docteurs, médecins et scientifiques, sur la crise Covid pendant 24 h sans interruption jusqu’au lendemain, samedi 11 décembre, 18 h.

C’est fini pour ce Doctothon, les rediffusions sont visibles ici :

Site du Doctothon : https://www.doctothon.com/
Suite aux nombreuses censures, certains liens se trouvent inactivés, les vidéos supprimées de Youtube, eh oui GAFAM power !!! (Keep calm, fuck GAFAM).
Celui ci semble fonctionner encore à cette heure (rediffusion en plusieurs parties ) :

rediffusion du Doctothon

https://crowdbunker.com/v/9IknyqNWsi

 

Laurent Mucchielli “La “cinquième vague”, nouvel épisode d’un feuilleton qui n’a que trop duré”

Billet de blog 23 nov. 2021

La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui n’a que trop duré

Le mauvais feuilleton sanitaire continue. La petite musique d’un nouvel épisode épidémique à venir se fait de nouveau entendre. Ce serait cette fois la « cinquième vague ». Depuis plus d’un an et demi, la population française est soumise à un flot quasi continu de mauvaises nouvelles, qui servent à justifier des mesures aux impacts psychologiques, économiques, sociaux et politiques délétères.

Laurent Mucchielli
Sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire). https://www.lames.cnrs.fr/spip.php?article10

Épisode 67

Par Laurent TOUBIANA, chercheur à l’INSERM, directeur de l’Institut de Recherche pour la Valorisation des données de Santé (IRSAN)

* * *

Le scénario est maintenant bien rodé.
En amont, il commence par des avis de scientifiques qui, alors que tout est supposé « sous contrôle », annoncent la possibilité du retour d’une nouvelle vague épidémique.
Ces oracles sont bientôt confirmés par des données venant de pays plus ou moins lointains ; tout va bien en France, mais ailleurs c’est très grave.
Les hypothèses de nos scientifiques s’avèreraient donc exactes.
Les articles de presse pleuvent sur la panique engendrée dans ces pays et les mesures très dures en passe d’être mises en œuvre.
Ces mesures nous paraissent démesurées, mais une petite voix nous dit qu’il faut se préparer à ce que ce soit bientôt notre tour.
Enfin, Santé Publique France donne l’estocade et annonce à son tour une élévation « inquiétante de l’incidence » sans vraiment expliquer ni de quoi il s’agit exactement, ni en quoi elle est inquiétante.
Cette information est immédiatement relayée par de puissants organes médiatiques.
Elle est ensuite reprise par les autorités qui remettent en place des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux).
« En même temps », le porte-parole du gouvernement nous assure de ne pas nous inquiéter.
Cela inquiète encore plus car, à chaque fois qu’il ne faut pas s’inquiéter, nous pouvons être sûrs du contraire ; cela est en général confirmé quelques jours plus tard.
Le nombre d’articles publiés sur la prochaine vague augmente et prépare le terrain.
« Quelques dissidents » sont invités à s’exprimer pour faire bonne mesure car nous sommes en démocratie, juste le temps de les décrédibiliser incompétents, naïfs, inconscients, irresponsables, dangereux, complotistes.

Depuis toujours, une épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de morts qu’elle provoque.
Ainsi, ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide.
L’arrivée des tests et la massification de leur utilisation dévoyée à partir d’août 2020 a permis de redéfinir l’essence même de la définition classique de l’épidémie.
Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais.
De fait, le nombre de porteurs de virus est beaucoup plus important que le nombre de malades ou de morts.
Il est donc fallacieux d’utiliser le même mot « incidence » pour représenter une réalité différente de la définition communément admise par les épidémiologistes, l’incidence d’une pathologie.

Pourtant, l’incidence d’une pathologie est un outil élémentaire utilisé pour le suivi de toutes les épidémies sous surveillance depuis des dizaines d’années (dont la plus emblématique est celle des syndromes grippaux). Pourquoi n’est-il pas appliqué pour l’événement épidémique du siècle ? Probablement parce que les incidences de la maladie covid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu’elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l’évidence disproportionnées : confinements généralisés de la population, port du masque obligatoire dans la rue, taux de couverture vaccinale aberrant, passe sanitaire.
Si l’incidence « classique » était utilisée, les populations n’auraient plus peur et n’accepteraient pas ces mesures considérées dès lors comme extravagantes.

Fig. 1 : Évolution du taux d’incidence hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 et des décès liés au Covid-19

Source : Réseau Sentinelles, Santé Publique France, mise en forme IRSAN (cliquez ici pour visualiser et actualiser le graphique) – Champ : France métropolitaine

Note de lecture : la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120).
En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.
Lors du 4ème « pic » de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.
La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10).
Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020.

Justement, quelles sont les valeurs de l’incidence du Covid-19 ? En France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid-19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise (cf. fig. 1).
Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ; les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes.
Pour fixer les idées, 100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon…). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des années antérieures depuis 20 ans.
Pourtant, connues depuis des siècles, les épidémies de grippe ont toujours été désignées comme des épidémies « banales » alors que le tableau clinique de la grippe est considéré comme touchant les individus plus durement que celui du Covid-19 dans la plupart des cas. Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure.
L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’a cessé de décroître.
Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants (cf. fig. 1).

Il en va de même pour les hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100 000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise.

Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles.
Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indiquent que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacrés au Covid-19 en 2020.
Par ailleurs, nous avons montré ici même dès le mois de mars 2021 que cette période de crise sanitaire prétendue « majeure » n’avait provoqué aucune surmortalité pour les personnes âgées de moins de 65 ans, soit 80 % de la population française, et une surmortalité de moins de 4 % pour les autres.

De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations.
Ceux-ci ne font que commencer, comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays suite à la politique du « quoi qu’il en coûte » décidée pour mettre en place le premier confinement et que les Français subissent du fait de l’augmentation de la facture énergétique.
Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations en usant de méthodes d’intimidation ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement.
Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité est extrêmement faible mais cela ne suffit toujours pas, ces populations ayant déjà beaucoup souffert des mesures censées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable.

Tous les chiffres cités sont disponibles pour le grand public, accessibles sur Internet. Ils crèvent les yeux mais décidément, ils semblent difficiles à voir.

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Archive : la nouvelle vague …. versus Richard Anthony

Mobilisation : pétition pour la création d’une commission d’enquête sur les déclarations d’Olivier Véran

Alerte mobilisation !

Pétition sur le site Mesopinions.com pour demander la création d’une commission d’enquête sur les déclarations d’Olivier Véran.

Pour la création d’une commission d’enquête sur les déclarations d’Olivier Véran

Auteur : Lionel

Dernièrement face aux députés (les élus du peuple), Olivier Véran a affirmé que les vaccins n’entraînent aucun effet secondaire grave et qu’il n’y avait eu aucun mort qui puisse leur être attribué.

Or les chiffres publiés par les autorités de santé française montrent officiellement le contraire, avec plus de 900 morts possibles ainsi que des milliers d’effets secondaires répertoriés…

Le ministre ne pouvait pas ne pas connaître ces chiffres; il a donc menti face aux représentants de la nation !
Cette pétition a pour but qu’une commission d’enquête soit créée afin qu’il réaffirme ses propos sous serment. S’il persévère, il s’agirait d’un parjure qui le mettrait en grande difficulté devant le peuple tout entier, ce dernier n’étant pas informé de ce qui se passe dans les hémicycles.

Merci

Laurent Mucchielli : “Les vaccins génétiques anti-covid sont une forme d’expérimentation médicale”

Au regard du droit européen et du droit international, les vaccins génétiques anti-covid constituent une expérimentation médicale sur les êtres humains.
Or, d’un point de vue tant éthique que juridique, nul ne peut être obligé de se soumettre à une expérimentation médicale en l’absence d’un consentement libre et éclairé.

Épisode 65

Par Alessandro A. NEGRONI, chercheur et professeur de philosophie du droit à l’Université de Genève, auteur notamment de La libertà di (non) vaccinarsi (Vicolo del Pavone, 2021). 

 * * *

L’expérimentation médicale revêt plusieurs formes, sans qu’il soit toujours possible de tracer une ligne de séparation nette et précise entre ses différentes formes et sans considérer le fait que l’expérimentation médicale n’est pas nécessairement conduite sur les êtres humains. Il existe en effet des expérimentations médicales conduites sur les animaux ou en laboratoire sans aucun cobaye), même si nous ne discutons ici que de l’expérimentation médicale sur les êtres humains (1).

Ainsi, par exemple, une distinction importante à faire lorsque l’on parle d’expérimentation médicale est celle entre expérimentation « thérapeutique » et expérimentation « non thérapeutique » (ou « pure »). L’expérimentation thérapeutique est conduite sur un individu malade et a pour but d’être bénéfique pour la santé dudit individu. L’expérimentation non thérapeutique est conduite sur un individu sain et a pour seul objectif la recherche (2).

Cette distinction est toutefois moins nette qu’il n’y paraît. Une expérimentation thérapeutique a malgré tout un objectif de recherche et on ne peut pas exclure en outre qu’une expérimentation non thérapeutique puisse être bénéfique (ne fusse qu’indirectement) aux individus qui s’y sont soumis, augmentant ainsi le patrimoine de connaissances de la médecine.

Lorsque nous conduisons une forme quelconque d’expérimentation, nous nous exposons au risque d’un dommage dont nous ignorons la nature et l’ampleur car l’expérimentation est par définition une activité que nous commençons sans en connaître les effets sur nous-mêmes, sur les autres êtres humains, sur les animaux ou sur l’environnement (3).

L’expérimentation médicale sur les êtres humains, en tant qu’elle est accomplie dans le but de vérifier les effets, l’efficacité et la sécurité d’un traitement sanitaire pour la santé humaine (sans en connaître a priori le résultat), expose le sujet humain de l’expérimentation à un risque pour sa santé que nous ignorons encore. Le « traitement » en question pouvant être, par exemple, un médicament précis, une technique médicale particulière ou, à la limite, l’absence d’intervention sur un patient.

L’expérimentation médicale sur les êtres humains se caractérise donc par l’exposition du sujet de l’expérimentation à un risque inconnu pour sa santé et certains estiment que le consentement de ce sujet soumis à l’expérimentation médicale représente sa « libre acceptation à se soumettre à une activité risquée » (4). En d’autres termes, la présence d’un risque inconnu pour la santé peut être considérée comme un « signe » caractéristique de l’expérimentation médicale sur les êtres humains ainsi que ce qui permet de distinguer l’expérimentation médicale (thérapeutique ou non) des autres interventions médicales où le patient est soumis au meilleur traitement disponible consolidé (5).

Ce n’est pas un hasard si, historiquement (depuis le Code de Nuremberg), comme l’observent entre autres Ruth Faden et Tom Beauchamp, la première et principale préoccupation morale et légale intéressant l’expérimentation médicale sur les êtres humains consiste à contrôler le « risque » pour la santé auquel le sujet humain de l’expérimentation est exposé (6).

Les vaccins génétiques anti-covid

A propos du vaccin anti-covid-19 de Pfizer-BioNTech (mais le même raisonnement s’applique aux autres vaccins anti-covid disponibles dans l’Union Européenne), nous devons observer que :

1) à long terme, les effets et les dommages du vaccin anti-covid-19 sur la santé ne sont ni connus ni prévisibles (comme l’indique d’ailleurs le point 10 du formulaire du consentement du ministère de la santé italien) ;

2) nous ignorons notamment le potentiel cancérigène, la génotoxicité et la capacité de compromettre la fertilité masculine de ce vaccin. A la page 12 de la fiche Product Information de l’Agence européenne des médicaments relative au vaccin anti-covid-19 de la Pfizer-BioNtech, il est rappelé que « Neither genotoxicity nor carcinogenicity studies were performed » (« aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée »). Et, de façon similaire, à la page 15 du Package Insert de la U.S. Food and Drug Administration, on peut lire : « Comirnaty has not been evaluated for the potential to cause carcinogenicity, genotoxicity, or impairment of male fertility » (« Comirnaty n’a pas été évalué quant à son potentiel cancérigène, génotoxique ou d’altération de la fertilité masculine ») ;

3) le vaccin anti-covid-19 comporte un risque (inconnu) pour la santé car l’efficacité et la sécurité du vaccin ne sont pas connus sur la base d’études cliniques complètes et que des données supplémentaires sont nécessaires à ce sujet. Le vaccin anti-covid-19 a en effet reçu de l’Agence européenne des médicaments une « conditional marketing authorisation » (autorisation de mise sur le marché conditionnelle) accordée par définition en se fondant sur des données cliniques moins complètes que celles normalement exigées et en présence d’un risque inhérent au fait que des données supplémentaires sont encore nécessaires. La conditional marketing authorisation est utilisée lorsque les données présentées par le producteur du médicament ne sont pas assez solides et complètes pour justifier l’approbation standard et elle permet de renvoyer une partie de la production et de l’acquisition de preuves sur les bénéfices et les risques du médicament de la phase de pré-autorisation à la phase de post-autorisation. Un médicament soumis à une conditional marketing authorisation comporte des risques inconnus pour le patient auquel il est administré. Les retards fréquents dans l’obtention par l’Agence européenne des médicaments des données complètes sur les bénéfices et les risques du médicament ont une incidence négative sur la santé publique car ils prolongent l’exposition des patients à des « risques inconnus » (7) et, dans un éditorial du British Medical Journal, on a pu observer comment « even when manufacturers do eventually provide comprehensive clinical data, it can hardly be considered as ethically and clinically appropriate that patients and their doctors have been unaware of the benefit-risk profile of medicines they have been using for a long time – over seven years in some cases » (« même lorsque les fabricants finissent par fournir des données cliniques complètes, on peut difficilement considérer comme éthiquement et cliniquement approprié le fait que les patients et leurs médecins ignorent depuis longtemps – plus de sept ans dans certains cas – le profil bénéfices-risques des médicaments qu’ils utilisent ») (8) ;

4) enfin, nous pouvons aussi rappeler comment, à propos des vaccins à mRNA et à nanoparticules lipidiques choisies par Pfizer-BioNTech et par Moderna pour leurs vaccins, certains spécialistes en biotechnologies pharmaceutiques ont exprimé des préoccupations en raison des incertitudes liées aux effets de ces nanoparticules et souligné l’exigence de conduire à ce propos des études indépendantes en vue de vérifier la sécurité et l’efficacité à long terme (9).

La balance bénéfice/risque en question

La conséquence de ce que nous avons observé dans l’ensemble est la suivante : le vaccin anti-covid-19 est une forme d’expérimentation médicale sur les êtres humains. Le cas du vaccin anti-covid-19 AstraZeneca l’illustre de façon empirique et sans équivoque possible. En mars 2021, l’utilisation du vaccin AstraZeneca, alors qu’il avait été déjà administré à de nombreux citoyens européens, est interrompue en Italie et dans de nombreux autres pays européens à cause d’effets indésirables graves signalés à la suite de la vaccination (cf. le communiqué du 15 mars 2021 de l’Agence italienne du médicament). Quelques jours après l’interruption, un communiqué de l’Agence européenne des médicaments estime que les bénéfices du vaccin sont supérieurs aux risques, reconnaît le lien possible du vaccin avec des cas de thromboses associés à de faibles niveaux de plaquettes et signale que les informations sur le produit seront modifiées. Après le communiqué de l’Agence européenne des médicaments, en Italie (comme d’ailleurs dans d’autres pays européens) l’utilisation du vaccin AstraZeneca reprend, tout d’abord pour toutes les tranches d’âge (cf. la circulaire du 19 mars 2021 du ministère de la santé italien), par la suite uniquement pour les individus de plus de 60 ans, tandis qu’aux individus de moins de 60 ans vaccinés avec une première dose d’AstraZeneca on propose (tout d’abord obligatoirement, par la suite de préférence seulement) un vaccin à mRNA comme deuxième dose (cf. la circulaire du 11 juin 2021 et la circulaire du 18 juin 2021 du ministère de la santé italien).

Au passage, nous remarquons que le vaccin AstraZeneca n’a jamais été autorisé en Suisse car l’administration suisse compétente (Swissmedic) estime que les données disponibles ne permettent pas de prendre une décision positive sur le rapport risques/bénéfices dudit vaccin (cf. le communiqué de Swissmedic du 3 février 2021). Ce qui s’est passé avec le vaccin AstraZeneca serait inconcevable pour un médicament non expérimental et incompréhensible si nous ne nous trouvions pas dans le cadre d’une expérimentation médicale.

Enfin, au moment où ces lignes sont écrites, nous apprenons que la Suède, le Danemark et la Finlande ont interrompu l’utilisation du vaccin Moderna pour les individus les plus jeunes à cause du risque de myocardite.

Conclusion

Cet article n’exprime aucun jugement de valeur sur l’expérimentation médicale sur les êtres humains. En revanche, il affirme simplement que, d’un point de vue éthique et juridique, personne ne peut être obligé à se soumettre à une forme d’expérimentation médicale (et donc aussi à ces vaccins génétiques anti-covid-19) en l’absence d’un consentement libre et éclairé.

Cela est prescrit par tous les principaux textes qui ont règlementé l’expérimentation médicale et énoncé en la matière des principes acceptés au niveau international, à partir duCode de Nuremberg (1947),décalogue des dix principes en matière d’expérimentation médicale sur les êtres humains élaboré dans le cadre du procès de Nuremberg, en réaction aux expérimentations sur des individus non consentants faites par des médecins dans l’Allemagne nazie,dont le premier principe prescrit que pour conduire une expérimentation médicale admissible d’un point de vue éthique et légal : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Et, comme l’affirment les juges, « cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée» (10).

Plus proche de nous, je rappelle la Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine (Oviedo, 1997), premier traité international approuvé en matière de bioéthique, qui, à l’article 5 « Règle générale », énonce : « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ». Le chapitre V de la Convention d’Oviedo, qui porte sur la « Recherche scientifique », établit nettement : « La recherche scientifique dans le domaine de la biologie et de la médecine s’exerce librement sous réserve des dispositions de la présente Convention et des autres dispositions juridiques qui assurent la protection de l’être humain » (Article 15 « Règle générale »). « Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies : […] iv la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ; v le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré » (Article 16 « Protection des personnes se prêtant à une recherche ») (11).

La Convention d’Oviedo a été promue par le Conseil de l’Europe et, dans la Résolution 2361 du 27 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a justement pris une position claire et nette concernant le vaccin anti-covid-19 et l’hypothèse de le rendre obligatoire.
Dans la Résolution, on peut lire : « L’Assemblée demande donc instamment aux États membres et à l’Union européenne : 7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ; 7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » et encore : « 7.5 en ce qui concerne la surveillance des effets à long terme des vaccins contre la covid-19 et de leur innocuité : […] 7.5.2 d’utiliser les certificats de vaccination uniquement dans le but désigné de surveiller l’efficacité du vaccin, les effets secondaires potentiels et les effets indésirables ».

La position du Conseil de l’Europe revêt une grande importance politique et juridique, non seulement à cause du rôle et de l’autorité de l’organe qui l’a exprimée, mais aussi car ladite position semble exprimer parfaitement, concernant le vaccin anti-covid-19, les principes énoncés dans la Convention d’Oviedo et, d’une façon plus générale, cet « esprit de liberté » qui caractérise la tradition politique et juridique contemporaine des sociétés européennes occidentales.

Même si actuellement, en France et en Italie, les gouvernements contraignent (avec des obligations directes et/ou indirectes) les citoyens à se soumettre au vaccin anti-covid-19, ceci reste une forme d’expérimentation médicale. Et, d’une façon plus générale, comme le souligne Philippe Segur (voir l’Episode 52 de cette enquête), « la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine », le tout pour répondre à une maladie (le Covid-19) qui ne représente ordinairement un réel danger que pour les personnes très âgées et/ou atteints de maladies préexistantes importantes.

Références

(1) Sur l’expérimentation médicale sur les êtres humains, même pour une ultérieure bibliographie, consulter au moins R. R. Faden, T. L. Beauchamp, A History and Theory of Informed Consent, Oxford University Press, New York-Oxford, 1986, p. 151 et s.; D. J. Rothman, Research, Human: Historical Aspects (1995) et K. F. Schaffner, Research Methodology. I. Conceptual Issues (1995, Revised by author) in S. G. Post (ed.), Encyclopedia of Bioethics, 3rd edition, Macmillan Reference USA, New York, 2004, p. 2316 et s. et p. 2326 et s.; A. V. Campbell, Bioethics: The Basics, Routledge, New York-London, 2013, p. 115 et s.; J. D. Moreno, D. Sisti, Biomedical Research Ethics: Landmark Cases, Scandals, and Conceptual Shifts, in J. D. Arras, E. Fenton, R. Kukla (eds.), The Routledge Companion to Bioethics, Routledge, New York-London, 2015, p. 185 et s.

(2) Dans le classique Principles of Biomedical Ethics Tom Beauchamp et James Childress estiment que l’expression « recherche thérapeutique » doit être utilisée avec précaution car « the term therapeutic research is potentially misleading because, when misunderstood, it draws attention away from the fact that research is being conducted » (T. L. Beauchamp, J. F. Childress, Principles of Biomedical Ethics, Seventh Edition, Oxford University Press, New York, 2013, p. 333).

(3) Voir P. U. Macneill, Regulating Experimentation in Research and Medical Practice, in H. Kuhse, P. Singer (eds.), A Companion to Bioethics, Second edition, Wiley-Blackwell, Oxford, 2009, p. 469.

(4) S. Pollo, Sperimentazione su esseri umani, in E. Lecaldano, Dizionario di bioetica, Laterza, Roma-Bari, 2002, p. 494.

(5) Dans le cas aussi du meilleur traitement disponible consolidé, il existe des risques pour la santé du patient, cependant non seulement il s’agit de risques connus, prévisibles et limités mais ledit meilleur traitement se caractérise par des “bénéfices” pour la santé du patient clairement considérés dans le secteur médical comme supérieurs aux “risques”.

(6) Voir R. R. Faden, T. L. Beauchamp, A History and Theory of Informed Consent, op. cit., p.  151-152.

(7) Comme l’observent L. T. Bloem, A. K. Mantel-Teeuwisse, H. G. M. Leufkens, et al., Postauthorization Changes to Specific Obligations of Conditionally Authorized Medicines in the European Union: A Retrospective Cohort Study, in Clinical Pharmacology & Therapeutics, 2019, p. 426 et p. 430-431.

(8) R. Banzi, C. Gerardi, V. Bertelè, S. Garattini, Conditional approval of medicines by the EMA, in British Medical Journal, 2017.

(9) Voir J. W. Ulm, Rapid response. Will covid-19 vaccines save lives? Current trials aren’t designed to tell us, in British Medical Journal, 2020 (21 December 2020); S. Tinari, The EMA covid-19 data leak, and what it tells us about mRNA instability, in British Medical Journal, 2021 (10 March 2021).

(10) Sur l’expérimentation médicale sur les êtres humains, nous pouvons au moins rappeler, non seulement le Code de Nuremberg, mais aussi la Déclaration de Helsinki (1964), élaborée par la World Medical Association, et le Rapport Belmont (1979), élaboré par une commission du gouvernement des Etats-Unis.

(11) La Convention d’Oviedo a force obligatoire sur le sol français (loi n. 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique). En Italie, la Convention a été ratifiée avec la loi n. 145 du 28 mars 2001, mais le processus de ratification n’a pas été achevé ; dans tous les cas la Convention peut et doit être utilisée comme instrument herméneutique, en ce sens que les sources internes italiennes doivent être interprétées d’une façon le plus possible conforme à la Convention (sur la valeur de la Convention d’Oviedo en Italie, cf. B. Conforti, Diritto internazionale, Editoriale Scientifica, Napoli, 2014, p. 357; A. A. Negroni, Il diritto al consenso informato nella Costituzione, in Id. (par), Il consenso informato tra bioetica e diritto, Vicolo del Pavone, Tortona, 2020, p. 107-109).

Manifestation de soutien aux victimes sociales de l’obligation “vaccinale” : samedi 2 octobre – 14 h – Vannes

Pour celles et ceux qui veulent participer à cette manif “grand-ouest” pour soutenir les victimes “sociales” de l’obligation d’injection d’un produit génique expérimental 

Rdv samedi 02/10 à 14h00 à Vannes (56) !!!

Les “victimes” de ce chantage social (c’est-à-dire ceux qui ont subi l’injection, de gré ou de force) sont également appelés à se mobiliser : “beaucoup croient qu’en obéissant, ils (les bourreaux) vont arrêter (la torture)…..bien au contraire, c’est justement parce que nous obéissons…qu’ils continuent !!!”
N’oublions pas ces paroles de Françoise GIROUD : « Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer !
Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. »
Covoiturage à l’aire de covoit’ de Kervidanou avec départ à 11h30 (prévoir casse-croûte) pour les alentours de Quimperlé
Détermination pour recouvrer notre Liberté !
Bâtissons un monde meilleur !

Vaccins : déclaration des effets indésirables

La déclaration des effets indésirables des “vaccins” est impérative.

Elle est possible sur les sites suivants :

Signalement-sante.gouv.fr – Ministère des Solidarités et de la Santé (solidarites-sante.gouv.fr)

et aussi sur le site http://effets-indesirables-vax.fr/

site qu’il nous semble bon de diffuser sans aucune modération …

L’esprit et la lettre de ce site

Nous dédions ce site à toutes les personnes qui subissent des effets indésirables liés à l’injection de thérapies géniques à visée immunogène par injections intramusculaires. Nous espérons que leur nombre soit le plus petit possible.

Les injections actuelles Pfizer (ARNm), Moderna (ARNm), AstraZeneca (ADN), Johnson & Johnson (ADN)… abusivement nommées « vaccin » et que nous bien nommons injection, vax ou vaxin, sont de telles thérapies géniques.

Beaucoup de questions sont soulevées et peu de réponses audibles sont apportées à des citoyens à qui on demande désormais de signer des chèques en blanc de confiance, sur une nouvelle technologie, certes géniale, mais laquelle nous subordonne au rôle de cobaye désigné volontaire.

Les témoignages portés sur ce site sont déclarés sur l’honneur.
Ils font néanmoins l’objet d’un filtrage de témoignages jugées inappropriés, indignes ou farfelus provenant des soubassement obscure de ce monde.
Nous les comptabilisons également pour témoigner du niveau assez bas de nos détracteurs et comme une mesure assez objective d’un climat de violence où la contradiction démocratique est la grande perdante.

Par la présente, nous tenons à rappeler solennellement, notre attachement au droit rien que le droit et tout nos droits, qu’aucun évènement quel qu’il soit ne saurait nous soustraire ; nous refusons tout déni de réalité, toute stigmatisation, et toute violation à la règle de droit consistant à protéger ses données personnelles, et son intimité digitale.

La vaxination rendu obligatoire par vague successives, sous tend la perte de nos droits hérités de la révolution française dits “Sacrés et inaliénables”, en bloc de constitutionnalité positif surpassant toute les règles et loi dans la hiérarchie des normes.

🇫🇷 C’est ça la France 🇫🇷

Je suis Emmanuel PESENTI, Président du Think-tank French-Road. Je propose, depuis 2017, une alternative “digitale sociétale” aux GAFAM, pour permettre à chacun de protéger son espace numérique et ses données personnelles,
Je suis le seul à avoir dénoncé cette dictature digitale que nous vivons aujourd’hui, à tel point qu’après 5 années homme de recherche et developpement, j’ai déposé un brevet sur l’identité numérique NON COERCITIVE. C’est une gageure mondiale et c’est francais 🇫🇷.

  • Emmanuel PESENTI

    Président du Think-tank French-Road
    Architecte des systèmes d’information
    Souveraineté numérique, équilibre digital..

    .

Covid : l’autre narration, par le journaliste économiste Ernst Wolf

La vidéo proposée ci-dessous est VRAIMENT TRÈS INSTRUCTIVE : nous autres avons compris l’aspect fallacieux de la narrative officielle concernant l’aspect pseudo-sanitaire du covid, mais là, nous comprenons les raisons qui poussent l’oligarchie à appliquer ce qui se confirme être un “PLANdémie” !
37 minutes à ne pas rater pour “tout” comprendre !
“Un Humain averti…..en vaut deux” !
Nous devons dénoncer “notre ennemi” : c’est bien “la finance” !
Nous devons “renverser le système” et non espérer que ceux qui y ont participé le réforment………..(la classe politicienne complice)
“Dieu se rit des Hommes qui maudissent les conséquences, dont ils chérissent les causes” (Bossuet) ;
L’heure n’est pas à rire, alors donc nous devons collectivement agir pour favoriser la R-évolution des Consciences en vue de la nécessaire “Révolution citoyenne” pour l’avènement de la “1ère Démocratie française”.
Il y a urgence !
XXX