Le Sénat demande une levée “rapide” du pass vaccinal

Retrouvez l’article complet sur le site du Sénat

Demande de la Commission d’enquête du Sénat

  • demande d’une levée “rapide” du pass vaccinal
  • demande de renforcer la transparence dans la gestion de l’épidémie

Les élus du Sénat soulignent

  • une succession d’annonces parfois contradictoires
  • une place top prépondérante du Conseil de Défense

Alors là on s’en serait bien douté.e.s …. depuis le début !

Le pass vaccinal est un gadget

La commission d’enquête qualifie le passe vaccinal de « gadget » « qui a paru servir de justification au relâchement des réflexes prophylactiques ». S’appuyant sur le taux d’incidence de la semaine du 13 février, 1 367 cas pour 100 000 habitants, le Sénat demande à ce que soit engagé « sans délai, mais avec prudence » une levée du passe vaccinal.
Les élus plaident pour l’établissement de conditions de la réversibilité de la décision (situation hospitalière, nombre de contaminations…)

Réversibilité : méfions nous tout de même des annonces …

Les élu.e.s demandent tout de même apparemment à ce que ces mesures discriminatoires puissent être remises en place en fonction de critères très flous établis par des instances très floues également …

Serait-ce une arnaque ?

Notre pressentiment semble bien confirmé par l’analyse du site “Le Courrier des Stratèges”

Tout ça pour ça. Le Sénat a présenté son rapport sur l’adéquation du passe vaccinal à la situation épidémique jeudi 24 février 2022.
Bien qu’en apparence il préconise une levée « rapide » du dispositif, il nous propose surtout de vivre avec une épée de Damoclès constamment au-dessus de nos têtes.
Le passe vaccinal doit être réversible – alors qu’ils jugent eux-mêmes l’outil de « gadget » – et n’est pas synonyme de levée du passe sanitaire dans les hôpitaux ni de l’obligation vaccinale pour les soignants.
Les parlementaires tentent ridiculement de nous faire croire qu’ils sont encore un organe de contre-pouvoirs.

A d’autres.

Article à retrouver dans son ensemble sur le site du Courrier des Stratèges, ici

Conclusion : en image

Doctothon spécial enfants : lien de rediffusion

Pour celles et ceux qui l’auraient raté, voici le lien de rediff du Doctothon spécial enfants diffusé le samedi 15 janvier 2022

Des témoignages stupéfiants de psychologues, de parents, de médecins, sur la maltraitance dont sont victimes les enfants et ados actuellement, en milieu scolaire, périscolaire et ailleurs.

Pour prendre conscience et se rendre compte de l’absolue nécessité, de l’urgence de les protéger contre les délires gouvernementaux.

Rediffusion

Lien de rediffusion du Doctothon Spécial Enfants

Site ressource : Enfance & Libertés

https://enfance-libertes.fr/

nouvelles mesures gouvernementales
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Le mouvement anti-linky conteste le rapport de la CRE (Commission de Régulation de l’Énergie)

Communiqué du 19 décembre 2021

Le mouvement anti-Linky conteste le rapport de la Commission de régulation de l’énergie

Nuisible sur le plan environnemental, bénéficiant financièrement à ENEDIS et non aux usagers, dangereux (incendies, ondes), ne permettant aucune économie d’énergie, déjà dépassé sur le plan technologique,… le programme Linky rejoint la liste des grands projets inutiles, voire nuisibles.

Tout citoyen libre a le droit de refuser le remplacement à son domicile ou dans sa résidence d’un compteur simple par un capteur de données.

Le site web https://retrait-du-linky.org mis en service cette semaine a pour but de permettre aux citoyens de réclamer la désinstallation du Linky et le retour d’un compteur non communicant.

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Les collectifs et associations soussignés, engagés contre le déploiement des compteurs communicants, contestent le récent rapport de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) qui présente le programme Linky comme “une réussite industrielle”.

Après s’être prononcée en juillet 2011 en faveur du déploiement des compteurs Linky (1), la CRE pouvait difficilement se déjuger dix ans après. Alors qu’ENEDIS prétend depuis 6 ans que les refus de Linky sont quantité négligeables, la CRE reconnaît aujourd’hui qu’il reste 10% de compteurs ordinaires, soit environ 3,5 millions d’exemplaires ! De son côté, le médiateur national de l’énergie (MNE) estimait dans son communiqué de presse du 12 octobre dernier que 34% des usagers sont défavorables à la pose de compteurs communicants et soulignait les risques de la « facturation dynamique ».

La Cour des comptes a montré que le programme Linky bénéficie “avant tout à ENEDIS” et non aux usagers.

La CRE a justifié en 2011 le programme Linky en prétendant en particulier qu’il “bénéficierait aux consommateurs” et qu’il “serait globalement neutre du point de vue financier”: affirmations trompeuses démenties par la Cour des comptes dans son rapport du 7 février 2018, montrant en particulier que “le projet de compteurs Linky profite avant tout à la société ENEDIS” et non aux usagers (2) . Contrairement à ce qu’a pu affirmer récemment un ministre, Ce sont bien les usagers qui vont payer le prix du programme Linky, à savoir toujours selon la Cour des comptes :

  • 130 euros par compteur (5,7 milliards d’euros au total) facturés sous forme de taxes

  • 506 millions d’euros de frais financiers intérêts d’emprunts), également facturés sous forme de taxe jusqu’en 2031

Or des alternatives au système Linky existent (3) et rien ne justifie le relevé systématique de notre consommation électrique toutes les ½ heures comme le fait encore ENEDIS en infraction à la règlementation en vigueur

Installations des compteurs Linky par des sous-traitants privés : la population française victime de mensonges, de menaces et parfois d’exactions

Depuis 6 ans, partout en France, les poses de compteurs Linky ont été réalisées par des sous-traitants privés qui, rémunérés en fonction du nombre de compteurs posés, n’hésitent pas à mentir aux habitants (“Si vous ne prenez pas le compteur Linky, on va vous couper l’électricité” ou “vous paierez des amendes” ou “vous devrez payer le Linky plus tard”, etc.) .

Face à la résistance de millions d’habitants, les sous-traitants se sont parfois livrés à des actes illégaux : effractions, menaces, et parfois violences, en particulier à l’égard de personnes âgées. Il est inadmissible que, pour protéger les intérêts industriels d’ENEDIS, les différents gouvernements qui se sont succédés depuis 6 ans, aient laissé nos séniors se faire agresser impunément.

Remplacement de plus de 30 millions de compteurs en parfait état de marche : un véritable désastre environnemental et financier.

Le programme Linky est un exemple notoire d’obsolescence programmée : plus de 30 millions de compteurs en parfait état de marche ont été désinstallés et détruits, alors qu’en temps normal, ENEDIS remplaçait un million de compteurs par an, soit un renouvellement du parc de compteurs en 30 ans et non en 5 ans. Rappelons que les bons vieux compteurs classiques peuvent durer jusqu’à 80 ans alors qu’ENEDIS prétend – de façon exagérée – que la durée de vie d’un compteur Linky serait de 20 ans.

Incendies, ondes : quels impacts ?

Même si ENEDIS est dans le plus total déni concernant les effets des ondes émises par le système Linky (circulation du Courant porteur en ligne – CPL – dans le réseau électrique du logement), le fait est que d’innombrables usagers qui se portaient bien avant la pose du Linky se déclarent en souffrance après son installation imposée ou après l’injection du CPL dans les réseaux proches (4) : la mission d’une entreprise de service public serait-elle de gâcher la vie des usagers eu lieu de les laisser tranquilles ?

Par ailleurs, la Presse quotidienne régionale a relayé dans la France entière (5), d’innombrables incendies se déclarant après la pose du Linky. Ils peuvent avoir différentes causes :

. Une mauvaise installation :

ENEDIS a sous-traité l’installation des compteurs à des sociétés de service dont la compétence est souvent discutable.

. Une inadéquation du Linky aux logements

Comme reconnu par l’organisme Promotelec (6) , avant de s’autocensurer devant la polémique : “lorsque le technicien place Linky chez un particulier et règle le disjoncteur de branchement, il n’est pas chargé de vérifier si l’installation électrique du foyer sera à l’avenir, en mesure de supporter un changement de puissance pour une puissance supérieure.” Et c’est ainsi que des logements ont été détruits par incendie consécutivement à la pose de compteurs Linky, et ne peuvent être uniquement imputés à “des installations électriques défectueuses” comme le prétend ENEDIS. Sans que cela n’aille nécessairement jusqu’à l’incendie, la pose des Linky a occasionné chez les usagers une multitude de dysfonctionnements divers, depuis des pannes d’appareils électriques jusqu’au fonctionnement autonome de volets en passant par les éclairages qui clignotent jour et nuit…

Le compteur Linky ne permet absolument aucune économie d’énergie… et génère des augmentations de factures !

Dans son rapport, la CRE évoque des “gains à l’échelle du distributeur et de la collectivité” ou ” de nouvelles offres innovantes adaptées plus finement aux besoins [des] clients” par le biais de “nouvelles fonctionnalités propres au compteur Linky”. Mais il n’est nulle part question d’économies d’énergie (et donc d’économies financières) alors que c’est en particulier avec cette promesse que le Linky a été promu. Les Collectifs anti-Linky n’ont cessé de rappeler qu’ENEDIS est une filiale d’EDF qui vit… en vendant le plus possible d’électricité : qui pouvait croire un seul instant que le programme Linky allait réduire cette manne ?

Au contraire, la pratique a démontré que la pose du compteur Linky entraînait chez de nombreux habitants des augmentations parfois vertigineuses des factures d’électricité (7), ou bien l’obligation de prendre un abonnement plus cher car nombre d’installations électriques disjonctent continuellement dès la pose du Linky (8).

Agitation fictive de la relève payante…

mais licenciement réel des releveurs

Pour faire bonne mesure, la CRE a cru bon annoncer, ce qui a été repris tel quel dans la plupart des médias, que les usagers “sans Linky” se verraient infliger une facturation de 64 euros par an du fait de la relève manuelle dont leurs compteurs devront faire l’objet..

Or il est avéré que la CRE ne fait là que se joindre au concert des rumeurs diffusées par ENEDIS et ses sous-traitants pour intimider les millions de citoyens qui refusent les Linky.

En effet, un des objectifs principaux du programme Linky est de licencier tous les releveurs afin de rendre ENEDIS encore plus rentable et d’en préparer la privatisation partielle ou totale.

Il est donc très probable que cette relève (et donc la facturation associée) ne sera jamais mise en œuvre. Même si elle l’était, elle coûterait moins cher que les augmentations de factures et d’abonnements consécutives aux poses de Linky.

Qui plus est, une telle facturation, s’agissant d’un produit déclaré de première nécessité, romprait avec l’égalité de traitement des citoyens, ce qui pourrait amener les collectifs et associations à saisir la justice pour mettre fin à cette discrimination. Pour mémoire, la gestion des compteurs et de la relève est déjà payée par tous les abonnés – quels que soient leurs fournisseurs – par le biais du Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Électricité (TURPE) .

En conclusion

  • Les collectifs et associations soussignés récusent le rapport de la CRE et ses conclusions qui valorisent de façon mensongère le programme Linky lequel, au contraire, impose d’importants contraintes et risques aux usagers sans leur apporter le moindre avantage.

  • Par son coût, les problèmes qu’il crée et son inutilité d’ores et déjà avérée, le système Linky est une aberration technologique, sociale et environnementale. Ce système de collecte massive de données personnelles conçu par ENEDIS à l’école de ses prédécesseurs californiens – voir le film “Take back your Power” (9) – ne peut être imposé à des citoyens libres.

  • Aucune loi n’impose aux particuliers d’accepter la mise en place d’un compteur Linky sur leurs lieux de résidence, et la Cour d’appel de Bordeaux précise dans un arrêt du 17 novembre 2020 qu’ « aucun texte (…) n’impose à la société ENEDIS, société commerciale privée, concessionnaire du service public, d’installer au domicile des particuliers des compteurs Linky ». A ce jour, au moins 23 procédures judiciaires collectives à linitiative de plusieurs milliers de citoyens sont engagées pour faire cesser les poses forcées de ces appareils.

  • Il y a lieu à présent de permettre aux citoyens abusés par ENEDIS et ses sous-traitants de faire valoir leurs droits, c’est dans ce but qu’à été créé le site https://retrait-du-linky.org

 

Télécharger le communiqué en format .pdf : Communiqué-rapportCRE-LINKY 211219

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Premiers signataires :

Association Bugey Avenir Energie Tous Citoyens (BAETC)

01

Collectif Stop Linky 02

02

Collectif Stop-Linky Montagne de Lure

04

Association « Ondes et Santé » La Salvetat – Peyralès

12

Collectif du Vallon d’information sur les objets connectés et champs électromagnétiques artificiels

12

Association “A nos Ondes !“ Pays Salonais

13

Association « Ond’ic » Pordic

22

Collectif Stop Linky Drôme Gandiois

26

Collectif Stop Linky Gard Beaucaire

30

Collectif Stop Linky Piémont Cévenol

30

Coordination Sud Cévennes

30

Collectif “Non au Linky” Savès Louge Volvestre

31

Collectif Non Linky Saint Caprais de Bordeaux

33

Collectif Stop Linky Bassens

33

Collectif Stop Linky Datagaz et 5 G de Bordeaux Métropole

33

Collectif Stop Linky Sud-Gironde

33

Collectif Stop Linky 5G Forez

33

Collectif Stop Linky 5G Loire

42

Collectif 44 contre Linky

44

Collectif Nantes1 anti-Linky5G

44

Collectif Stop Linky et 5G du Pays de Condé

59

Collectif ACCAD (Anti Compteurs Communicants Artois Douaisis)

62 / 59

Collectif Stop Linky 5G Livardois-Forez

63

Association Action citoyenne environnementale (ACE) Hendaye

64

Association CALA 64600 (collectif anti Linky Anglet)

64

Association Ondes de choc

64

Collectif Salies Sans Linky

64

Collectif Stop-Linky de la plaine de Nay

64

Collectif Citoyens Communicants (Stop Linky 66)

66

Association Alerte citoyenne communauté urbaine (ACCU)

71

Collectifs “Stop Linky Grand Paris”

75

Collectif “Linky non merci!” Paris-Sud (5°, 6°, 7°, 12°, 13°, 14°, 15° et 16° arrondissements)

75

Collectif Deux Sèvres Refus Linky Gazpar

79

Collectif Stop Linky Var Ouest

83

Collectif Stop Linky Contat Ventoux

84

Collectif Stop Linky La Roche sur Yon

85

Collectif Stop Linky des Olonnes

85

Collectif Stop Linky Riez Vie

85

Association Stop Linky-5G 88

88

Association Robin des Toits

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Notes & liens

  1. https://www.cre.fr/content/download/7557/66879

  2. https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2018-01/07-compteurs-communicants-Linky-Tome-1.pdf

et

https://www.francetvinfo.fr/societe/couteux-complique-pas-si-utile-la-cour-des-comptes-epingle-le-compteur-electrique-linky_2597216.html

  1. https://www.robindestoits.org/LES-FICHES-INFO-LINKY-5-Alternative-au-Systeme-Linky_a2677.html

  2. https://www.robindestoits.org/LES-FICHES-INFO-LINKY-3-CPL-rayonnement-et-EHS_a2675.html

(5) Voir des exemples ici : http://refus.linky.gazpar.free.fr/incendies-linky.htm

(6) http://refus.linky.gazpar.free.fr/promotelec-censure-incendie-linky.htm

(7) Voir l’analyse de l’association Robin des Toits:

https://www.robindestoits.org/LES-FICHES-INFO-LINKY-16-Surconsommation-surfacturation-contrats_a3063.html

(8) Voir des exemples ici : http://refus.linky.gazpar.free.fr/linky-disjoncte.pdf

(9) https://www.youtube.com/watch?v=dgK14l7_cDw

Les avantages du Linky… quelques illustrations

Si vous refusez le Linky, vous loupez des “opportunités” !

– vous ne pourrez pas souscrire le tarif “mes jours Zen week-end” by EDF : 30 % moins cher le week-end … et un peu beaucoup plus cher le reste du temps. Mais avec un bon pull…

– vous n’aurez jamais droit à l’offre à “tarification dynamique” by Leclerc Energie : vous êtes avertis du changement de tarif toutes les heures (toujours le moins cher du marché !) par une notification (alerte) sur votre smartphone, et vous pouvez couper en fonction, à distance ou à la voix avec Alexa ® d’Amazon ou Google Assistant ®, votre chauffage, votre lave vaisselle jusqu’à la prochaine plage pas chère… Ça évite de s’ennuyer !

Et si vous avez un Linky…

EDF ne coupera plus votre courant si vous ne payez pas. Il “limitera” la puissance de votre installation (à 1kVA minimum), de quoi continuer à vous éclairer, à vous faire un œuf au plat en regardant la télé… mais pas à vous chauffer ou à prendre une douche chaude, faut pas déconner, vous êtes pauvres et assistés (comme 12 millions de français, précaires énergétiques, soit 20 % de la population). Accessoirement, EDF et les autres fournisseurs d’électricité n’auront plus, du coup, à respecter la “trêve hivernale”.

Votre électricité coupée ou réduite à distance, et non par un technicien qui se déplacerait chez vous et pourrait tenir compte de votre situation réelle? Quel progrès !

Vigie citoyenne/chantier RTE /éoliennes en baie de Saint-Brieuc

Poursuite de la Vigie Citoyenne à ERQUY

Action d’occupation

le vendredi 3 décembre- 09h30 –  à Erquy

Rendez-vous sur l’aire de repos de « La Couture » à Erquy,
Nous rejoindrons ensemble, à pied, le chantier.

Merci de votre soutien en présentiel ou en relayant un maximum !!

Organisation de covoiturages au départ de Plérin et Saint-Brieuc (8h30
parking de la Croix Lambert)

Association “Gardez les caps”

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2066239813535364&id=407166539442708&m_entstream_source=timeline

 

Non à l'usine éolienne à ERQUY
Non à l’usine éolienne à ERQUY

https://saint-brieuc.maville.com/actu/actudet_-cotes-d-armor.-premiere-action-du-collectif-contre-le-parc-eolien-en-baie-de-saint-brieuc-a-erquy-_loc-4925735_actu.Htm

https://dinan.maville.com/actu/actudet_-parc-eolien-en-baie-de-saint-brieuc.-l-agriculteur-se-bat-contre-la-ligne-electrique-en-construction-_52686-4885073_actu.Htm

Dépôt d’un recours devant la préfecture des Côtes d’Armor

“Dans un communiqué, publié ce vendredi 10 septembre, les deux associations Sea Shepherd et Gardez les Caps ont confirmé avoir déposé un recours devant la préfecture des Côtes d’Armor, à la veille de la clôture du congrès mondial de la nature de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) qui se tient à Marseille.

Ce recours vise « les 59 dérogations de destruction d’espèces protégées accordées à Iberdrola Ailes Marines » dans le cadre de la réalisation, en cours et contestée, du parc éolien de la Baie de Saint-Brieuc. Les deux associations attaquent un arrêté préfectoral du 18 avril 2017.”

https://www.letelegramme.fr/dossiers/parc-eolien-en-baie-de-saint-brieuc-des-annees-de-tensions/parc-eolien-de-saint-brieuc-sea-shepherd-et-gardez-les-caps-confirment-avoir-depose-un-recours-10-09-2021-12822935.php

Crise coronavirale : entretien (1) avec le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud

A retrouver sur le blog de Laurent Mucchielli (si pas censuré par Médiapart … ) : https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/300921/crise-coronavirale-entretien-1-avec-le-toxicologue-jean-paul-bourdineaud

Dans cet entretien, le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud conteste la supposée toxicité de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine, explique la raison de leur bannissement, et développe la notion de controverse scientifique ; il met en lumière le rôle des conflits d’intérêts et le problème de l’évaluation des risques par les agences de régulation, qui ont abouti à l’unique solution vaccinale.

1) Bonjour Jean-Paul Bourdineaud, pouvez-vous vous présenter pour mes lecteurs ? Quels sont votre formation, votre profession et votre domaine de compétence scientifique ? Avez-vous par ailleurs des conflits d’intérêts, quels qu’ils soient ?

JP.B. — De formation, je suis ingénieur chimiste, je possède un DEA (maintenant appelé mastère) de chimie organique, puis j’ai bifurqué vers la biologie et je suis titulaire d’un doctorat de biologie moléculaire et cellulaire.

Avant de débuter ma carrière d’universitaire, j’ai travaillé pendant trois ans en tant qu’ingénieur de recherche dans l’industrie de la parfumerie chez Givaudan, une filiale de Roche. Désormais, je suis professeur à l’Université de Bordeaux, où j’enseigne la microbiologie, la biochimie et la toxicologie environnementale. Mon domaine de compétence est celui de la microbiologie, de la biochimie et de l’écotoxicologie. Je suis éditeur associé du Journal of Toxicological Sciences et de l’International Journal of Molecular Sciences, section Molecular Role of Xenobiotics. Mes travaux scientifiques et ceux de mes collaborateurs sont référencés dans la base de données National Center for Biotechnology Information et 85 articles apparaissent, et pour ceux qui connaissent la signification des critères quantitatifs, mon indice h collecté par le Web of Science est égal à 29 (indice lié à la fréquence avec laquelle nos travaux sont cités par les autres chercheurs, et donc leur rayonnement). Il ne s’agit pas de vanité de ma part, mais je suis contraint de devoir le souligner car mon expertise en sciences biochimiques et microbiologiques a été mise en cause après la publication de ma lettre à Charlie Hebdo, et entre autres, par Antonio Fischetti, le référent scientifique de Charlie Hebdo. À titre de comparaison, les indices h de Didier Raoult (Institut Hospitalier Universitaire – IHU – de Marseille), Christian Perronne (hôpital de Garches), Karine Lacombe (hôpital Saint-Antoine), et Benjamin Davido (hôpital de Garches) sont égaux à 147, 37, 28, et 12, respectivement. Je cite ces deux derniers médecins car ils ont été très médiatisés et sont des anti-raoultiens virulents et pugnaces.

J’ajoute que c’est aussi le citoyen éclairé (parce que possédant les connaissances scientifiques nécessaires) qui parle, et que mes propos n’engagent en rien l’Université de Bordeaux, ni même le CRIIGEN dont je suis membre du conseil scientifique, car ces entités se veulent apolitiques et neutres. Or, intervenir dans le champ de l’imposition du passe sanitaire et de la vaccination de masse est un acte éminemment politique puisque ces mesures sont elles-mêmes avant tout politiques et non médicales.

Le but de mes recherches est de comprendre comment les organismes réagissent aux contaminants environnementaux, en termes de stratégies moléculaires utilisées pour s’adapter et éliminer les polluants. Mon approche rompt d’avec celle de la toxicologie traditionnelle, laquelle se concentre sur une exposition aiguë à fortes doses, proche de la DL50 (dose qui provoque 50 % de létalité), et donc non pertinente d’un point de vue environnemental. Je focalise au contraire sur les doses qui sont celles rencontrées dans l’environnement et auxquelles sont confrontés les organismes animaux et humains. Par exemple, j’ai pu démontrer l’impact nocif des nanoparticules métalliques sur plusieurs espèces animales aquatiques et terrestres à des doses environnementales. Un thème principal qui m’occupe depuis plusieurs années concerne les contaminations au mercure par consommation de poisson et l’influence des différentes espèces chimiques du mercure sur la santé.

Enfin, pour répondre à votre dernière question, contrairement à quantités de médecins présents sur les plateaux de télévision depuis le début de la crise coronavirale, je ne présente aucun « conflit d’intérêts », c’est-à-dire que je ne suis pas rémunéré ni gratifié en nature ou en honneur pour quelque activité que ce soit (conseil, expertise, travaux de recherche) par des intérêts privés, et je pense notamment aux entreprises pharmaceutiques. Je suis, comme vous, un serviteur de l’État et de la République, et je ne mange pas ni ne m’abreuve à plusieurs gamelles.

2) Merci. Comment en êtes-vous arrivé à vous intéresser aux traitements contre la Covid, à la vaccination anti-SARS-CoV-2, au passe sanitaire, et à rendre publique votre opinion sur le sujet ?

JP.B. — Vous avez bien compris que j’œuvrais en tant que chercheur dans le domaine des sciences environnementales. De nombreuses épidémies virales sont liées à la destruction des habitats des animaux porteurs des virus émergeants, par la déforestation, l’urbanisation et l’industrialisation qui accompagnent l’accroissement démographique humain et la quête obligatoire en système capitaliste de la croissance économique, laquelle dans les pays occidentaux est liée pour presque moitié à l’accroissement des populations, comme l’a montré Thomas Picketty dans son ouvrage Le capital au XXIe siècle. Sonia Shah a pointé la responsabilité du désastre environnemental et les dangers de l’élevage industriel dans la survenue d’épidémies, pour certaines terrifiantes telles que celles du virus du Nil occidental et du virus Ebola.

Mais en tant que toxicologue environnemental, au-delà de la destruction des habitats naturels, c’est la pollution environnementale qui me préoccupe. Et comme l’a rappelé mon collègue Christian Vélot dans votre entretien, le coronavirus SARS-CoV-2 ne fait que porter le coup de grâce final (Christian emploie le mot d’estocade) aux personnes déjà largement diminuées par leurs pathologies chroniques. Le problème des maladies chroniques dans nos sociétés occidentales est crucial ; l’Organisation Mondiale de la Santé s’en est fait l’écho à plusieurs reprises, et le Conseil Économique Social et Environnemental (CESE) a rappelé dans son rapport livré le 11 juin 2019 que 10,7 millions de personnes bénéficient en France du dispositif des « affections de longue durée », et que l’Assurance Maladie dénombre 20 millions de personnes recevant des soins liés à une pathologie chronique. Le CESE écrit que « les évolutions des habitudes et conditions de vie et de travail, les pollutions de l’environnement, jouent un rôle majeur dans l’apparition, le développement et l’aggravation de ces maladies ».

La pollution atmosphérique est la principale cause de mortalité liée à la pollution environnementale et se traduit par le décès prématuré de millions de personnes chaque année. L’Agence Environnementale Européenne (EEA), dans son rapport sur la qualité de l’air publié en octobre 2017, a estimé le nombre de décès prématurés (avant 65 ans) causés par la pollution de l’air en Europe à 520 400 personnes pour l’année 2014. La pollution de l’air se traduit par les pathologies chroniques principales suivantes : infarctus du myocarde (36 %), accidents vasculaires cérébraux (36 %), cancers du poumon (14 %), broncho-pneumopathies chroniques obstructives (8 %), et les infections respiratoires pédiatriques (6 %). On remarquera que de manière similaire aux polluants atmosphériques, le covid-19 dans sa forme grave touche particulièrement les fonctions respiratoires et cardiaques. Les personnes déjà sensibilisées par les polluants atmosphériques avec leur cortège de maladies chroniques associées constitueraient donc des proies vulnérables pour le coronavirus SARS-CoV-2. L’OMS, dans son rapport de 2016 sur la pollution de l’air, estime à 2,97 millions le nombre de morts attribuables à la pollution de l’air dans le monde entier pour la seule année 2012. Il serait déraisonnable de refuser d’admettre que ces pathologies chroniques d’origines environnementales ne fragilisent pas ceux qui en sont affligés après infection par le SARS-CoV-2. La pollution de l’air tue donc annuellement et prématurément plus de citoyens européens que le covid, sans que cela semble émouvoir nos autorités sanitaires.

J’étais donc déjà attentif et mobilisé lorsque la controverse de l’hydroxychloroquine (HCQ) a éclaté en février 2020. À ma grande stupéfaction, l’HCQ a été classée substance vénéneuse par le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, le 13 janvier 2020, juste au début de la pandémie, alors qu’il savait bien que ce médicament venait d’être utilisé avec succès en Chine (voir ici, et ici). Puis, les médecins courtisans et leurs relais médiatiques l’ont déclarée être un poison violent, cardiotoxique redoutable. Dans le même temps, des médecins stipendiés par Gilead promouvaient le Remdesivir, fabriqué par cet industriel. Or, en tant que toxicologue, j’ai immédiatement compris que l’on nous racontait des bobards (« fake news » dans le jargon des journalistes parisiens). Car précisément, c’est l’inverse : le Remdesivir est très toxique, d’emblée aux doses nécessaires pour obtenir un effet antiviral, alors que l’HCQ est utilisée depuis des décennies sur des personnes elles-mêmes fragilisées par des maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux et les affections rhumatoïdes. D’ailleurs l’OMS a fini par reconnaître la possibilité d’importants effets secondaires du Remdesivir et a déconseillé son utilisation dans le traitement du covid (voir ici).

Puis, l’imposition du passe sanitaire est arrivée et ce qui m’a navré et agacé a été le traitement médiatique réservé aux opposants au sésame sanitaire et en particulier aux personnels soignants réfractaires. Dans les médias dominants, nous avons été vilipendés, poussés vers les marges de l’extrême droite, qualifiés d’antisémites, et d’illuminés irrationnels. Puis, Charlie Hebdo a chanté le même refrain, avec le talent satirique qu’on lui connaît. Je suis un ami de Charlie et un abonné. On ne peut pas être en permanence en accord avec ses amis, mais plusieurs unes et articles virulents, et en réalité manquant de discernement (c’est une règle de la caricature et de la satire que je reconnais bien volontiers à Charlie), m’ont suffisamment titillé pour que je décide d’adresser une lettre à Charlie, lui présentant des arguments rationnels et même scientifiques bien étayés. Cette lettre fut envoyée à Charlie le 29 juillet qui m’a répondu le 2 août par la plume de Marika Bret : « Bonjour, merci pour votre message, courrier argumenté qui participe au débat. En vous souhaitant un bel été… » Puis l’association CRIIGEN – qui a pour vocation d’informer le public sur les biotechnologies et le génie génétique – et dans laquelle je suis un membre du conseil scientifique, a décidé de publier et d’héberger ma lettre à Charlie début août. Le CRIIGEN est naturellement fondé à informer le public sur les vaccins, car ceux adoubés et distribués en France sont tous issus du génie génétique.

Ce fut pour moi une surprise : ma lettre a été remarquée, lue et appréciée par beaucoup (mais pas tous). Des collectifs de lutte anti-passe sanitaire m’ont contacté à la mi-août, et notamment ceux des « Blouses blanches » et des « Citoyens libres des Pyrénées ». Les « Blouses blanches » m’ont dirigé vers le réalisateur Magà Ettori qui procédait à la confection d’un film documentaire sur les soignants en lutte et sur le thème des libertés. J’ai accepté sa proposition d’apparaître et de témoigner, et dans son film « Liberté », et dans le débat diffusé en vif qui a suivi la diffusion du film, le 5 septembre dernier sur YouTube. Et comme le monde est presque parfait, vous m’avez contacté et proposé cet entretien.

3) Vous contestez la toxicité de l’HCQ et son supposé manque d’efficacité contre le traitement du covid. Vous êtes très peu nombreux à assumer publiquement une telle position parmi les scientifiques. Ne vous sentez-vous pas isolé et mis en défaut en tant que scientifique ?

JP.B. — Tout d’abord, en matière scientifique, le nombre ne fait pas le poids. Un seul scientifique peut avoir raison de la multitude. Le consensus dans le monde scientifique n’est possible que sur les acquis, et sur ce qui est incorporé dans le grand corpus des connaissances scientifiques. Par exemple, on ne dispute plus le fait que les humains sont des mammifères au même titre que les primates : trop de preuves sont abondantes y compris dans l’esprit des non scientifiques. La molécule d’eau est formée de deux atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène. Là aussi, les preuves, inaccessibles d’emblée au grand public, sont de nature spectroscopiques, biochimiques, et dans les laboratoires de biologie moléculaire, nous réalisons quotidiennement des électrophorèses de protéines et d’acides nucléiques où l’on sépare ces molécules par l’imposition d’un champ électrique : on observe le dégagement de l’hydrogène à la cathode et de l’oxygène à l’anode avec une production de bulles gazeuses deux fois plus importante à la cathode ; il s’agit bien d’une électrolyse de l’eau. C’est toujours un ravissement de le vérifier et de le montrer aux étudiants. C’est donc la répétabilité et la banalité des observations réalisées par quantité de personnes sur une longue durée qui permet le consensus scientifique.

En revanche, le dissensus prévaut dans la science en train de se faire, c’est-à-dire celle qui est à l’œuvre et en cours dans les laboratoires de recherche. La controverse est de mise et même souhaitable lorsqu’elle n’est pas polluée par les « conflits d’intérêts » des chercheurs, car la dispute permet de susciter de nouvelles théories, lesquelles conduisent à la mise en œuvre d’expériences, dont les résultats permettront à leur tour de moduler, d’infléchir, de corriger le modèle théorique, nouveau modèle se prêtant à son tour à un nouveau cycle d’hypothèses et d’expérimentation. C’est la démarche positiviste comtienne développée en 1865 par Claude Bernard (Introduction à l’étude de la médecine expérimentale) et mise en œuvre dans ses travaux sur le diabète et la régulation de la glycémie par la sécrétion pancréatique. Bruno Latour (La science en action, 1989) a bien expliqué cette dialectique, et il appelle la science en cours d’élaboration la science en action. Je vais donner quelques exemples où un scientifique, seul, peut se dresser contre la communauté entière de son champ disciplinaire, et se voir rendre justice des années plus tard.

En son temps (le milieu du 19ème siècle), Ignace Semmelweis était seul contre tous les médecins de l’hôpital de Vienne en Autriche, lorsqu’il a mis en place les premiers rudiments et gestes de l’asepsie. Il a été moqué, renvoyé de l’hôpital et interné dans un asile d’aliénés. L’obstétricien qu’il était avait fait diminuer de 75 à 20 % la mortalité puerpérale des parturientes. Les femmes suppliaient pour pouvoir accoucher dans son service. Le trublion fut déclaré cinglé par ses collègues jaloux. Cette histoire, véridique, est superbement contée par Céline, dans un ouvrage qui a constitué sa thèse de médecin généraliste.

De même, Louis Pasteur avait raison contre les Académies des Sciences et de Médecine, non seulement concernant la vaccination (celle pasteurienne), mais également sur la controverse de la génération spontanée qui l’avait opposé à Pouchet.

Autre exemple : Stanley Prusiner, finalement récipiendaire du Prix Nobel de médecine, a dû batailler quinze ans pour faire admettre que la maladie de la tremblante chez le mouton, le kuru frappant les indigènes de Papouasie Nouvelle-Guinée, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, et ce que les journalistes ont nommé la maladie de la « vache folle », étaient toutes dues à un agent pathogène non vivant, dépourvu de génome – et donc sans gène de virulence puisque sans aucun gène -, lequel se résumait à n’être qu’une bête protéine nommée prion, exprimée dans le cerveau, et qui pouvait adopter une configuration tridimensionnelle pathologique (étiologie variée : génétique, spontanée, ou par consommation de viandes d’animaux malades, ou de cerveaux humains dans le cas du kuru).

Enfin, Oswald Avery, Colin MacLeod et Maclyn McCarty avaient raison contre toute la profession des biochimistes et généticiens lorsqu’ils affirmaient en 1944 que le support de l’information génétique était l’ADN et non pas les protéines. Ils durent attendre huit années pour que leur découverte soit acceptée par la communauté scientifique après l’expérience de Martha Chase et Alfred Hershey qui montrait que le virus bactériophage T2 se fixe à la surface du colibacille, et lui injecte son ADN, et que seul l’ADN viral – et non les protéines virales – permet une multiplication virale ultérieure dans les cellules bactériennes.

Venons-en maintenant à Didier Raoult. Renaud Piarroux, spécialiste du choléra, en collaboration avec Didier Raoult, a montré que l’épidémie de choléra ayant frappé Haïti juste après le tremblement de terre de 2010, avait eu pour origine le campement des soldats népalais mandatés par les Nations Unies et l’OMS afin de rétablir l’ordre. Leur article envoyé au Lancet a été refusé car l’hypothèse chez les scientifiques de l’OMS était que cette épidémie de choléra était la première épidémie écologique due au réchauffement climatique et à l’effet El Niño. La conséquence de ce refus d’accepter les résultats des travaux de Piarroux et Raoult fut que le choléra continua à sévir à Haïti tuant des personnes qui aurait pu éviter la maladie et pour certaines la mort, si l’OMS et l’ONU avaient accepté leur responsabilité et fait procéder à la désinfection du camp népalais et au traitement par antibiotique des soldats. L’OMS s’est très longtemps entêtée sur le sujet avant de reconnaître son tort.

Autre exemple de l’avance de Didier Raoult et de ses approches sur le reste de la communauté scientifique : en 1998, lui et ses collaborateurs démontrent, en analysant des dents retrouvées dans des charniers, que les personnes mortes de la peste à Marseille en 1720, ainsi que celles tuées par les pestes du Moyen-Âge et justinienne, l’ont été par la seule souche bactérienne Yersinia pestis orientalis (alors qu’un modèle attribuait des souches différentes à chaque peste, et qu’un autre modèle incriminait des virus), et que le principal vecteur n’était pas la puce de rat mais les poux. Leurs résultats ont immédiatement été contestés et notamment par une équipe anglaise qui n’a pas réussi à les confirmer à ce moment-là du fait de son retard méthodologique relativement à l’équipe de Raoult. Treize ans plus tard, en 2011, la même équipe anglaise publiait un article confirmant la découverte des français.

Ces différents exemples montrent qu’un seul chercheur ou une équipe peut détenir la vérité contre le reste des scientifiques ou l’institution académique. Pour être juste, l’inverse est vrai : la multitude peut avoir raison sur la minorité en matière scientifique. Alors qu’en conclure ? Et bien qu’un débat scientifique ne saurait être décidé par le seul argument du nombre. La vérité scientifique ne se met pas aux votes, elle est vraie indépendamment du nombre et de la qualité de ses opposants ou partisans : seuls les résultats expérimentaux, leur répétabilité, et l’exercice de la raison peuvent trancher le nœud gordien.

Je n’ai pas la prétention de me comparer aux titans de la science que je viens d’évoquer, mais j’ai voulu devenir scientifique parce que je les admirais. Quand j’affirme que l’HCQ ne présente pas de dangers toxicologiques lui interdisant d’être prescrite en traitement contre le SARS-CoV-2, contre une majorité de médecins courtisans, je n’ai pas tort a priori au seul motif de la quantité de personnes prétendant l’inverse.

Des collègues me disent que mes arguments présentés dans la lettre à Charlie sont certes recevables, mais que je prends le risque de discréditer l’institution et la communauté scientifique en contribuant à une controverse rendue publique, et notamment par le fait que les réseaux anti-vaccinalistes se sont emparés de ma lettre. Tout d’abord, je ne suis pas responsable de l’usage que peuvent faire de ma lettre les différents réseaux militants, et je ne peux interdire à personne la possibilité de reprendre les arguments que j’avance (s’ils ne sont pas modifiés ou tronqués, ou présentés de manière parcellaire hors contexte, ce qui serait malhonnête). La controverse, la dispute et le dissensus sont nécessaires pour démêler les résultats de la science en action, et je ne vois pas pour quelles raisons ce processus devrait être escamoté et dissimulé au public, au motif spécieux et plutôt méprisant que nos contemporains non scientifiques ne pourraient pas comprendre et se poseraient des questions sur la pertinence et la portée des avis scientifiques. Au CRIIGEN, nous estimons plutôt que les citoyens devraient s’emparer des grands débats scientifiques et technologiques puisque la technoscience et ses réalisations modifient nos existences et nos sociétés, pour le bien et le pire. La philosophe Barbara Stiegler est du même avis et écrit « que plutôt que de se taire par peur d’ajouter des polémiques à la confusion, le devoir des milieux universitaires et académiques est de rendre à nouveau possible la discussion scientifique et de la publier dans l’espace public ».

De surcroît, nous avons été mis au pied du mur. La nécessité du grand déballage nous a été imposée sans que le débat entre scientifiques (non soudoyés par les industriels) ait pu avoir lieu en préalable. À rebours, ce sont les professeurs Christian Perronne et Didier Raoult qui ont été victime de calomnies, de menaces de mort, et de tentatives d’interdiction de l’exercice de la médecine par l’Ordre national des médecins et ses diverticules départementaux, une entité créée par le régime félon de Vichy et qui a curieusement survécu à l’épuration à la Libération. Alors que cet Ordre accuse le Pr Raoult de charlatanisme (plus précisément, sa branche départementale des Bouches-du–Rhône), le même Ordre ne s’était pas opposé et n’avait émis aucune objection ou protestation contre les lois antisémites excluant les médecins juifs sous Vichy. Ainsi, qui discrédite la Science, moi ou bien l’Ordre avec ses complaisants relais médiatiques, ainsi que les médecins à la solde de l’industrie pharmaceutique, les agences d’expertise (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, ANSES ; Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, ANSM, anciennement AFSSAPS ; Agence Européenne du Médicament, EMA), bienveillantes vis à vis des industriels et gangrénées par les « conflits d’intérêts » (voir ici, et ici), ou les scientifiques qui publient des données frauduleuses comme l’ont révélé les affaires du Lancet et du New England Journal of Medicine ?

Je constate d’ailleurs que les industriels ne sont pas en reste quand il s’agit de mettre en évidence les désaccords entre scientifiques, et surtout d’en tirer profit en les exploitant. Par exemple à propos des risques liés aux pesticides, aux perturbateurs endocriniens, aux nanoparticules, aux OGMs végétaux, à la téléphonie mobile, à l’amiante, et à certains médicaments. Face aux études montrant la toxicité pour l’environnement et la santé des humains de ces molécules et nouvelles technologies, les industriels et leurs groupes de pression harcèlent les parlementaires, déjeunent avec les journalistes influents et les patrons de presse, et mettent en avant les travaux lénifiants de leurs scientifiques liges, tant et si bien qu’ils en appellent à l’arbitrage, et du public, et des agences d’expertises conseillant les gouvernements, en minaudant de la sorte : « mais enfin, si même les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux , c’est bien que les données toxicologiques ne sont pas suffisamment probantes ; laissez-nous donc encore 20 ans d’exploitation de notre affaire ». Cette stratégie a été éventée par un universitaire étatsunien, Sheldon Krimsky, professeur de politique urbaine et environnementale à l’Université de Tufts, qui constata que 35 % des 789 articles qu’il avait scrutés avaient au moins un auteur ayant des intérêts financiers dans le domaine de recherche étudié.

Enfin, il faut rappeler que le propre de l’esprit scientifique est de douter. Douter de ses propres résultats que l’on vérifie en s’assurant de leur répétabilité, et douter des nouvelles merveilles technologiques censées révolutionner nos existences. Se poser des questions sur ces vaccins biotechnologiques en phase d’essai ne consiste pas à refuser l’avancée de la science, mais à exercer son esprit critique et exiger une somme de certitudes suffisantes avant de se faire injecter un ensemble hétéroclite de molécules à effets biologiques. En revanche, les zélotes de ces biotechnologies vaccinales, eux, ne doutent absolument pas, et prétendent être dans la démarche scientifique idoine, et renversent l’accusation de déni scientifique contre ceux qui précisément doutent, en dépit de tous les acquis de l’épistémologie en matière heuristique. Laissons le dernier mot au plus grand d’entre nous autres, microbiologistes et biochimistes, Louis Pasteur (cité par Latour) : « Dans les sciences expérimentales, on a toujours tort de ne pas douter alors que les faits n’obligent pas à l’affirmation ».

4) Revenons à la question relative à la toxicité de l’HCQ et plus actuellement de l’ivermectine. Quels sont vos arguments permettant d’affirmer que ces substances ne présentent pas de dangers majeurs en utilisation thérapeutique ?

JP.B. – Tout médicament est toxique, et la combinaison entre la dose (ou la concentration sanguine) et la durée de traitement déterminera la survenue d’évènements toxiques (plus la dose et la durée de traitement sont élevés, et plus grands sont les risques toxiques). Il faut donc s’assurer qu’aux doses efficaces et durant la durée de traitement, la toxicité soit la plus faible possible. Les anti-raoultiens mettent en avant des données toxicologiques redoutables, celles obtenues avec de très hautes doses, non pertinentes quant aux dosages thérapeutiques, et bien évidemment mortelles, mais qui doivent être obligatoirement acquises sur les animaux (les test dits de toxicité aigüe ; le but est de préciser les doses mortelles tuant la moitié de l’effectif, DL50, en 24 h ou 48h), ce qui permet aux agences sanitaires de préciser les doses limites en divisant la DL50 par 100 ou 1000.

L’HCQ est utilisée en indication contre le paludisme et contre certaines maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux systémique (LES) et les affections rhumatoïdes. Avant 2020, donc avant la pandémie de SARS-CoV-2, l’essentiel de la littérature toxicologique concernant l’HCQ avait trait principalement au risque de rétinopathies chez des patients atteints de maladies auto-immunes, et seulement secondairement à sa cardiotoxicité éventuelle. Cette focalisation sur le cœur et la rétine était motivée par le fait que les patients atteints du LES sont sujets aux rétinopathies et aux maladies cardiovasculaires, indépendamment de la prise d’HCQ (voir ici et ). Il fallait donc vérifier si la prise d’HCQ chez ces patients ne serait pas un facteur aggravant. Pour la rétine, et chez des patients souffrant du LES, et qui prennent donc l’HCQ quotidiennement, une étude espagnole montrait en 2019 qu’en deçà d’une dose de 5 mg/kg/jour, aucun effet toxique n’était observable quant à la rétine et la macula. Quant au cœur, la combinaison HCQ plus azithromycine (AZI) testée sur des dizaines de milliers de personnes souffrant de maladies auto-immunes n’a déclenché aucune augmentation avérée de l’arythmie cardiaque. Puis une méta-analyse (incorporant et synthétisant les résultats obtenus par 46 études avec tirage au sort) a conclu que l’usage de l’HCQ était sûr, et qu’aucune augmentation significative de risque cardiovasculaire et ophtalmologique n’avait été enregistrée. Également, sur plusieurs centaines de patients atteints du covid et hospitalisés, l’administration d’HCQ n’a pas révélé de lien avec la nécessité d’intubation ou l’issue fatale, relativement aux patients non traités, alors même que les auteurs de l’étude reconnaissent que les patients traités avec l’HCQ étaient plus sévèrement atteints.

En réalité, c’est le SARS-CoV-2 lui-même qui cause de graves dommages cardiaques et des arythmies, et cela était su depuis le début de la crise coronavirale (voir ici, et ici). Des médecins chinois ont très rapidement alerté sur le fait que « contrairement aux autres infections à coronavirus, qui provoquent principalement des infections pulmonaires, ce cas d’infection à coronavirus s’est caractérisé par une atteinte cardiaque ». Et donc des tentatives de traitement à l’HCQ sur des patients en réanimation (déconseillés par le Pr Raoult) ont conclu à la cardiotoxicité de l’HCQ alors qu’il s’agissait des effets du virus. Et là, les médias ont claironné la nouvelle de la cardiotoxicité de l’HCQ sans demander d’essais par tirage au sort (« randomisés », disent les journalistes).

Quant à l’ivermectine, elle est utilisée en tant qu’antiparasitaire (contre la gale et des vers intestinaux). Sur sa sûreté d’administration, une méta-analyse portant sur 452 études, montrait que jusqu’à une dose égale à 0,4 mg/kg, aucun effet indésirable ou toxique n’était constaté. En traitement chez des enfants contre la gale et le ver intestinal causant la trichocéphalose, elle s’est révélée efficace et sûre (voir ici et ).

5) Mais si l’HCQ et l’ivermectine sont à la fois efficaces et non toxiques aux doses indiquées, pourquoi sont-elles autant ostracisées à votre avis ?

JP.B. — La dévalorisation et l’opprobre jeté sur l’HCQ ont démarré très tôt et au plus haut niveau de l’administration puisque la direction générale de la santé l’a classée substance vénéneuse dès janvier 2020, avant même les premiers foyers infectieux déclarés en France. Puis l’affaire de l’article bidonné du Lancet va permettre au ministère de la santé d’interdire ce médicament. L’interdiction sera maintenue après même que la fraude scientifique aura été éventée, et alors que l’OMS sera, elle, revenue sur sa décision. Mais avant que l’affaire du Lancet ne trucide définitivement les chances de l’HCQ (le 22 mai 2020), un épisode quasi burlesque avait déjà entamé la longévité de l’HCQ : c’est l’affaire de l’aquariophile maladroit mort après avoir ingéré de manière préventive une quantité mortelle de phosphate de chloroquine (23 mars 2020) ce qui n’a strictement rien à voir avec le protocole thérapeutique raoultien. Le ministre Véran participa de l’embrouillamini et exploita le fait divers devant la représentation nationale : « Les cardiologues m’alertent également sur le fait que l’hydroxychloroquine peut entraîner des troubles cardiaques. Aux États-Unis, aujourd’hui, une personne qui en avait utilisé en automédication a été victime d’un arrêt cardiaque qui lui a été fatal ». Le journaliste qui cite M. Véran ne se demande pas quels cardiologues, et à partir de quelles bases observationnelles et cliniques ces mystérieux cardiologues parleraient. Le ministre se mélange les pinceaux ou les médocs puisque c’est le phosphate de chloroquine et non l’HCQ qui est impliquée dans ce cas d’empoisonnement. Or l’HCQ est utilisée en lieu et place des autres congénères de la famille (phosphate de chloroquine et chloroquine) précisément parce qu’elle est nettement moins toxique que ces dernières et frappée d’innocuité aux doses thérapeutiques.

La toxicité à très hautes doses des congénères de l’HCQ était déjà connue, ce cas isolé n’apportait donc rien à leur toxicologie. Et pourtant, la propagande déployée allait instrumentaliser ce fait divers et laisser entendre que cette information était neuve, fracassante, et permettait de revenir sur une supposée sûreté de l’usage thérapeutique de l’HCQ avancée par le Pr Raoult puisqu’il était dès lors établi qu’un membre de la famille de l’HCQ était mortel. Conclusion imposée par cette propagande : l’HCQ ne saurait constituer un médicament fiable et sûr. Or, il s’agissait d’un accident provoqué par la bêtise avant toute chose.

Aujourd’hui, on nous rejoue ce scénario stupide avec l’ivermectine, et la propagande se déchaîne aux États-Unis en prétendant qu’il s’agit d’un médicament à usage vétérinaire exclusif et utilisé chez les chevaux et les vaches (ce surdosage vétérinaire existe bien mais à destination de ces animaux seulement), après qu’un autre nigaud, en Australie cette fois, se soit empoisonné avec une formulation chevaline. L’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) ment copieusement par omission en occultant le fait que l’ivermectine est utilisée contre la gale et certains vers intestinaux chez les humains.

Le Pr Raoult signalait à juste titre que le paracétamol absorbé en excès était mortel également, et qu’il ne venait néanmoins à l’idée de personne de l’interdire. Le paracétamol (ou acétaminophène) est un hépatotoxique redoutable (voir ici et ). Le taux de décès par empoisonnement au paracétamol (nombre de morts divisé par le nombre total de suicidés) est de l’ordre de 0,2 à 2 % selon les pays. Par exemple, aux États-Unis, de 2000 à 2018, il y eut 327 781 hospitalisations pour des suicides par antalgiques et 1 745 morts : le paracétamol à lui seul a contribué pour 48 % de ces hospitalisations et 64,5 % de ces décès.

Alors, quel est donc le vrai problème ? Et bien tout simplement, il s’agit de jeter l’opprobre sur tout médicament ou traitement thérapeutique non protégé par un brevet. Le Plaquenil ne rapporte plus grand chose puisque l’HCQ est tombée dans le domaine public ; idem pour l’AZI et l’ivermectine. L’industrie pharmaceutique désire ardemment répondre à chaque nouvelle maladie ou épidémie par un médicament ou vaccin miracle, breveté et donc rémunérateur pour l’actionnariat. Lors de l’affaire du bacille du charbon envoyé par courrier à des sénateurs et journalistes étatsuniens en 2001, le gouvernement étatsunien a réagi face à ces menaces bioterroristes – et après une propagande médiatique intense et hystérique, semant la panique auprès du public – en décidant de recourir au stockage de tonnes d’un antibiotique. Alors que la pénicilline et la doxycycline étaient efficaces pour tuer le bacille, elles présentaient la faiblesse d’être bon marché, et ce fut la très coûteuse ciprofloxacine de Bayer, protégée par un brevet, qui fut choisie ; le centre de contrôle des maladies (CDC) conseilla de la sorte le gouvernement fédéral. Le gouvernement français emboîta le pas et commanda également cet antibiotique pour un coût considérable. L’éviction des médicaments qui ne sont plus protégés par un brevet, implique donc de crier haro sur les médicaments génériques.

Quelle est donc la stratégie industrielle : instiller le doute. Donc mettre en avant toutes les études qui ne distinguent pas d’effets bénéfiques du médicament générique, minimiser celles qui montrent l’inverse, en mobilisant tous les professionnels stipendiés qui expliqueront sur les plateaux de télévision et dans les radios que les études ne montrent pas de manière statistiquement significative un effet, et que de nombreuses autres études sont indispensables avant de se prononcer. Les mêmes vont dénigrer les études observationnelles pour exiger celles par tirage au sort ; ils parlent d’essais « randomisés » et les journalistes parisiens reprennent cette formulation euphémisante sans expliquer au public que cela implique de tirer au sort des malades et de les répartir en deux groupes : ceux qui reçoivent le médicament testé et ceux qui reçoivent un placebo, donc de l’eau salée ou sucrée. C’est bien entendu immoral de procéder de la sorte avec des personnes malades risquant de mourir, et c’est la raison pour laquelle Didier Raoult et les médecins de l’IHU de Marseille ont refusé de pratiquer ce tirage au sort. Ils ont refusé de réaliser une expérience scientifique sur des patients infectés et ont fait le choix de soigner. Ils ont préféré une attitude pleine d’humanisme envers leurs semblables, quitte à écorner leur immense prestige scientifique. La société et la nation devraient leur en être reconnaissantes et admiratives.

Puis, les mêmes personnes liges et autres valets rémunérés de l’industrie propageront une campagne visant à salir ceux qui observent des effets bénéfiques : on les traitera de charlatans, d’agités du bocal, d’être orgueilleux et méprisants, de falsificateurs de données scientifiques, notamment en utilisant leur qualité d’éditeurs de journaux scientifiques pour publier plus facilement leurs articles dans lesdites revues, et de manquements à la déontologie. Toute cette campagne diffamatoire est réalisée avec le tambour des relais médiatiques dominants, tous détenus par des millionnaires dont on peut se demander si les avocats d’affaire n’ont pas judicieusement garni les portefeuilles d’actions de leurs clients avec des actions boursières de Pfizer et consorts (s’ils ne le faisaient pas, ils manqueraient de compétence).

Cette stratégie est connue et dénoncée depuis longtemps. Ainsi le Dr Mayer Brezis écrivait : « Les industries chimiques, du tabac et de l’alimentation partagent des tactiques similaires [à celles des industries pharmaceutiques] : proclamer des doutes sur les questions de sécurité, acheter des chercheurs, infiltrer les universités, les conseils d’administration, les médias et les agences législatives ».

Ce qui vaut pour les médicaments vaut également pour les composés toxiques produits et libérés dans l’environnement par les industriels. Dans le premier cas, il s’agira de discréditer l’efficacité des médicaments génériques (au moyen des scientifiques à la solde des industriels et des groupes de pression), et dans le second de nier ou de minimiser la dangerosité de leurs merveilles chimiques. Cette stratégie a été abondamment utilisée dans le cas de l’amiante : la connaissance toxicologique de sa cancérogénicité et de l’étiologie des mésothéliomes chez les travailleurs exposés est acquise depuis 1960. Et pourtant, grâce aux agissements des groupes de pression et des scientifiques liges, il faudra attendre 1997 pour qu’elle soit interdite en France. De même, il aura fallu des décennies avant que le tétraéthyl de plomb (TEP), utilisé comme agent antidétonant dans l’essence automobile ne soit interdit malgré la démonstration de sa toxicité pour les humains en 1965 par Clair Patterson. Là également, des scientifiques à la solde des industriels ont produit des études fausses et certains d’entre eux ont même porté plainte contre Herbert Needleman, un autre chercheur qui a contribué à la connaissance sur la toxicité du TEP, mais il a également été attaqué par les avocats des industriels pour malhonnêteté intellectuelle, puis désavoué par les Instituts Nationaux de la Santé, et par sa propre Université, celle de Pittsburgh. Là encore, il s’agissait d’imposer un produit breveté (le TEP), en réalité peu efficace quant à sa qualité d’antidétonant, contre l’utilisation d’un produit beaucoup plus efficace mais peu coûteux qu’était l’éthanol.

Le problème est bien économique, financier et donc capitaliste. Les industries pharmaceutiques n’ont pas pour vocation de soigner les malades mais d’enrichir leurs actionnaires ; d’ailleurs les vaccins n’iront qu’aux plus riches en vertu de la protection des brevets et des coûts afférents insupportables pour les pays peu fortunés (et le côté immoral du procédé ne choque aucun de nos dirigeants et ne suscite aucune réaction permettant de réguler par amendements le droit des brevets sur les médicaments). Souvent, tout de même, leurs intérêts financiers coïncident avec celui sanitaire des malades, sinon tant pis. Quand le médicament est par trop toxique, on engrange d’abord les bénéfices, et puis on nie pendant des années la toxicité du produit, en utilisant la stratégie que je viens de décrire, c’est-à-dire inonder la littérature médicale d’articles prétendant qu’il n’a pas été possible d’observer une toxicité du médicament, en utilisant le réseau de scientifiques liges stipendiés. Et d’autres scientifiques liges, installés dans les agences sanitaires, fermeront les yeux le plus longtemps possible. La tragédie du Mediator de Servier est exemplaire : ce médicament mortifère ne fut interdit qu’en 2009 par L’AFSSAPS – aujourd’hui rebaptisée ANSM – alors que sa toxicité, ainsi que celle de la famille moléculaire à laquelle il appartient, était bien connue depuis la fin des années 1980.

Ceci pose deux problèmes fondamentaux.

D’abord celui des « conflits d’intérêts » dans lesquels sont empêtrés beaucoup de scientifiques et de médecins, mais également les experts des agences de sécurité alimentaire ou du médicament (qui se recrutent parmi les premiers). « Conflit d’intérêts » est une expression importée des pays anglo-saxons et imposée par ce qui est appelé là-bas une attitude « politiquement correcte ». En langue française, on appelle ça de la corruption. Le plus stupéfiant est que cela soit légal.

Ensuite celui du financement de la recherche publique, lequel explique en partie le problème des « conflits d’intérêts ». En effet, la loi d’autonomie des Universités ou loi Pécresse, a instauré en 2007 une paupérisation accrue des Universités et des laboratoires de recherche publics. Les crédits récurrents qui étaient alloués chaque année par les institutions aux équipes ont disparus. Il faut maintenant en passer par l’Agence nationale de la recherche (ANR), qui satisfait au plus 10 % des demandes.  Concrètement, les chercheurs doivent répondre à un appel d’offre – il s’agit bien d’un concours et donc d’une mise en concurrence des équipes françaises entre elles – et rédiger un copieux dossier scientifique, et prévoir le budget total pour des recherches non encore effectuées et prévisionnelles (cela prend bien deux mois car il faut mobiliser d’autres équipes autour du projet). L’institution nous recommande instamment d’avoir un partenaire industriel ou privé. Si l’ANR n’adoube pas leur projet, les chercheurs n’ont plus comme solutions que l’Europe (mais c’est encore bien plus sélectif), les régions (mais pour des projets très ponctuels, appliqués, et peu financés), et enfin « les acteurs privés ». Comme le disait André Picot, toxicologue, dans ce livre : « Pour nous, au CNRS, mais aussi à l’Université, la situation n’a jamais été aussi catastrophique… On n’a plus d’argent et c’est la ‘prostitution généralisée’ ».

6) Vous évoquez le problème de l’évaluation des risques par les agences et celui des « conflits d’intérêts » qui mineraient ces institutions. Pourriez-vous nous donner des exemples et précisez selon vous la manière d’y remédier ?

JP.B. – Le scandale du Vioxx de Merck est maintenant oublié. Le Vioxx était un médicament anti-inflammatoire censé être un vrai miracle pour les patients souffrant d’arthrose. Autorisé en 1999, il apparaît rapidement qu’il provoque des accidents cardiovasculaires et un article est publié relatant ses dangers en 2001 dans le Journal of The American Medical Association (JAMA) par l’équipe du Dr Eric Topol. La FDA ne bouge pas, et en France L’AFSSAPS reprend même l’argumentaire lénifiant de Merck (toute l’histoire est racontée ici). Merck tente d’acheter le silence du Dr Topol qui refuse. Dans les années qui suivent, d’autres publications mettent en cause le Vioxx et l’associe à une augmentation dramatique des infarctus chez les patients, mais ni l’EMA ni l’AFSSAPS ne demanderont le retrait de l’autorisation de mise sur le marché. C’est finalement Merck qui décide de le retirer du marché malgré la décision de la FDA en faveur du maintien, et au grand dépit du ministre de la santé français. L’AFSSAPS déclarera, après le retrait du Vioxx par Merck, assumer totalement la décision de n’avoir pas retiré du marché ce médicament.

En 2002, la Direction générale de la santé saisit l’Agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE) concernant les risques sanitaires de la téléphonie mobile. Un groupe de travail est créé sous la direction de Bernard Veyret (Université de Bordeaux), Denis Zmirou (AFSSE) et René de Sèze (INERIS, Institut national de l’environnement industriel et des risques). Très curieusement, des spécialistes incontestés dans ce domaine sont écartés, et qui avaient publiés des travaux sur les perturbations bioélectromagnétiques (Pierre Aubineau, CNRS ; Pierre Le Ruz, société française de radioprotection ; Roger Santini, Institut National des Sciences Appliquées). Mais la veille de la remise du rapport en avril 2003 – qui dédouanera la téléphonie mobile de tout effet sanitaire dommageable – il est dévoilé que les trois compères étaient en contrat publicitaire avec l’entreprise Orange, et qu’ils avaient publié une plaquette publicitaire dans laquelle ils se montraient rassurants, alors même qu’ils avaient débuté leur mission. Le rapport est même en retrait des recommandations écrites par Denis Zmirou en 2001 au ministère de la santé et imposant une distance supérieure à 100 mètres des crèches, écoles et hôpitaux, pour l’implantation d’antennes. Le même osera proclamer, à propos des financements privés des experts : « Cela n’affecte pas l’intégrité des chercheurs : les contrats garantissent une totale indépendance des études lors de leur conduite et de leur interprétation ».

Comment remédier à cette situation déplorable de nos agences d’expertise sanitaires ? Dans un récent article publié dans Toxicological Research, Christian Vélot, des collègues et moi-même préconisions la création d’une Haute Autorité de l’Expertise composée de parlementaires, de représentants des grands organismes nationaux de recherche, de chercheurs reconnus pour leurs travaux dans le domaine scientifique concerné par la saisine, de juristes qualifiés (en droit du travail, de l’environnement, et de la santé publique), de représentants d’associations, et de représentants des syndicats majeurs. Ces personnalités pourraient être désignées par les commissions parlementaires idoines et le CESE, après réponse à un appel public.  Les élus seraient soumis à une enquête visant à s’assurer qu’ils ne sont pas entravés par des « conflits d’intérêts », puis leur désignation finalement adoubée par le Conseil d’État (voir ici).

Enfin, ce que doit comprendre le public c’est que ces agences, l’ANSM et l’EMA, pour le cas des vaccins biotechnologiques actuels, prennent leur décision sur la seule base des documents adressés par les entreprises demandeuses de l’autorisation de mise sur le marché. Elles ne procèdent à aucune étude scientifique ni évaluation expérimentale indépendante. Les entreprises demanderesses ont donc toutes les cartes en main, et de plus, en situation d’urgence et sous la pression exercée par la gent politique, deux semaines seulement suffirent pour que les entreprises anglaise et étasuniennes soient adoubées. En revanche l’Union Européenne et la France ont clairement écarté Valneva et son vaccin (Valneva est une société de biotechnologie spécialisée dans les vaccins et produit ceux contre l’encéphalite japonaise et le choléra ; ceux contre le chikungunya et la maladie de Lyme sont en phase III d’essais). Des commentateurs politiques se désolent continuellement que la France, pays de Pasteur, ne soit pas plus enthousiaste pour la vaccination anti-covid. Mais les vaccins biotechnologiques ne sont pas pasteuriens ; en revanche c’est bien le cas du vaccin Valneva qui repose sur une méthodologie traditionnelle, mais éprouvée, dans laquelle le virus atténué ou tué est injecté, et dans ce cas la réponse immunitaire concerne toutes les protéines du virus et non pas une seule, et en conséquence la protection est a priori supérieure. Mais au pays de Pasteur, une entreprise française concevant un vaccin pasteurien a été méprisée sans qu’aucune justification ne soit avancée.

7) Vous critiquez l’imposition de la solution vaccinale comme seule réponse possible au coronavirus SARS-CoV-2. Mais pourquoi nos dirigeants prendraient-ils une telle orientation si elle n’était pas la plus judicieuse et bénéfique pour notre peuple ?

JP.B. – Comment expliquer le choix funeste de la vaccination en tant que solution unique ? Comment en est-on arrivé là ? Tout simplement les politiques sont principalement mus par leur désir de réélection, une motivation puissante chez eux, que l’on peut comprendre. Mais leur gros problème réside dans le fait qu’à Sciences Po et à l’ENA, ils n’ont pas été confrontés ni appris à réagir à une pandémie de cet ordre-là. Donc, ils s’en remettent aux médecins, aux médicastres en cour à l’Élysée. Or, beaucoup de ces gens ne sont plus en activité, ils sont retraités et continuent à bénéficier, grâce à leur entregent, de missions, expertises et autres sinécures. Ce déplacement de la gouvernance par les élus du peuple vers celle par les médecins pose un énorme problème car beaucoup d’entre ces médecins sont en « conflit d’intérêts », et il s’agit là d’un euphémisme désignant en fait une corruption morale, et une grave flétrissure déontologique. Ils sont en réalité soudoyés par les industriels. Une partie des chercheurs de l’INSERM et des praticiens hospitaliers susceptibles de faire de la recherche sont en « conflit d’intérêts », c’est-à-dire qu’ils sont à la solde de l’industrie pharmaceutique. Or, c’est à eux que le gouvernement demande conseil. Bien entendu, après l’échec du Remdesivir, néphrotoxique finalement banni par l’OMS, la solution unique qu’ils proposèrent fut la vaccination, et en conséquence il convenait d’éliminer tout autre traitement non protégé par un brevet, et donc peu rémunérateur pour les industriels auxquels ils sont inféodés.

Parmi nos gouvernants – nous voulons continuer à croire que certains sont de bonne foi tout de même – certains s’imaginent, parce qu’ils y sont poussés et persuadés par les médecins courtisans (ceux du conseil dit scientifique), que la vaccination serait la seule solution. À partir du moment où l’on veut promouvoir la vaccination et la rendre en fin de compte quasiment obligatoire, il faut qu’il n’y ait aucun traitement disponible parce que dans l’éventualité contraire où un traitement serait doté d’une certaine efficacité, la vaccination obligatoire ou à très grande échelle n’aurait plus de sens et serait dénuée de pertinence. Il convenait dès le départ de crier haro sur les traitements et tuer dans l’œuf toute tentative de traiter par voie chimique. Donc, l’HCQ et l’AZI ont été promues au rang de poisons violents, et quant à l’ivermectine, elle est assimilée à un médicament à usage vétérinaire. Ainsi, tout est fait pour qu’il n’y ait aucun traitement susceptible de juguler cette maladie. Reste donc la solution unique vaccinale qui nous est serinée. Or, nous ne nous en sortirons pas par la seule grâce de la vaccination puisque la variante indienne delta se joue du vaccin et rend l’immunité collective inatteignable, la transformant en concept mythique. Il faudra combiner à la fois les traitements et une vaccination pour les rares personnes jeunes mais fragiles et surtout celles âgées puisque plus de 80 % de la mortalité concerne les plus de 70 ans.

Le traitement combiné HCQ plus AZI fonctionne, n’en déplaise aux médicastres médiatiques ; le Pr Christian Perronne a apporté suffisamment d’éléments probants puisés dans la littérature scientifique dans son dernier ouvrage. L’ivermectine est également efficace contre le covid et est devenue le traitement préconisé par les autorités médicales de plusieurs pays, par exemple au Pérou et au Brésil et dans certains états de l’Inde fédérale. De nombreuses études et méta-analyses (voir 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11 et 12), ignorées (ou passées sous silence par) des journalistes, appuient sa pertinence thérapeutique contre le covid.

entete

La Cour des comptes juge le taux d’occupation en réanimation “opaque”

Publié sur https://dejavu.legal/fr

Rapport de la Cour des Comptes

Dans un rapport “LES SOINS CRITIQUES” que vient de publier la Cour des comptes, celle-ci juge opaque le taux d’occupation des réanimations publié par les autorités publiques.

Au soutien de sa critique du Gouvernement, la Cour des compte précise clairement (gras ajouté par nous) :

  • il ne s’agit pas de réanimations mais de l’ensemble des soins critiques
  • il s’agit des lits occupés par des patients « covid », à l’exclusion des autres patients
  • surtout, la référence est celle des capacités en soins critiques (ou en réanimation ?) d’avant crise. Le nombre de lits de réanimation effectivement autorisés et armés n’est jamais publié.

Nous réfléchissons à la prise en compte de cet argument dans les action collectives proposées sur DejaVu.

Vous trouverez ci-après la source de cette information, mais aussi un seul article de presse à ce sujet : très peu d’articles était disponibles avec une telle critique sur l’opacité de l’action du Gouvernement, le média russe “RT en français” ayant été l’un des seuls à en parler.

Il est d’autant plus urgent que vous partagiez largement cette information.

1. Cliquez ici pour voir le rapport
de la Cour des comptes

6 Faucheuses et Faucheurs d’OGM entendus par la gendarmerie de Moëlan sur mer

Publié le 10 septembre 2021 à 16h30 sur https://www.letelegramme.fr/bretagne/incident-a-rennes-des-militants-anti-ogm-s-introduisent-au-conseil-regional-10-07-2020-12580476.php

Six faucheurs volontaires ont été convoqués à la gendarmerie de Moëlan-sur-Mer

 

Lecture : 2 minutes.

Six faucheurs volontaires anti-OGM ont été convoqués, ce vendredi 10 septembre, à la gendarmerie de Moëlan-sur-Mer. Une quarantaine de militants étaient venus les soutenir.

Yves et Claude, parmi les premiers convoqués depuis le passage non annoncé des faucheurs au conseil régional, il y a bientôt un an.
Yves et Claude, parmi les premiers convoqués depuis le passage non annoncé des faucheurs au conseil régional, il y a bientôt un an. (Le Télégramme/Gwen Rastoll)

« Un passage en force » selon les uns, « une entrée inattendue, sans violence », selon les autres : il y a un an, le 10 juillet, l’irruption dans l’hémicycle d’une vingtaine de faucheurs volontaires anti-OGM avait mis en émoi les élus du conseil régional. Deux plaintes avaient été déposées, l’une par Fanny Chappé, maire de Paimpol, l’autre par Olivier Allain, maire de Corlay. La procédure suit depuis son cours et, ce vendredi, six faucheurs qui demeurent dans le pays de Quimperlé étaient convoqués à la gendarmerie de Moëlan-sur-Mer. « Même si cette entrée était de fait inattendue, chez les faucheurs, nous sommes non-violents. Nous souhaitions seulement atteindre l’hémicycle pour rencontrer les responsables de la politique agricole bretonne et engager un dialogue qu’on nous refuse encore à ce jour, malgré les demandes de rendez-vous », assurent les militants venus accompagner les six « convoqués ».

Une trentaine de personnes, Faucheurs volontaires d'OGM pour la plupart, sont venus soutenir les 6 Faucheurs convoqués à la gendarmerie.
Une trentaine de personnes, Faucheurs volontaires d’OGM pour la plupart, sont venues soutenir les six Faucheurs convoqués à la gendarmerie. (Le Télégramme/Gwen Rastoll)

Une quarantaine de militants bretons

« Nous sommes venus les soutenir. On est là aussi parce qu’on est partie prenante de cette action en 2020 », explique-t-on, dans les rangs serrés de la quarantaine de militants installés devant la gendarmerie.

« On voulait alors parler de la politique agricole bretonne. Prenons le soja importé : il est OGM, transgénique et cultivé au Brésil sur des parcelles gigantesques. Comme il en faut toujours plus, on brûle l’Amazonie et les populations sont déplacées. Le problème de fond est que la région Bretagne est complice de l’agro-industrie et vit sur l’importation de ce soja, parce qu’il fait partie de la ration alimentaire des animaux qu’on élève dans des élevages agro-industriels. Les élus ont une vision parcellaire du monde », lance Patrick, de Lorient.

Un petit chant d'accompagnement devant la gendarmerie.
Un petit chant d’accompagnement devant la gendarmerie. (Le Télégramme)

Délit d’entrave au déroulement des débats

« La région Bretagne favorise nettement l’agro-industrie par rapport à l’agriculture biologique ou durable. On souhaite qu’enfin s’ouvre le débat nécessaire sur le modèle industriel et agricole breton et français actuel ». Les premiers convoqués sortent rapidement. Yves, de Moëlan, dévoile l’objet de la convocation : « Entrave au déroulement des débats d’un organe délibérant d’une collectivité territoriale ». Un délit qui peut être puni d’un an emprisonnement et de 15 000 euros d’amende, selon le Code pénal. Pour l’heure, pas de convocation devant la justice. « Mais on ne demande qu’à en débattre en public, au contraire », lance dans un grand sourire Najet, du Cap-Sizun.

 

 

Et sur Ouest France : https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimperle-29300/moelan-sur-mer-intrusion-au-conseil-regional-six-faucheurs-ont-ete-convoques-a-la-gendarmerie-e8b9f348-121c-11ec-84d3-417c4bbbaa2c

Moëlan-sur-Mer. Intrusion au Conseil régional : six faucheurs ont été convoqués à la gendarmerie

​Convoqués à la gendarmerie de Moëlan-sur-Mer (Finistère), ce vendredi 10 septembre 2021, gendarmerie pour répondre de leur intrusion, le 10 juillet 2020, au Conseil régional, six faucheurs volontaires d’OGM ont reçu le soutien d’une cinquantaine de personnes.

Les soutiens sont arrivés petit à petit pour finir à une cinquantaine de personnes devant la gendarmerie de Moëlan-sur-Mer, où étaient convoqués six faucheurs d’OGM.

Ce vendredi 10 septembre, six faucheurs volontaires d’OGM étaient convoqués en gendarmerie, à Moëlan-sur-Mer, soit plus d’un an après les faits qui leur sont reprochés : leur intrusion au Conseil régional, à Rennes, le 10 juillet 2020, lors de la séance où les élus échangeaient sur le thème de la biodiversité en Bretagne.

Cette entrée inattendue, s’est déroulée sans violence comme s’y sont engagés les faucheurs en signant la Charte du collectif. Nous sommes des lanceurs d’alertes. N’ayant…

6 nouvelles convocations en gendarmerie pour les faucheuses/faucheurs d’OGM

Communiqué de presse des Faucheuses et Faucheurs d’OGM BZH

6 nouvelles convocations en gendarmerie pour les faucheuses/faucheurs d’OGM

  VENDREDI 10 Septembre 10H gendarmerie de Moëlan sur mer(29)

Il nous est reproché notre intrusion au Conseil Régional à Rennes, le 10 juillet 2020, lors de la séance où  les Elu.e.s échangeaient sur le thème de la BIODIVERSITE en Bretagne.

Cette entrée inattendue, s’est déroulée sans violence comme s’y sont engagé-es les faucheur-euses en signant la Charte du Collectif. ( voir vidéos sur https://www.faucheurs-volontaires.fr/)

Nous, lanceur-euses d’alerte, n’ayant pas pu atteindre l’hémicycle, voulions une nouvelle fois dénoncer  la politique agricole bretonne mortifère et les discours mensongers largement assénés et diffusés.

Après avoir mené de nombreuses actions, tant au niveau national que régional, depuis 2003 :

1 – Destruction de soja OGM, provenant principalement d’Amérique du Sud, et destinées, en grande partie aux élevages bretons et français, dans les ports de Lorient, Brest, Montoir de Bretagne(44)

2 – Interventions dans de nombreux magasins ou coopératives, vendant ou distribuant des aliments (pour humains ou animaux) contenant des OGM ainsi que des pesticides (Triskalia, Limagrain)

3 – Fauchages en plein champ de cultures considérées comme OGM par la Cour Européenne de Justice.

4– Blocages de multinationales de production ou de transformation d’aliments «poison» ou de produits toxiques.(Bunge, Monsanto,…)

Depuis 2003, nous, faucheur-euses, avons tenté d’alerter, sans succès, ni aucune écoute, les autorités et les Elu.e.s, sur l’agriculture business que le Conseil Régional encourage et subventionne avec nos impôts : subventions que le Conseil Régional accorde à l’agriculture industrielle et qui dépassent de très loin les aides à l’agriculture durable et biologique.

Une demande de RDV avec Mr O.Allain a eu lieu au port de Brest le 6 décembre  2019, lorsque nous avons mis a l’arrêt l’outil de déchargement de l’entreprise BUNGE. Sans aucune réponse  nous avons donc décidé de nous inviter à cette session du Conseil régional du 10 juillet 2020.

Nous voulons toujours montrer l’urgence : l’Amazonie brûle, les déforestations s’amplifient, leurs habitants sont chassés, spoliés, leurs enfants malades ou anormaux ….Leurs défenseurs militants s’y font assassiner.( lien vers IUCN). mais les Elu.e.s breton-nes continuent à fermer les yeux sur les importations de soja/colza OGM à Brest, Lorient et Montoir.

Nous voulons toujours mettre en lumière les doubles discours et particulièrement, celui de Mr Olivier Allain, alors Vice-Président chargé de l’agriculture, sur l’agroécologie, qui ne sont que des vœux pieux alors que la Bretagne et en particulier le Morbihan, se distinguent par l’utilisation massive des pesticides et  dans la pollution de l’environnement.

Nous voulons toujours les interroger sur les subventions que la Région Bretagne alloue aux méthaniseurs, ( aujourd’hui « shadoks” d’O. Allain-France3) aux poulaillers, porcheries-usines qui ne font qu’accélérer la ruine de l’agriculture paysanne, l’endettement des agriculteurs au profit des banques et grandes entreprises de l’agro-alimentaire, la diminution drastique de l’emploi agricole et l’atteinte à la santé des travailleurs et consommateurs.

Nous voulons aujourd’hui encore qu’ils se sentent bousculés dans leurs habitudes d’Elu-es intouchables dont les jérémiades patrimoniales ne sont que le reflet de leur incurie.

Nous ne nous excusons nullement d’avoir fait une entorse à la bienséance en voulant ouvrir ces portes qu’ils veulent laisser fermées à toute discussion .Nous, Faucheuses et Faucheurs Volontaires affirmons et assumerons notre désobéissance civique.

 Faudra -t-il «  couler » une cargaison OGM dans ces ports pour que cela s’arrête? …et qu’enfin s’ouvre devant les tribunaux ou dans les instances politiques habilitées le débat nécessaire sur le modèle industriel et agricole breton et français actuel.

N’oublions pas que les juges du tribunal de Perpignan, ont conclu que les Faucheur-euses Volontaires agissaient en état de nécessité.( lien vers jugement)

Notre présence ce vendredi matin 10 juillet 2020 était un nouveau cri d’alerte et une mise en demeure, à nos Elu.e.s du Conseil Régional, pour la responsabilité des Conseils Régionaux en Bretagne et ailleurs, de nous écouter et de nous rendre des comptes.Nous ne laisserons plus l’omerta perdurer sur le sujet de l’Agro-Business Breton.

VENDREDI 10 Septembre 10H gendarmerie de Moëlan sur mer(29)

vous êtes les bienvenu.e.s avec votre bonne humeur, vos chants, pour un rassemblement de soutien.

Contacts : 06 87 16 06 06 et 06 72 50 89 14

Lettre ouverte et pétition d’un collectif de psychologues

 

Pétition à signer par ici : https://www.leslignesbougent.org/petitions/gestion-covid-19-pour-que-le-respect-de-la-personne-dans-sa-dimension-psychique-soit-toujours-un-droit-inalienable-3299/#formulaire

Le texte de la pétition :

Gestion Covid-19 : pour que le respect de la personne dans sa dimension psychique soit toujours un droit inaliénable !

Adressé à : Mr le Président de la République E. MACRON ; les membres du Conseil de défense et de sécurité nationale ; Mr Blanquer, ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports ; les membres du Conseil Scientifique Covid-19 ; les membres du Comité A

Gestion Covid-19 : pour que le respect de la personne dans sa dimension psychique soit toujours un droit inaliénable !

LETTRE OUVERTE

COLLECTIF DE PSYCHOLOGUES INDEPENDANTS

31/08/2021

Impactés en tant que citoyens français, en première ligne pour observer, analyser et accueillir les effets psychoaffectifs, psychosociaux et psychosomatiques sur le public dont nous prenons soin dans le cadre de nos activités professionnelles, bousculés et malmenés par nos instances dirigeantes, après presque deux ans de gestion de cette “crise Covid-19”, nous, psychologues, avons décidé de partager nos observations, nos interrogations, nos doutes et nos colères entre collègues.

Le constat est sans appel pour le collectif que nous avons constitué. En effet, la situation inédite que nous traversons et les réponses de nos dirigeants sont en opposition totale avec les valeurs et l’éthique que nous défendons quotidiennement dans notre profession.

Nous sommes alarmés par l’impact de cette gestion de crise sur la santé psychique et le bien-être de la population. Bien sûr, personne ne s’attend à ce qu’une crise soit un moment particulièrement heureux et s’il existe des façons d’accompagner sa famille, son clan, son groupe, ses compatriotes, à passer une crise et à en ressortir grandi, il en existe d’autres qui alimentent la crise, affaiblissent et annihilent les capacités psychiques d’adaptation et de résilience.

Les médias de toutes sortes ont déjà détaillé à maintes reprises les difficultés matérielles rencontrées dans la gestion de cette épidémie, ce n’est pas notre champ d’expertise. Nous ne reviendrons pas dessus même si beaucoup d’entre nous assistent impuissants à la dégradation des moyens humains et matériels donnés aux hôpitaux pour soigner les personnes avec la dignité qu’elles méritent et ce, depuis bien avant l’arrivée du virus Sras-cov-2.

Laissons donc de côté l’aspect de destruction du système de santé et concentrons-nous sur la gestion humaine de cette crise et ses effets délétères sur la population, comme les troubles psychiques impactant toutes les classes d’âge, ainsi que toutes les catégories socioprofessionnelles. Dépression, burn-out et stress post-traumatique en sont les maîtres mots. Il ne suffit pas de proposer de rembourser quelques séances de thérapie à des personnes qu’on a angoissées, enfermées, contrôlées et désorientées dans un moment de vulnérabilité extrême pour les réparer en 3 à 10 séances.

Au lieu d’humanité et d’aide soutenante apportées à la population, nous avons repéré l’utilisation de techniques de persuasion, et même de manipulation, issues du management, du marketing et de la technocratie, qui peuvent être qualifiées de perverses, voire cyniquement harceleuses, si jamais elles se révélaient être utilisées à dessein pour poser les jalons d’un régime totalitaire.

Injonctions paradoxales, discours alarmistes s’appuyant sur une énumération de faits ou de statistiques décontextualisés, renversement en son contraire ou inversion des valeurs morales, attaque des besoins primaires (tant sur le plan physiologique, du sentiment de sécurité que du lien social), chantage et menaces, instauration de clivages (en bon/mauvais, vax/antivax, responsables/complotistes, etc.), iniquité des décisions, culpabilisation, aboutissent à l’augmentation de vécus dissociatifs tel que la déréalisation et la dissonance cognitive, résultant de la croyance en des idées ou des valeurs contradictoires, et engendrent un mal-être difficilement surmontable et pathogène.

C’est ainsi qu’en mobilisant principalement les émotions sidérantes comme la peur, la culpabilité et la honte plutôt que les capacités cognitives et intellectuelles des individus, les discours médiatiques et officiels obtiennent l’adhésion à des idéologies et à des comportements auxquels les individus n’adhéreraient probablement pas si seules leurs capacités d’analyse et de discernement étaient sollicitées. Le système actuel entretient une régression vers un fonctionnement infantile, dans lequel le chantage, la peur et l’intrusion perverse permettent d’obtenir l’obéissance.

Nous ne pouvons manquer de repérer aussi, dans les différents aspects de cette gestion de crise, les principes et les mécanismes identifiés par le sociologue Albert D. Biderman pour faire plier psychologiquement un individu.

L’isolement en est la première composante. Il engendre repli et préoccupation excessive centrée sur soi, rupture avec le soutien social permettant de résister et dépendance à l’autorité. Associé à la médiatisation d’une pensée narrative unique considérée comme la seule valable, l’isolement annihile l’esprit critique et accentue la réticence à s’exprimer et à s’interroger, de peur d’être stigmatisé, considéré comme “complotiste” et exclu de son clan familial, amical ou professionnel.

L’isolement physique et psychologique, la confusion, le doute, la peur et la tension permanente que la gestion de cette crise a fait vivre aux Français ont fragilisé leur santé psychique mais aussi leur santé physique. Que penser de ces choix stratégiques qui, pour sauver des vies, en sacrifient tant d’autres par ailleurs ? En effet, parmi les dommages collatéraux des confinements successifs, nous observons dans nos consultations une augmentation des suicides, y compris chez les enfants, des violences intrafamiliales, des pratiques incestueuses, des troubles anxio-dépressifs, des syndromes de glissement massifs dans les Ehpad et les hôpitaux, etc.

Aujourd’hui, le gouvernement rajoute encore à nos concitoyens une épreuve supplémentaire, en choisissant de les diviser par la stigmatisation de la vaccination et de l’obéissance.

Nous n’acceptons pas qu’un schéma vaccinal, à partir de techniques expérimentales aux résultats discutables, puisse être imposé à notre profession et à nos collègues soignants, obligeant ceux qui refusent de s’y soumettre à renoncer à leur métier. En l’état actuel de la loi du 5 août 2021, les psychologues faisant usage du titre, quel que soit leur lieu d’exercice, y compris en libéral et par téléconsultation, perdent leur droit d’exercer et leur rémunération s’ils ne satisfont pas à l’obligation vaccinale.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations exercées sur nous, nos collègues et les concitoyens ne souhaitant pas se faire vacciner. Nous demandons le rétablissement d’une stratégie favorisant le choix et l’implication individuelle et ce, à partir d’une information libre et éclairée.

Nous ne pouvons pas plus cautionner le passe sanitaire ou la diffusion des données biomédicales pour accéder à la vie quotidienne, du fait non seulement de son caractère discriminant et asservissant mais également à cause du manque de respect du secret médical. A ceux qui pourraient nous opposer ici la dangerosité du virus et la prévalence de la santé publique sur l’atteinte aux libertés individuelles, nous répondons que toutes les options de prophylaxie et de traitements ne sont pas étudiées pour nous permettre de vivre avec, en pleine conscience et responsabilité.

Aujourd’hui, les citoyens qui se croyaient protégés par des lois acquises et essentielles à la garantie de leurs libertés et de leur égalité, se retrouvent à nu et en perte de repères dans un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Nous avons tous à redouter les conséquences de cette inversion des valeurs que cette nouvelle donne politique érige en modèle sociétal.

Dans ce contexte inédit où les principes fondamentaux de notre code de déontologie sont mis à mal, nous lançons aussi un appel à tous nos collègues psychologues.

N’ayez pas peur de prendre position pour le respect des “libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux.” Restons attachés “à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision”? Tout ce qui constitue le premier principe du code de déontologie des psychologues parce que : “Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l’action des psychologues.”

Nous devons comprendre là qu’il ne peut s’aliéner sous aucun prétexte, ni même aucun régime dit d’exception. En aucun cas un psychologue ne saurait être l’instrument d’un pouvoir qui devient pathologique, malsain, intrusif et traumatique, puisque sa fonction au contraire, c’est bien d’en émanciper les individus.

Engageons-nous ensemble pour le respect de nos choix concernant notre intégrité physique et psychique.

Interrogeons notre posture professionnelle et déontologique en nous demandant comment continuer d’accompagner des personnes vers une meilleure autonomie de pensée si nous sommes nous-mêmes assujettis à une pensée unique ?

Cette question se pose de la même façon que celle concernant la restriction de nos pratiques à des outils ou des méthodes imposées par décret, à la volonté de nous soumettre à l’allégeance à la pensée étatique par un ordre professionnel, ou à celle de la pensée médicale par la paramédicalisation de notre profession, tel que nous le dénoncions en nombre en manifestant le 10 juin dernier.

Comment garder notre propre autonomie de penser et d’agir, en dehors de toute contrainte normative, pour nous-mêmes et pour les personnes que nous accompagnons, d’autant plus lorsque cette dernière est changeante, aléatoire et arbitraire ?

Nous invitons donc tout collègue, tout professionnel du soin et de l’accompagnement et plus largement toute personne se reconnaissant dans ces principes, à nous soutenir, à réagir et à s’organiser.

Signez cette Lettre ouverte et partagez là au maximum !

Un collectif de psychologues indépendants

issus d’un Réseau de Solidarité Active.

https://www.leslignesbougent.org/petitions/gestion-covid-19-pour-que-le-respect-de-la-personne-dans-sa-dimension-psychique-soit-toujours-un-droit-inalienable-3299/#formulaire

Tribune “A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France ?”

Par Quartier Libre
La tribune “A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France ?” vient d’être publiée par un des très rares médias indépendants : “Quartier Libre”.
La liste des 400 premiers signataires est associée.
Cette tribune peut encore être signée par tout universitaire, professionnel de santé, du droit, de la culture et de l’éducation.
Une adresse électronique est donnée pour cela à la fin du texte en ligne.

La tribune et les premiers signataires :

Aucun d’entre nous n’aurait cru possible ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux depuis un an et demi. Non pas qu’une nouvelle épidémie vienne mettre à l’épreuve nos systèmes immunitaires individuels et nos structures collectives de santé. Cela, c’était prévisible. Mais que la gestion de cette épidémie vienne mettre en péril des valeurs démocratiques, des libertés et des droits humains acquis de haute lutte depuis la Révolution française, cela, c’était impensable. Et pourtant.

Liberté d’aller et venir, liberté d’expression, liberté de commerce, liberté syndicale, droit au travail, égalité des droits de tous les citoyens, non-discrimination dans l’accès aux biens, lieux et services de la société (dont l’accès aux soins et l’accès à l’éducation), confidentialité des données de santé… la liste est longue, très longue.

Les états d’urgence s’empilent les uns sur les autres. Le Parlement est traité comme une simple chambre d’enregistrement. Le Président de la République gère seul la situation avec un « Conseil de défense sanitaire » dont aucun compte rendu de réunions n’est consultable. Les médias de toutes tendances ne laissent quasiment aucune place au débat contradictoire et ils répercutent la communication gouvernementale sans distance. Les réseaux sociaux ne sont plus du tout le support de la liberté d’expression qu’ils vantaient à leurs débuts. Google (propriétaire de YouTube) et Facebook ne se contentent plus d’orienter nos pensées à l’aide d’algorithmes. Avec d’autres (Twitter, Linkedin, etc.), ils opèrent désormais une censure massive de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid.

Dans un tel contexte, certains se croient tout permis. Les influenceurs se déchainent, les attaques ad hominem pleuvent, les règlements de compte s’étalent. On voudrait non seulement discréditer à coups d’amalgames infantiles (complotistes ! complices de l’extrême droite !), mais aussi radier, démissionner, évincer, en un mot faire taire. Beaucoup de celles et ceux qui – de par leurs emplois – constituent les élites se taisent, souvent par peur d’être à leur tour ostracisés. Tout ceci rappelle à certains égards l’époque de la chasse aux sorcières sous le Maccarthysme.

Par ce texte, nous (professionnels et bénévoles de la recherche, de la santé, de l’éducation, du droit et de la culture) appelons toutes les femmes et tous les hommes qui ont encore un fort attachement à la démocratie à la défendre de toutes leurs forces. Non, il ne saurait être interdit de discuter les origines du Sars-Cov-2. Ni interdit d’interpréter les statistiques de mortalité autrement que pour dire que nous risquons tous de mourir (discours de la peur). Ni interdit de dire que le refus de soigner précocement les personnes contaminées est un dogme imbécile qui, pour le coup, pourrait donner lieu à des poursuites en justice. Ni interdit de dire que les confinements font plus de mal que de bien aux sociétés. Ni interdit de questionner l’influence des richissimes industries pharmaceutiques sur le monde scientifique et médical, sur les gouvernements, sur les organismes supranationaux (OMS, UE) et sur les médias. Ni interdit de constater que si la vaccination ARNm protège en partie des formes graves de Covid, en revanche, comme le variant dit Delta le montre partout dans le monde, elle ne garantit ni d’attraper ni de transmettre le virus, ce qui invalide le principe même du « passe sanitaire ». Ni interdit de contester que l’on vaccine par contrainte ou par chantage les enfants et les adolescents pour qui la balance risque/bénéfice est très douteuse. Ni interdit de demander que l’on attende, pour vacciner certaines catégories de personnes à risque (les femmes enceintes par exemple), d’avoir plus de transparence et de données de pharmacovigilance. Ni interdit de manifester tous les samedis si l’on considère qu’il est intolérable de discriminer massivement les citoyens par le biais d’un laisser-passer sanitaire.

Les principes de liberté et d’égalité, de même que les droits humains fondamentaux, ne se discutent pas, ne se compromettent pas. Ils sont les socles de notre société politique et le vrai fondement de la cohésion sociale. La liberté d’expression est l’un de ces droits fondamentaux. Ceux qui tentent d’une façon ou d’une autre d’en empêcher l’exercice agissent contre la démocratie.

 

Vous souhaitez soutenir cette tribune? Vous êtes chercheur, universitaire, soignant, juriste, artiste ou enseignant? Vous pouvez signer en envoyant un mail ici: tribune.liberte.expression@gmail.com

Les 2.000 premiers signataires:

 

Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS

Jean Roudier, professeur de médecine à Aix-Marseille Université

Christian Vélot, généticien, maître de conférences à l’Université Paris-Saclay

Jean-Paul Bourdineaud, microbiologiste, professeur à l’Université de Bordeaux

Jean-Michel Claverie, virologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université

Aurélia Vessière, virologue et épidémiologiste à l’Université de Bordeaux

Philippe Balcou, directeur de recherche, sciences physiques

Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS, économie et environnement

Jean Chéry, directeur de Recherche au CNRS, géophysique

Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « Azi-Thro-d’hospitalisations »

Gérard Maudrux, médecin, président honoraire de la caisse maladie des professions libérales et de la caisse de retraite des médecins

Paul Touboul, professeur de médecine à l’Université de Lyon, ancien chef de service à l’hôpital de Lyon

Michel Drancourt, professeur de microbiologie médicale à Aix-Marseille Université

Philippe Brouqui, professeur de médecine à Aix-Marseille Université

Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’Université Lyon 3

Philippe Ségur, professeur de droit public à l’Université de Perpignan

Élise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille

Rafaëlle Maison, professeur des universités en droit public

David Lepoutre, professeur de sociologie à l’Université de Paris-Nanterre

Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au CIRED

Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM

Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM

Michel Deshaies, professeur de géographie à l’Université de Lorraine

Yannick Bruneton, professeur d’histoire à l’Université de Paris

Joëlle Le Marec, professeur de Sciences de l’information et de la communication au Museum National d’Histoire naturelle

Jean-Jacques Lottin, ancien vice-président de la Société Française de Santé Publique

Hélène Palma, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université, secrétaire générale de l’association « Enseignement, Recherche et Libertés »

Philippe Pognonec, directeur de Recherche au CNRS, Université de Nice

Claudie Rey, maître de conférences en sociologie à l’Université de Tours

Fabrice Colomb, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay

Gaëtan Flocco, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay

Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit à l’Université de Nîmes

Bertrand Charrier, professeur des universités, directeur de l’IUT des Pays de l’Adour

Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine

Serge Katz, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Picardie Jules Verne

Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux

Mélanie Guyonvarch, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay

Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université

Nathalie Chapon, enseignante-chercheuse en sociologie à Aix-Marseille Université

Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS

Isabelle Aubert, maîtresse de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux

Patrick Martin, chargé de recherche (R) au CNRS, Université de Nice

Madalina Calamaz, maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers

Sylvie Bordère, physico-chimiste, chargée de recherche au CNRS

Dan Ioan Muresan, maître de conférences en histoire à l’université

Nathalie Leroux, maîtresse de conférences en sociologie, Université Paris Nanterre

Christophe Brochier maître de conférences en sociologie à l’Université Paris 8

Igor Babou, professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Diderot

Carole Groussard, maitresse de conférences HDR en STAPS à l’Université de Rennes 2

Renaud Gabet, maître de Conférences, HDR, Institut Polytechnique de Paris

Agnès Lainé, historienne, membre de l’Institut des Mondes Africains

Colette Anné, mathématicienne au CNRS

Mathias Delori, chargé de recherche CNRS au Centre Marc Bloch de Berlin

Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences à Sorbonne Université

Jean-Christophe Cousin, maître de conférences à Telecom Paris

Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chercheuse à l’INSERM

Chantal Carpentier, docteur d’Etat en droit international public, maîtresse de conférences retraitée

Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille

Jean Louis Rouvillain, professeur émérite d’orthopédie et traumatologie

Dominique Harmand, professeur émérite à l’Université de Lorraine

Caroline Petit, chercheuse au CNRS

Béatrice Pastre-Belda, maître de conférences de droit public HDR à l’Université de Montpellier

Aude Saint Pierre, maître de conférences en statistique à l’Université de Brest

Monique Plaza, chercheur HDR en neuropsychologie

Annie Notelet, présidente de l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires

Anne-Typhaine Bouthors, docteur en microbiologie médicale, Ph D Université Paris VI

Richard Refuggi, enseignant en STAPS à l’Université Grenoble-Alpes

Guy Bensimon, maître de conférences honoraire en sciences économiques à l’université

Dominique Labbé, enseignant-chercheur (R) à l’Université Grenoble-Alpes

Jean-Jacques Wunenburger, professeur émérite de philosophie à l’Université Lyon 3

Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université

Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université

Philippe Rogeon, maitre de conférences à l’Université de Bretagne Sud

Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon

Éric Chabrière, professeur de médecine à Aix-Marseille Université

Alain Chatelet, biologiste, professeur (R) à l´École Nationale Supérieure d´Architecture de Toulouse (ENSA Toulouse)

Benoit Marpeau, maître de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie

François Saint-Pierre, professeur (R) des universités, Labex « Structurations des Mondes Sociaux », Université de Toulouse

Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris

Thierry Godefroy, économiste, ingénieur de recherche (R) au CNRS

Anne Fremaux, agrégée de philosophie et docteure en écologie politique

Pascal Touhari, docteur en droit, enseignant à l’Université de Montpellier

Gérard Lehmann, maître de conférences à l’Université de Sud Danemark

René Chiche, professeur agrégé de philosophie, vice-président Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation

Jacques Pollini, PhD, chercheur indépendant, anthropologie de la santé

Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche SimplissimA

Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’université de Neuchâtel

Valérie Lowit, ingénieur d’études, Université de Paris

Damien Jeanne, enseignant en histoire à l’université de Caen et du Havre

Emmanuelle Duchez, chargée de communication à l’Université Côte d’Azur

Eloi Buat-Ménard, magistrat

Jean-Claude Berlioz, Avocat Général honoraire

Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature

Jean-Christophe Berlioz, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature

Pierre Soler-Couteaux, avocat au Barreau de Strasbourg, professeur agrégé de droit public

Caroline Mecary, avocate

Sendegul Aras, avocat

Bruno Raffi, avocat

Elizabeth Oster, avocat à la Cour

Nicole Foulquier, avocat

Sarah Scalbert, avocate au barreau de Paris

Maryse Pechevis, avocate au barreau de Montpellier

Corinna Kerfant, avocat au barreau de Versailles

Evie Jaumary-Lapeyre, avocat

Evelyne Carbonnell, avocate

Elodie Menant, comédienne, auteur

Grégori Baquet, comédien

Clémence Thioly, comédienne

Herrade Von Meier, comédienne

Nathalie Mann, comédienne

Hugues Leforestier, auteur, comédien

Myriam Boyer, comédienne

Fanny Cabon, comédienne

Lionel Gedebe, réalisateur

Samuel Ternoy, musicien

Béatrice Charrié, éditrice

Patricia Halmone, artiste peintre

Marc Menant, journaliste et écrivain

Benoit Ducene, traducteur et musicien

Elena Ducene, professionnelle de la culture

Anne Marie Begué-Simon, céramiste

Caroline Mollie, architecte-paysagiste, auteure

Marie-José Minassian, philosophe, écrivain

Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue

Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg

Benoit Bataille, médecin anesthésiste réanimateur

Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur

Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur

Isabelle Curtet, médecin anesthésiste-réanimateur

Georgi Radev, médecin urgentiste SAU/SMUR

Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique

David Esfandi, psychiatre et addictologue

Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et auteur

Jean-Louis Rouvillain, médecin généraliste à Fort-de-France

Véronique Orth Weyers, médecin généraliste à Fort-de-France

Eric Reboli, médecin urgentiste

Jean-Paul Ricci, chirurgien-dentiste

Laurent Huillard, médecin généraliste

Gérard Vigneron, médecin

Bernadette Meignan, médecin

Béatrice Fort, médecin hospitalier

Cyril Lecomte, psychiatre des Hôpitaux

Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget

Xavier Larvor, médecin généraliste

Françoise Douady, médecin généraliste

Pierre Quentel, chirurgien urologue

Roseline Marie, médecin généraliste

Marie-Christine Rabut, médecin généraliste

Hubert Sroussi, médecin généraliste

Philippe de Chazournes, médecin généraliste

Jeanine Jemet, médecin généraliste

Chlotilde Véron, médecin généraliste

Robert Le Texier, médecin généraliste

Véronique Ahari, médecin

Monique Sroussi, médecin

Monique Lamizet, médecin

Cyril Loubradou, ostéopathe

Pierre Bonhoure, kiné ostéopathe

Aurore Dessus, ostéopathe

Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue

Marie-Carole Fleury-Munier, médecin, rhumatologue

Dominique Ricci Cagnol, médecin, ORL

Gisèle blanc, médecin

Cécile Loth, médecin du sport

Jean-Baptiste Mouzet, médecin

Bertand Jop, médecine, cardiologue

Maryline Costagliola, médecin pédopsychiatre hospitalier

Soraya Berreghis Mazery, médecin généraliste

Malina Canolle, médecin généraliste

Gilles Spagnolo, médecin gynécologue-obstétricien

Catherine Raulin, médecin ostéopathe

Pascale Chandy, médecin à l’hôpital de Challans

Francoise Douady, médecin

Francine Barouch, médecin

Laurent Hervieux, médecin

Claude Chiche, médecin généraliste

Hélène Roux, médecin généraliste

Philippe Lefebvre, médecin généraliste

Anne-Marie Begue-Simon, médecin

Isabelle de la Chaussée-Ruzzica, médecin

Jean-Paul Guérard, médecin

Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire

Thi Linh Hoang, médecin acupuncteur

Virginie Thomas-Haag, médecin d’urgence

Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste

Catherine Delmas, médecin

Christine Calatayud, infirmière

Jocelyne Cortier infirmière

Nathalie Hannhart, psychologue

Florie Gaeta, infirmière au Centre hospitalier de Bourges

Soizic Noël-Bourgois, infirmière, docteure en ethno-anthropologie

René Messagier, docteur en médecine, médecin généraliste

Corinne Reverbel, docteur en biochimie

Janine Nazaire, docteur en chirurgie dentaire

Idriss Abiola, infirmier anesthésiste

Frédérique Pegeot, pharmacien

Rémi Saudax, pharmacien

Christine Fernandez, infirmière

Justine Lewna, infirmière

Alice Uwamwezi, infirmière

Carole Jolly, infirmière

Pauline Ledoux, infirmière

Emmanuelle Mesmacque, Infirmière

Nathalie Loizeau infirmière santé travail

Romy Roudier, pharmacienne

Daniel Robinson, médecin généraliste

Anne Maynadié, médecin généraliste

Richard Simon, cadre de santé

Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier

Leïla Gofti-Laroche, praticien Hospitalier, PharmD, PhD Epi

Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat

Vincent Reliquet, médecin, rédacteur en chef de l’Association Internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante

François Gastaud, médecin, chirurgien orthopédiste

Nicolas Tetaz ingénieur spatial

Laurent Durinck, anesthésiste

Olivier Lhoest, anesthésiste-réanimateur

Florence Lair, médecin radiologue

Christiane Lassalle, médecin généraliste

Claire Paris, médecin généraliste

Françoise Giorgetti-d’Esclercs, médecin ORL

Éric Portes, médecine générale

Valérie Papapietro, médecin généraliste

Catherine Solignac, médecin généraliste

Philippe Cliquet, médecin généraliste

Véronique Chevalier, infirmière

Guillaume Renouf, infirmier

Marguerite Schnell, infirmière

Valérie Nesme, infirmière

Nathalie Devaucoup, infirmière

Brigitte Agostini, infirmière libérale

Christine Wahl, kinésithérapeute

Nathalie De Vliegher, kinésithérapeute

Cindy Gual, ostéopathe

Léa B. Blanchet, ostéopathe

Alain Joseph, médecin généraliste

Francois Serres, médecin généraliste

Josiane Martelin, pharmacienne libérale

Anna Torra Campos, kinésithérapeute à l’hôpital Edouard Herriot

Rik Verhellen, chirurgien orthopédique

Éric Ménat, docteur en médecine, médecin généraliste

Marie Hélène Lottin, médecin psychiatre

Céline Mouillon, pharmacienne et thérapeute

François de Chabalier, psychiatre

Delphine Rive, médecin généraliste

Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste

Sophie Conord, médecin radiologue

Françoise Robinson, médecin

Thuy Chi Nguyen, médecin

Anne Crepy, médecin

Jean-Luc Boesch, médecin généraliste

Raphaële Vangrevelinghe, médecin, chirurgie dentaire, pédiatrie

Paul-André Bellot, chirurgien-dentiste

Paul Bousquet, docteur en médecine, évaluateur de risques sanitaires

Jean-Christian Prévost, ostéopathe

Valérie Giraud, sage-femme, sexologue

Cléchet Sylvie, infirmière

Sonia Joyeux-Bouillon, radiologie médicale

Youssouf Djonouma, médecin généraliste

Béatrice Mullie, médecin généraliste

Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste

Eric Delcour, médecin généraliste

Marc Arer, médecin généraliste

Hélène De Cristoforo, docteur en médecine, médecin généraliste

Claire Delval, médecin généraliste

Christiane Renard, médecin généraliste

Geneviève Gueymard, médecin généraliste

Béatrice Petit, médecin généraliste

Romain Dupont, médecin interniste à l’Hôpital Joseph Ducuing

Bénédicte Dassonville, médecin Ingénieur ENSH, psychothérapeute

Stéphane Ottin Pecchio, médecin rhumatologue

Pascale Allanic Gabsi, psychologue

Laurence Maury, psychologue

Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute

Gérard Martinez, psychologue clinicien

Sylvie Blasquez, psychologue clinicienne

Muriele Savigny, médecin psychiatre

Juliette Bianchi, médecin psychiatre

Vladislav Lebedko, médecin psychiatre

Sarah Loyer, psychologue

Anne-Marie Bras Le Coadout, psychologue

Aurélie Vantard, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe

Alain Picard, pharmacien

Valérie Lecomte, infirmière

Khadidja Meziani, infirmière

Jean-Roch Aubertein, infirmier

Jocelyn Croze, praticien hospitalier en odontologie

Alain Brunel, docteur en biologie, enseignant

Céline Grenier, infirmière

Françoise Rodary, médecin généraliste

Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste

Michel Thomas, médecin généraliste

Horia Far, aide-soignante au CHU de Nice

Mathilde Taverne, masseur-kinésithérapeute

Benoît Quentin, kinésithérapeute

Christelle Guicherd, psychologue clinicienne

Nathalie Pilot-Maier, préparatrice en pharmacie

Béatrice Stantina, aide-soignante/auxiliaire de vie

Valérie Perrochet, assistante sociale en hospitalisation à domicile

Fausto Lanzeroti, masseur-kinésithérapeute

Sandrine Cauvin, masseur kinésithérapeute

Élisabeth Angoujard, radiologue

Hélène Debruyne, orthophoniste

Renée Marx, orthophoniste

Julie Croze, orthophoniste

Sylvie Ruiz, infirmière

Christine Keiser, sage-femme

Sandrine Mathieu, sage-femme

Mathieu Armessen, ostéopathe

Pauline Rigollier, masseur kinésithérapeute

Jocelyne Ndoye, psychologue

Sandra Rayer, psychologue

Viviane Truel, psychologue clinicienne

Dominique Porquez, aide-soignante à l’hôpital

Anne-Claire Monfroy Gauchier, masseur-kinésitherapeute

Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne-nutritionniste

Lidwine Loire, aide-soignante, services de soins infirmiers à domicile

Catherine Vincent, aide-soignante

Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise

Samuel Reslinger, aumônier hospitalier

Françoise Gaillard, aide-soignante

Hervé Bery, auxiliaire de vie

Rose-Marie Castello, médecin

Jeanne-Marie Brossollet, chirurgien-dentiste

Soisik Ghesquières, masseur-kinésithérapeute

Vanessa Girard, ostéopathe

Nathalie Caradot, médecin généraliste

Bernard Verdoux, médecin généraliste

Patrick Frayssinet, médecin, docteur ès sciences, directeur de recherche dans l’industrie

Julie Lioré, anthropologue

Laurent Trémel, sociologue

Thierry Raffin, sociologue et historien, docteur de l’EHESS

Christophe Andréo, docteur en sociologie, conseiller au Pôle Emploi

Mathias Teichner, agrégé de sciences économiques et sociales

Catherine Lucquiaud, ingénieur de recherche

Hervé Laloy, professeur de philosophie

Françoise Marie, éducatrice spécialisée

Franck Lepage, militant d’éducation populaire à l’Ardeur

Thierry Rouquet, éducateur populaire à l’Ardeur

Gérard Masselin, enseignant en CPGE

Pascal Borde, enseignant en CPGE

Sophie Thoron-Salert, enseignante

Emmanuelle Azevedo, professeur des écoles

Cécile Mencaglia, professeur des écoles

Sandrine Barbelin, professeur des écoles

José Mata Diaz, professeur d’Espagnol

Lys Sanagustin, professeur d’Espagnol

Charles-Emeric Gauthier, professeur d’Anglais

Christelle Pangallo, professeur d’Anglais

Alice Ageron, professeur d’Anglais

Pete Barker, professeur d’Anglais

Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques

Sophie Amand, professeur de sciences économiques et sociales

Marie Vantis, enseignant/formateur d’arts appliqués

Jean-Louis Delahaut, professeur d’enseignement artistique

Gilles Plunian, enseignant EPS et psycho-ergonome

Raphaël Leloup, professeur d’EPS

Christine Zeppenfeld, proviseure-adjointe

Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation, psychologue

Martine Boury, cadre supérieur de la fonction publique

Jésus Sanchez, docteur en psychologie sociale, ancien directeur de recherche au CTNERHI

Christine Pinard, professeure de lettres modernes

Jean-Marc Gringoz, enseignant d’EPS

Frédéric Gobert, enseignant

Alain Letombe, enseignant

Christianne Joubert, enseignante

Tony Marzucchetti, professeur des écoles

Julie Raveau, professeure des écoles

Michèle Rey, professeur des écoles retraitée

Heike Freire, philosophe et psychologue

Valérie Pradier, professeur des écoles

Sophie Melilli, professeur des écoles

Anne-Léa Le Goff, professeur d’espagnol

Monique Bernardini, enseignante et responsable associative

Danielle Deville, professeur CPGE Sciences Physiques, retraitée

Isabelle Pruvot, enseignante en lycée

Fatma Djoubri, professeure de SES

Thierry Flaget, conseiller d’éducation

Nadine Mauviel, professeur (R) d’histoire-géographie

Sandrine Napoléone, professeur des écoles

Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques

Joseph Rivière, professeur d’histoire-géographie

Angélique Silva, enseignante spécialisée dans le 1er degré

Jean Charles Renavot, retraité de l’éducation nationale

Marie-Pierre Larras, ancienne professeur de lettres

Nicolas Vantis, docteur ingénieur, enseignant en mathématiques et sciences

Arthur Roncetto, bibliothécaire

Camille Secret, enseignante en CFA

Catherine Avice, enseignante

Sabine Calvino, enseignante

Françoise Ternoy, éducatrice spécialisée, psychomotricienne

Carole Jensen, AESH en classes ULIS

Marc Lepoivre, professeur de culture générale en BTS

Alaric Titeux, enseignant de la conduite

Anne Pajard, ingénieure d’étude

Guillaume Saint Pierre, statisticien, chargé de recherche du développement durable

Pierre-Olav Lego, ingénieur

Bernard Cornut, ingénieur

Rosolino Lionti, Ingénieur

Djamil Ramdane, ingénieur du contrôle de la navigation aérienne

Pascale Moro, ingénieur dans le spatial

Paolo Musardo, ingénieur électronicien

Luc Petitnicolas, référent Mastère Entrepreneuriat Numérique Responsable R&D en projet numérique

Danièle Guéguen, inspectrice à la CAF

Pauline De Castro, conseillère sociale

Angélique Leblanc, surveillante en Maison d’Accueil Spécialisée

Jacques Quach, consultant Systèmes d’Information

Sophie Rey, éducation nationale

Luc Baillet, architecte, sécurité sanitaire environnementale

Marion Baillet, architecte

Rémi Astier, actuaire

Guy Chapouillié, professeur émérite à l’ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès

Christakis Georgiou, chercheur politiste, Université de Genève

Nicolas Guérin, maître de conférences HDR en psychologie à Aix-Marseille Université

Armand Chatard, professeur de psychologie, Université de Poitiers et CNRS

Carole Waldvogel, sociologue, ingénieure de recherche, Strasbourg

Michèle Florquin, biologiste, ancienne responsable des affaires réglementaires et de la pharmacovigilance

Dominique Cellier, biostatisticien

Roland Assaraf Physicien, Chargé de Recherches CNRS, Laboratoire de chimie théorique

Josselyne Abadie, consultante éthique, auditeure qualité et RSE

Christine Quélier, sociologue en santé publique, Bordeaux

Lionel Pichon, ancien Directeur de sociétés Ingénieur Ecole Centrale PARIS

Maryvonne Holzem, Linguiste émérite, Université de Rouen

Thierry Orsière, Ingénieur de Recherche, Aix Marseille Université

Synvain Feve, ingénieur d’études au CNRS

Polina Palash, chercheuse en sciences sociales à Aix-Marseille Université

Michèle Leclerc-Olive, chercheure CNRS honoraire

Magali Soulatges, MCF en Littérature française du XVIIIe siècle, Université d’Avignon

Eric Desmons, professeur agrégé de droit public à l’Université

Anne-Sophie Chazaud, essayiste et chroniqueuse, cadre supérieur de la fonction publique

Lucien Samir Oulahbib, sociologue et politiste (CLESID, Lyon3)

Pierre Arbus, Maître de Conférences HDR à l’ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès

Michel Simon, maître de conférences en Lettres et Linguistique à l’Université de Paris

Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie

Dominique Béroule, Chercheur en Neurosciences

Yann Lerdung, juriste

Christine Claude-Maysonnade, avocate

Myriam Kerneis, avocat près de la cour d’appel de Pau

Laëtitia Catalano, juriste

Thierry Lamarre, avocat à la Cour

Thierry Ulmann, avocat

Ophélie Latil, juriste, formatrice en droit des discriminations

Isabelle Chivilo, médecin généraliste

Jean -Marc Rehby, médecin généraliste, Ancien président de l’Union Régionale des Médecins Libéraux (URMEL) Nord Pas de Calais

Brigitte Chorliet, médecin généraliste

Sylvie Laval, psychiatre

Abadie Patrick cardiologue

Éric Lemle, chirurgien-dentiste

Nicole Delepine, médecin pédiatre

Gérard Delepine, chirurgien orthopédiste

Benny Cassuto, médecin acupuncteur

Hélène Chollet médecin généraliste
Daniel Chollet pneumologue

Emmanuel Odet, chirurgien

Dorothée Pellaumail psychologue

Virginie PARDIGON, Éducatrice de Jeunes Enfants, service de pédiatrie

Charles-Henri Crochet, psychanalyste, psychologue

Daniel Houdot, préparateur en pharmacie, diplômé universitaire de sport santé

Laurence Villedieu, infirmière et auxiliaire de vie

Aurélie Carton, aide-soignante

Claude Feugeas, ancien aide-soignant et ergothérapeute

Dominique Cadoret, psychologue

Jessica Agban, Infirmière

Nathalie Cornillon, infirmière de bloc opératoire

Hervé Bokobza, médecin psychiatre

Frédérique Yampolsky, infirmière

Philippe Bos, médecin, ancien anesthésiste réanimateur

Nathalie Perrier Thérapeute

Pol DE COCK, Radiologue

Christian Latriche, médecin généraliste

Juliette Jeandron, psychologue

Alain JOSEPH, médecine générale JO

Sylvie Plumain, sage-femme

Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne et nutritionniste certifiée

Vanessa Mahut, professionnel de santé

Sophie Sabatier, médecin généraliste

Lorène Amet, médecin

Corinne Mayer, médecin

Patricia de Guigné, Infirmière

Michaël Chasset, psychologue clinicien

Tiphaine Turpain sage-femme

Nathan Debraux, kinésithérapeute, ostéopathe

Noël Malaurie, infirmière en maison de retraite

Stephane Le Corre, Psychologue du travail, ergonome

Florence Belasco, psychologue clinicienne et psychothérapeute

Frédéric PIC, Médecin rhumatologue

Philippe Ollivier, médecin

Fabienne Carbonnel, kinésitherapeute

Stéphan Lepetit-Teston, kinésithérapeute

Sylvie Lestienne, soignante

Caroline Mouzet, Médecin généraliste

Salim Laïbi, chirurgien-dentiste

Marie-Antoinette Saïdy, orthophoniste

Aurelie Tur Moreno, Psychologue

Thomas Philippon chiropracteur

Élise Vincenot-Dupré, infirmière en psychiatrie

Corinne Gourgner, aide-soignante

Anne Chassefaire, Sage-femme

Gaëlle Bouvet, chirurgien-dentiste

Caroline Schwerdorffer, infirmière

Matthias Giraudon, masseur-kinésithérapeute

Rajah Marhfour, Pharmacienne

Romain Betton Masseur-Kinesitherapeute

Marguerite Schnell, Infirmière d’anesthésie

Sezrge Perrin, Sapeur-pompier

Sybille Thebaud, Infirmière

Nicolas Vedrines kinésitherapeute

Thomas Philippon, chiropracteur

Guy Lelong, écrivain

DOA, romancier

Daniel Arnaud, philosophe, écrivain

Louis-Stéphane Ulysse, auteur

Jean Soldini, philosophe et historien de l’art

Pierre Farago, compositeur et concertiste

Nicolas Bault, musicien compositeur

Guillaume Basquin, écrivain, éditeur

Ludovic Arnal, producteur de films

Alain de Borniol, artiste

Jean-Marc Le Bruman, artiste peintre

Cécile Lamare, auteure

Aude Le Corff, écrivaine

Mathieu Lebot, musicien-compositeur

Norbert Merjagnan, écrivain, auteur dramatique

Philipp Larsen, écrivain

Bertrand Messe, technicien du spectacle vivant, théâtre de Troyes

Étienne Guéreau, pianiste, professeur de piano et d’harmonie

Sophie Brissaud, écrivain et journaliste

Alexandre Page, docteur en histoire de l’art, écrivain

Nicolas Mendousse, musicien, professeur de musique

Ariane Dreyfus, poète

Catherine Souchet, Auteure

Amanda Speed, poète

Christophe Chauvet, pianiste, pédagogue

Florence Vitré, Bibliothécaire

Lionel Garcin, Musicien

Pierre Rich, enseignant, artiste, auteur

Sigrid Coggins, artiste plasticienne

Pierre Stutin, historien

Xavier Azalbert, économétricien, directeur de la publication de France Soir

Anne Pezaire, psychanalyste et sociologue

Micheyle Marlier Formatrice ingénieure en sciences sociales et artiste peintre

Olivier Verdun, professeur de philosophie

Laurence Gay-Para, enseignante

Christine Rousseau, professeur de biologie-géologie, académie de Poitiers

Hercule Valencourt Professeur agrégé de mathématiques

Jean-Marie Matagne, professeur agrégé, docteur en philosophie, fondateur du Lycée expérimental d’Oléron

Matthieu Faucher, professeur des écoles et référent national du syndicat Action&Démocratie/ CFE-CGC

Karen Brandin, enseignante, docteur en théorie algébrique des nombres

Christophe Charpiot – Psychologue de l’Education nationale

Véronique Quilliou, professeur-documentaliste

Jean-Pierre Carlet, professeur agrégé de philosophie

Denis Guillec, professeur agrégé de philosophie

Kévin Desplanques, responsable de service vie scolaire

Agathe Henriot, enseignante et directrice d’une école maternelle

Garance-Gisele Lemaitre, professeure des écoles

Véronique Lamure, enseignante spécialisée

Bruno Fougeroux, professeur des écoles

Marisa Checa Molina, traductrice, auteur, professeur d’espagnol

Corinne Le Ténier, conseillière Principale d’éducation

Pierre Philippe Le Lann, professeur agrégé d’espagnol

Martine Désessard, professeur agrégée de Lettres

Alice Eissen, professeur de SVT

Agnès Rouby, Professeur d’Anglais des Affaires

Karen Dubois, professeure-documentaliste

Nathalie ROSE, professeure des écoles

Jean-Louis Marchetti, professeur agrégé de Mathématiques

Jean- Louis Bartoli, professeur des écoles (R)

Gilles Banderier, docteur ès-Lettres, enseignant

Hélène Goureau, professeur des écoles

Catherine Mallet, Conseillère d’orientation-psychologue

Evelyne Tschirhart, enseignante retraitée

Gaëlle Robert, éducatrice spécialisée

Philippe Gaible, professeur d’EPS

Laure Guérard, professeur documentaliste, syndicaliste à la CGT

Solange Selva, bibliothécaire

Pascale Fleury, formation Coaching

Virginie Castellani, professeur des écoles

Jérôme Turcas, éducateur retraité, secteur associatif

Reine-Claude Schaefer, Professeur des Écoles

Jean-Christophe Grellety, enseignant, auteur

Nadia Moulin, professeur de lycée professionnel

Miccio marie noelle professeur des écoles

Thys Jacqueline, enseignante

Benoît Jahan, enseignant

Nathalie Blanc éducatrice de jeunes enfants

Fabienne USTACHE, Educatrice

Pascale Chazal enseignante

Mikaël Mercier, Professeur de Lettres

Claudie Fichot, agrégée de philosophie

Bernard Boriello, enseignant, docteur en Civilisation Hispano-Américaine

Chauvet Jean, Enseignant EPS

Blandine Bultel AESH

Christian Celdran, administrateur Civil honoraire

Sophie Roiné, ingénieur

Sylvain Barousse, ingénieur

Catherine Laurent, ingénieure

Daniel Bévillard, ingénieur en informatique

François Gerald, journaliste

Marie-Claire Frédéric, journaliste

Dominique Sicot, journaliste

Loïc Lepart, journaliste

Bernard Jollivet, journaliste, auteur

Xavier Bazin, journaliste scientifique, auteur

Jacqueline Grima-Pettenati, biologiste moléculaire, directrice de Recherches au CNRS

Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, directrice de recherche INSERM

Caroline De Mulder, professeur de lettres à l’Université de Namur et auteure

Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13

Arnaud Plagnol, psychiatre, professeur de psychologie à l’Université Paris 8

Marie-Hélène Adam, professeure associée au CNAM, conférencière en histoire de l’art

Marie Lecomte-Tilouine, anthropologue, directrice de recherche au CNRS

Hugues Cassé, Maître de conférences en informatique à l’Université Toulouse 3

Yves Russell, enseignant vacataire d’histoire-géo, doctorant à l’EHESS

Jacques Tilouine, professeur de mathématiques à l’Université de Paris 13

Roland Hinnion, professeur retraité de mathématicien-logicien à l’Université Libre de Bruxelles

Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux

Alain Pénoël, professeur retraité, agrégé de mathématiques, docteur en Probabilités

Maxime Prévost, professeur titulaire, Département de français, Université d’Ottawa

Céline Leparquier, Ingénieur en biologie, chef de projet en recherche clinique

Alexandre Janon, maître de conférences en mathématiques appliquées à l’Université

Isabelle Bore, maîtresse de Conférences à l’Université de Picardie Jules Verne

Viviane de Beaufort, professeure et chercheur à l’ESSEC

Jean-Igor Ghidina,Maître de conférences HDR à l’Université Clermont-Auvergne

Françoise Clerc, professeur des universités en sciences de l’éducation, retraité

Nadia Lamm, professeur de Philosophie, retraitée de l’Université de Rouen

Matthieu Smyth, professeur-chercheur à l’Université de Strasbourg

Marie-Pierre Baudin-Maurin, juriste, maître de conférences à l’Université de Toulon

Céline Schott, géographe, ingénieure d’études à l’INRAE

Henri Louis Go, enseignant-chercheur en sciences de l’éducation à l’Université de Lorraine

Magali Soulatges, MCF en Littérature française du XVIIIe siècle à l’Université d’Avignon

Pierre Piccinin da Prata, Historien – Politologue, Rédacteur en chef du Courrier du Maghreb et de l’Orient

Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité) en informatique, ancien professeur de l’Ecole Polytechnique

Thierry Turletti, directeur de recherche, INRIA

Geneviève Lheureux, Maître de Conférences en Littérature anglaise, Université Lyon 3

Nadine Piat, professeur des Universités, Automatique – Robotique, ENSMM Besançon

Pascal Bouchez, maître de conférences en Sciences de l’information et de la communication à l’UPHF

Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite, Psychologie, Université de Paris

Denis Rotillon, maître de conférences en mathématiques, retraité, Université de Toulouse Paul Sabatier

Etienne Fieux, enseignant-chercheur en mathématiques à l’Université Toulouse 3

Henri Persat, Docteur ès Science, Médaille de Bronze retraité du CNRS

Anne Baudouin, ingénieure de recherche au CNRS

Louise de La Haye Saint Hilaire, doctorante à INRAE

Thomas Fernique, chercheur au CNRS en informatique

Sophie Wauquier, Professeure de Sciences du Langage à l’Université Paris 8

Anny Duperey, comédienne

Clémentine Jouffroy, éditrice

Yves Chevalier producteur de cinéma

Ophélia Teillaud, metteur en scène, comédienne et professeur de théâtre

Arnaud Dagin, Chef cuisinier (étoilé Michelin), chroniqueur

Juliette Bouchery, comédienne, auteure

Marie Artaud, Artiste chorégraphique, pédagogue

Delphine Cheverry, Metteuse-en-scène

Béatrice Delestre, conservateur des bibliothèques

Frédéric Tessier, infographiste

Martin Guyot. Scénariste

Nikie Lescot, comédienne

Mathilda Marque Bouaret, artiste peintre

Marie Bonny, artiste peintre

Jérôme Chanteloup, artiste

Olivier Humeau, Vidéaste, musicien

Minsili Zanga, Poétesse

Daniel Robart, chanteur lyrique

Sacha Denoy, artiste, arts du cirque

Nicole Robert Barromé, poète

Willie Cortez, artiste, compositeur de musiques de film et réalisateur artistique

Danièle D’Antoni, Agent artistique

Sandrine Delrieu, Artiste-auteur

Françoise Malassigné, musicienne et professeur d’enseignement artistique

Dominique Parain, musicienne

Céline Frédérika, artiste, illustratrice

Danièle Facon, chef de chœur lyrique

Pierre Emmanuel Duprat, Artiste

Quentin Rousseaux, musicien comédien

Denis Durand, Artiste

Vivian Delibrias-Mathiot, Bibliothécaire

Jean-Christophe Yu, cinéaste documentariste

Maud Gnidzaz, Artiste Lyrique

Laurent Ozon, Essayiste

Nathalie Blanzat, illustratrice

Marie Degodet (alias Marie Elizabeth Seager), cantatrice

Myrian Bulloz, musicienne professionnelle

Emmanuèle Dubost, cheffe de chœur, professeure au conservatoire

Bénédicte Bless – Auteur compositeur interprète

Aldjia Moulai, militante féministe, antiraciste, présidente de Culture et solidarité

Salah Al Hamdani, poète – écrivain

Luis André, musicien

Alexandra Courquet, artiste

Jensen kit, artiste

Denis de Valmont, médecin, ancien membre du Conseil Scientifique de la HAS

Michel Fonters, directeur d’hôpital honoraire

Michel Cucchi, docteur en médecine, directeur d’hôpital

Marc G. Wathelet, docteur en sciences (biologie moléculaire)

Henni-Laleg Zoubida médecin pathologiste chu f guyon Réunion

Annette Lexa, expert en toxicolgie réglementaire et évaluation de risque

Isabelle Côte,  infirmière en ephad

Michel Sochala, médecin généraliste et addictologue

Catherine Noël, médecin

Isabelle Chivilo, médecin généraliste

Antoine Gastal, médecin MPR aux hôpitaux de Saint Maurice

Alain Branchereau, médecin généraliste

Gabriel Marion, psychiatre

Jean-Charles Luizard, psychiatre

Catherine Camaret, médecin

Françoise Salkowsky, médecin généraliste

Nicolas Zeller, Médecin généraliste

Clotilde Hennequin Rivoire, Psychologue clinicienne Psychothérapeute

Juliette Nieutin, orthophoniste

Bernard Guibbaud, psychothérapeute

Gilles Penna, psychanalyste – psychothérapeute

Sophie de Vries Le Kerneau, psychologue

François Thioly, médecin psychiatre

Irilys Bouckaert, orthophoniste

Olivier Boumendil, médecin radiologue

Elisa Cristante, psychologue au CH de Périgueux

Sonia Le Floch, médecin

Christine Le Pezron, Médecin addictologue

Pierre Popowski, docteur en médecine, pédiatre

Richard Simon, Cardiologue

Jean-Luc Lebrun, gynécologue-obstétricien , praticien hospitalier

Solange Teuliere profession infirmière

Parini Michel, médecin

Marie Thérèse Ducluzeau, infirmière

Richard Faitg, médecin

Catherine Vasseur psychanalyste

Alain Rousseau, Docteur en médecine

Anne Gouvès, Docteur en génotoxicologie, cadre dans l’industrie pharmaceutique

Anne Marie Monjo médecin anesthésiste

Joëlle Barnabo, infirmière de bloc opératoire

Fabienne Carver, psychologue clinicienne

Isabelle Hoehne Docteur en médecine, médecin généraliste

Catherine Dubien, médecin généraliste

Angéline Piquart, infirmière

Odile Huchet, pharmacienne

Jean Michel Valentini, Infirmier

Claire Bisson masseur kinésithérapeute

Corinne Tilloy, médecin

Isabelle le Bras, chirurgien-dentiste

Fatima Rezig, infirmière

Christian Portal, médecin

Delphine Bensaïd, psychologue psychanalyste

Julie Lascols, psychologue

Philippe Harvaux, ancien cadre supérieur de l’industrie chimique, président de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante

Anne Lucas, Thérapeute

Marie-Laure Martin, kinésithérapeute

Irène Bouchaud, psychothérapeute

Michel Fruitet, pédopsychiatre

Marie-Noëlle Jouault, infirmière

Anne Catherine Martin médecin généraliste

Valérie Sierra, Cardiologue

Charline Chaveneau, Orthophoniste

Natalie Baert, Sage-femme

Anne Nespolo Médecin

Anne-Laure Berne, pharmacienne

Rémy Chaillou, Ostéopathe

Magali Okninski, Sage-femme

Michèle Clévy médecin généraliste

Réda Bounab, chirurgien-dentiste

Isabelle Delahaye, psychologue

Stéphanie Deschamps, psychologue

Dominique Lismonde, psychologue clinicienne, psychothérapeute

Mara Blandine Goddet : psychologue clinicienne

Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, ingénieur hospitalier

Vincent Grubesa, chirurgien-dentiste

Florence Verbaenen, infirmière

Patricia Dettori, aide-soignante

Éric Gervais, médecin psychiatre

Laura Roux, Infirmière

Alix Moulanier, médecine généraliste

Sylvain Deleplanque, psychologue

Anne Thibault, psychologue clinicienne

Virginie Klein, Psychologue clinicienne et psychothérapeute

Jacqueline Rivailler Delmotte médecin

Claude Swaenepoel, pédiatrie

Bernard Bouheret, Kinésithérapeute

Marie Berthet médecin dermatologue

Julie Lascols, psychologue

Fabrice Guilbaud, Psychologue clinicien

Charles Heim, Psychologue

Yvette Klein Wurtz, Psychologue clinicienne

Franck Pallier, infirmier psychiatrique

Sandra Garric, sage-femme

Patrick Berthou, psychologue

Louis Ruhlmann, médecin

Vincent Béja, Gestalt Psychothérapeute

Eric Lefebvre, Masseur Kinésithérapeute / Ostéopathe

Marie-Elise Hanne, Médecin Biologiste

Nadine Dumont, psychothérapeute

Emmanuelle Jean-Hacquet Psychologue clinicienne

Valérie Vie, Psychanalyste

Frédéric Teste Ostéopathe

Luc Jacquis, psychiatre

Nathalie Thomas, Psychologue

Clarisse Cazal, Psychologue clinicienne

Catherine Maso médecin généraliste

Paul Polis, médecin vétérinaire

Isabelle Lagny, médecin du travail

Maïlis Poncet, médecin généraliste

Yannick Ruel, vétérinaire

Alain Berthier, médecin généraliste

Jean-Pierre Letourneur, médecin

Linda Bultel, orthophoniste

Julie Poinsot, Psychologue

Antoine Rault, médecin vétérinaire

Bruno Décoret, psychologue

Pierre Maillard, Docteur en Chirurgie Dentaire

Brigitte Dailcroix, représentante des usagers dans les hôpitaux et clinique

Françoise Glastre, Sage-femme

Corinne Bernard, médecin

Dominique Prost, médecin

Nicolas Ecobichon, infirmier

Noémie Flottes, orthophoniste

Laurence Queffurus-Lepetit, infirmière en CHRU

Karine Baillieu, psychologue clinicienne

Kim Gallois, masseuse-kinésithérapeute

Laurence Meert, kinésithérapeute

Mathilde Simon, infirmière

Laurence Papon, psychologue-psychothérapeute

Marc Heinrich, infirmier

Nathalie Jezegou, infirmière libérale

Jean-Clément Gérard, psychologue, psychothérapeute

Francis Fiocconi, médecin

Justine Defrancq, infirmière

Julia Leporc, infirmière

Sandrine François, Infirmière en service de néonatalogie

Pascal Trotta, docteur en médecine, ancien interne des hôpitaux de Paris, radiologue

Charles Rouyer, Neurologue

Jean Christian Prévost ostéopathe

Frédéric Bourde, préparateur en pharmacie et pompier volontaire

Jean Jacques Gandini, avocat

Pascale Vessaire, avocat

Olivier Kuhn, juriste

Luc Mugniéry, juriste

Isabelle Manuguerra, greffier

Marie Laure Thiebaut, avocat

Jo-Anne Lefebvre, docteur en droit privé et sciences criminelles, avocate

Roseny Apatout, avocat

Karine De Luca, avocate

Pascale Sadoux-Allard, avocat

Edith Delbreil, avocat honoraire et médiateur professionnel

Raphaël Bonneau, docteur en droit public et collaborateur parlementaire

Jean Louis Lascoux, président fondateur de l’école professionnelle de la médiation et de la négociation

Élisabeth Campagna-Paluch, écrivain, Docteur en Anthropologie sociale, Université Paris 8

Eric Ferrières, professeur agrégé d’économie et gestion

Claude Guilbaud professeur de Mathématiques

Françoise Le Corfec, enseignante

Petra Jarry – Psychologue de l’Education Nationale

Marylène Arbus, professeur d’Education musicale

Olivier Salerno – Enseignant en lycée professionnel

Agnès Charles, professeur de mathématiques

Michèle Sabourin, professeure agrégée de Mathématiques

Dominique Pavy, enseignant

Marie-Hélène Turcat professeur de biotechnologie

Patricia Bres, infirmière et éducatrice spécialisée

Alain Sert, professeur agrégé et docteur en sciences mathématiques

Hélène Schneider, enseignante

Dominique Bergamasco, enseignante

Helen Barlow   enseignante en SVT

Sébastien Josset, enseignant

Jean-Jacques Calliet, professeur de mathématiques
Christiane Garcia, professeur des écoles

Claudine Maynard, enseignante

Carole Delorme, Professeur des écoles

Marie-Hélène Braun-Dusseaux, enseignante

Christophe Canazzi, professeur d’espagnol

Christelle Lutun, enseignante en école internationale

Christine Henniqueau-Thioly, psychopédagogue

Pierre Favre, professeur d’Histoire Géographie

Carole Jensen, AESH

Elisabeth Geffroy, AESH

Gisèle Lucht, enseignante

Laurence Gabay, enseignante

Laurence Basset professeur d’école

Rouquette Flavien, éducateur de jeunes enfants

Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation psychologue, Université Nice

Julien lamora, professeur d’EPS

Sophie Louf, enseignante

Christian Charmes, enseignant

Alain Le Corfec, enseignant

Philippe Herr, Enseignant agrégé de Lettres

Marie-Odile Bozor, enseignante en Espagnol

Nathalie Duran, enseignante en conservatoire

Danièle Brahm, enseignante

Samia Robert, Professeure des écoles

Fabienne Vasseur Guilbert, enseignante

Laurence Graff, enseignante en collège

Frédérique Halbardier, professeur de français

Sylvie Pereira enseignante spécialisée

Cédric Facenda professeur de technologie

Natacha Ben Saïd, enseignante de Lettres histoire géographie

Stanislas Troude, professeur de philosophie

Florence Delahais, éducatrice de jeunes enfants

Evens Salie, Economètre

Olivier Philippon enseignant

Patrice Nagel, Professeur agrégé

François Barillon, enseignant

Annie Millot – professeur d’anglais

David Schilling, Enseignant

Laure Grandvoinnet, professeur de musique

Noémie Massart, professeur des écoles

Françoise Gil, Sociologue

Archie Robertson, professeur d’anglais médical

Jean Luc Chautagnat, enseignant, chercheur en économie sociale et solidaire

Marie-Hélène Soulier, professeure au lycée

Gérard Masselin, professeur agrégé, enseignant en CPGE

Maud Boufflers, professeur en maths-sciences

Jean Leplant, formateur ESRP

Antonio Casas Aragon, enseignant

Magali Aigoin, Professeur d’histoire-géographie /cinéma audiovisuel

Grégory Baffert, enseignant

Sylvie Adrianssens, professeure agrégée de Mathématiques et ingénieur agronome

Christine Lecocq-Thomas, professeure de Français

Younes Al Sanhaji, enseignant

Jonathan Milon, enseignant en physique chimie

Sophie Pelletier, professeur des écoles
Frédérique Evenou, professeur agrégée de philosophie

Audrey Chapot, anthropologue

Didier Clénet, Chercheur physico-chimiques et biophysicien à Lyon

Christian Tanguy, ingénieur

Benjamin Thomas, ancien Ingénieur de Recherche CNRS

Yves Abily ingénieur agronome

Adrian Nica, ingénieur

Sabine Lorenz, ingénieure

Marc Grasmuck, ingénieur

Frank Grouhel, ingénieur

Jean-Michel Durand, Ingénieur

Stéphane Le Men, ingénieur

Carole Clément, docteur en chimie, chef d’entrepris

Michel Billiere, ingénieur

Olivier Lorillu, PhD Université d’Orléans, Cadre dans l’aéronautique

Marc Andreevsky, ingénieur-chercheur

Thierry Escalère, Ingénieur

Philippe Audebaud, chercheur en Informatique

Christine Bertoni, Ingénieur- enseignante

Simon Archipoff, docteur en informatique

Bertrand Cholley, ingénieur

Diné Mba, ingénieur

Maxime Fardeau, ingénieur

François Maguin, ingénieur informatique

Thomas Beaucourt, ingénieur en informatique

Alexandre Boisson, ancien policier, formateur sur les risques systémique

Guillaume Maquinay, ingénieur

Anne-Marie Ropert, ingénieure

Sabine Lasou, ingénieur

Gauthier Lasou, ingénieur CEA, secrétaire général UNSA SPAEN

Henri Pascal, docteur-ingénieur

Jean-Jacques Ohana, ingénieur, économiste et data scientist

Daniel Tain, ingénieur

Michel Déas, ingénieur de l’armement

Cécile Royer, ingénieure

Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public, Université de Limoges

Oriane Warusfel, médiatrice scientifique

Frédérique Leblanc, maîtresse de conférences en sociologie à Paris Ouest Nanterre

Fabrice Caudron, maître de conférences, Université de Lille

Nicolas Bancel, professeur d’histoire à l’Université de Lausanne

Yves Martinez-Maure, professeur à Sorbonne Université, Institut de Mathématique de Jussieu

Olivier Garet, mathématicien, professeur des universités

Corinne Martin-Chouly, maître de conférences en pharmacologie à l’Université de Rennes 1

Jacques Maillard, Physicien, Docteur es Science, chercheur retraité du CNRS

Olivier Barge, géographe, Ingénieur de recherche au CNRS

Alain Joets, physicien, chercheur au CNRS

Marie-Line CAL, économiste de la santé, Université de Bordeaux

Joël Colonna, Maître de conférences en droit, Aix-Marseille Université

Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS

Guillaume Zambrano, Maître de Conférences en Droit Privé, Université de Nîmes

Thomas Lecorre, Maître de conférences en mathématiques appliquées à l’Université de Cergy-Pontoise

Maxime Audebert, Maître de conférences en Génie Civil à l’Ecole Centrale de Lyon

Benjamin Chevallier, Chercheur en sciences sociales, Economiste

Jean-François Lesgards, docteur en Chimie/Biochimie, CNRS

Alain Jacquot, Economiste et statisticien

Emmanuel Piat, Maître de conférences, ENSMM, Besançon

Christophe Pébarthe, maître de conférences en histoire à l’Université de Bordeaux

Aure SAULNIER, chercheur en Virologie

Jean-Charles Rafoni, Linguiste, Université de Cergy

Patrice Gibertie, professeur honoraire de Chaire supérieure, ancien universitaire

Boris Bardot, Maître de conférences en génétique à Sorbonne Université

Jean Garagnon, agrégé, docteur, maître de conférences honoraire à l’Université Montpellier 3

Muriel Cassel, Maitre de conférences en civilisation britannique à l’Université Lyon 3

Pascal Fugier. Maître de conférences en sciences de l’éducation et de la formation. CY Cergy Paris Université

Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris

Oscar Brousse, chercheur en climatologie urbaine au University College London

Philippe Ody, journaliste et réalisateur indépendant

Patrick Despierres, journaliste

Nicolas Didier, journaliste pigiste

Sybille Burtin, médecin Spécialiste de santé publique

Nadia Bouziane, médecin généraliste

Denise Peyrat-Colonna, Chirurgien-dentiste

Granget Calliet Marie Claude Psychologue clinicienne

cathy Blanc, Médecin

Cécile Marois, Médecin

Sébastien Halley, Infirmier hospitalier, CGT du Centre Hospitalier Sainte Anne à Paris

Rosy Pierre-Antoine, Sage-femme

Daniel Dhaussy, Médecin

Beatrice Vibert, infirmière puéricultrice

Jacqueline Segot, Infirmière

Philippe Wallon, Psychiatre

Ann Bojko, kinésithérapeute

Thierry Chareyre, aide-soignant

Nathalie Naves, pharmacienne et psychologue

Roselyne Charvet Dischly, Psychologue Clinicienne

Carole Pellissier, masseur-kinesithérapeute

Christine Mathou-Huet, orthophoniste

Nicolas Garanger, vétérinaire

Anne-Marie Hyvernaud Rabret, psychologue clinicienne

Lucie Massart-Chauvet, vétérinaire

Yvonne Parquer, médecin généraliste

Sophie Cusset, Médecin généraliste

Roman Florent, Infirmier

Anne-Marie BRUN, Sage-femme

Gabrielle Gothié, Orthophoniste

Nathalie Levy psycho praticienne à Strasbourg

Philippe Chauveau, Infirmier Hospitalier

Annecat Suquet, Infirmière

Marc Ricolleau, Kinésithérapeute

Jean-Marc Henriot, Psychologue. Psychanalyste

Carole Dimpre, psychologue clinicienne

gilles rochette, psychologue

Laura Ortiz, chiropracteur

Christian Sarthe, médecin

Philippe Hoyois, médecin vétérinaire

Francis Lochar, Médecin généraliste

Thierry Foucault, infirmier en psychiatrie

Christian Guislain, Médecin

Daniel Bombardier, publicitaire

Paméla WASSILIEFF, Avocat

Mélanie DUEZ, avocat au Barreau de Valenciennes

Sybille Salmon-Legagneur , Avocat à la Cour

Xavier Moniot-Lundy, juriste, fondateur de l’association LJQR (Les Juristes Qui Résistent)

Moïse Santamaria, comédien

Sébastien Fernex, Artiste sculpteur

Christian Ronceray, artiste peintre

Sarah Jalabert, comédienne

Francis Del Rio, réalisateur

Tifenn Pourcel, comédien

Nicolas Gauthier, musicien, docteur en musicologie

Rodrigo Ramis, concepteur, comédien, poète

Antoine Merger, artiste peintre

David Dragone, pianiste, enseignant

Morena Negri, libraire

Tran Anh Hung, réalisateur

Yoan Dumont, artiste du spectacle vivant

Luc de Goustine – écrivain

Bruno Cariou, Producteur de musique

Pierre Lefebvre, artiste

Anne-Lise Petignat, artiste plasticienne

Henri Kergomard, musicien

Isabelle RESDI, créatrice et artisan d’Art

Henri Andrieu, musicien

Cécile Girard, musicienne

Christine François-Kirsch, romancière, photographe

Guillaume Pinjon, musicien

Christiane Botbol, Culture

Pascal Lordi, auteur et lanceur d’alertes

Olivier Payrat, musicien

Marine Locatelli, Scénariste jeunesse, réalisatrice

Xavier Florian, travailleur social, directeur d’association en protection de l’enfance, président d’un centre de formation et de recherche en travail social d’Ile-de-France

Pierre-Jacques Derainne, Docteur en histoire, enseignant

François Briens – Docteur en prospective et socio-économie

Jean Happel, agrégé de Lettres classiques

Christine Pavon, professeur des écoles

Jean Grimal, instituteur et syndicaliste CGT

Cathy Brunel, Biologiste, enseignante

Marc Ramirez, Enseignant

Isabelle Thery, professeur certifié d’Anglais

Jérôme Coipeau, professeur certifié de Mathématiques

Catherine Tardy, enseignate

Romain Vignest, Professeur agrégé de lettres classiques

Nadine Seguin, enseignante, formatrice pour adultes

Éric Saurais, enseignant

Isabelle Chancé, AESH

Blandine Boulet, enseignante

Gérard Schmitt, professeur agrégé de philosophie

Christiane Devillers, professeur des écoles

Véronique Velio, Enseignante

Mirabela Turbic, AESH

Pascale Castel, enseignante

Samira Daoudi, professeure de commerce

Hubert Maire Enseignant en sciences de l’ingénieur

Elisabeth Champet, AESH

Doriane Peiffer, Éducatrice spécialisée

Nadine Boisgard AESH

Claudine Vigille, enseignante

Rodrigo Llopis photo – reporter et professeur dans l’Education Nationale

Anne Villeneuve, professeur d’Anglais

Françoise de Goustine, enseignante

Guillaume Farrugia, enseignant d’EPS

Marianne Lana, psychologue clinicienne, professeur de Lettres.

Julien Pruvost, Chef de Service éducatif, Maison d’enfants à Caractère Social

Poulet Line Éducatrice de jeunes enfants, directrice de crèche

Jean-Paul Rabret, professeur agrégé de Lettres Modernes

Félix van Ditzhuijzen, Educateur, accueil d’adolescents et personnes handicapés

Catherine Chabrun, militante pédagogique et des droits de l’enfant

Christine Catala, Attachée de Recherche Clinique

Boris lama, docteur de l’Université de Guyane

Hélène San Clemente, bioinformaticienne

Oriane Mallard, ingénieure agronome

Cédric Castanet, ingénieur informatique industrielle

Joffrey Lenoble, ingénieur

Julien Potrel, ingénieur en informatique

Fabien Garbati, ingénieur informatique

Benjamin Alby, ingénieur

Mathieu Bois, ingénieur

Anne Peltier, Ingénieure en Génie de l’environnement

Carlo Oetheimer, Géomorphologue, ancien collaborateur CNRS, chercheur indépendant

Eric Teinturier, consultant, formateur, militant d’éducation populaire

Laurent Preveyraud, ingénieur

Vikash Dhorasoo, footballeur

Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’Université de Perpignan Via Domitia

Pascal Ragouet, professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux

Fernand Bentolila, enseignant (R) à l’université

Sandra Martin-Latil, Directrice de recherche en virologie

Jose Catala, agronome, Ingénieur d’études à INRAE

Jean Baratgin Professeur de psychologie cognitive à l’université Paris 8

Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’université de Pau et des pays de l’Adour

Bernard Landais, Economiste, Professeur émérite à l’Université de Bretagne Sud

Zuzana Fekiacova-Castanet et je suis chargée de recherche INRAE

aurent Le Guillou, maître de conférences à Sorbonne Université, cosmologie

Youri Timsit, Directeur de Recherche au CNRS en biologie moléculaire

Pauline Garnier-Géré, chercheur à l’INRAE

Maxime Parisotto, Ph.D, chercheur à l’IRCM de Montréal

Leila Ladjimi Sebai, historienne, archéologue, directeur de recherches INP

Pierre Sochala, docteur ingénieur, chercheur en mathématiques appliquées

Laurent Polet, Professeur en Management, Ecole Centrale Supélec

Anne-Yvonne LANDAIS, Maitre de Conférences (ER) en Sciences Economiques Université de Bretagne Sud

Patrick Steyaert – Ingénieur de Recherche en Agronomie – Sociologie – INRAE

Daniel Favre, Professeur honoraire à l’Université de Montpellier

Cornelia Personne, philosophe, Enseignante à l’Université Technique de Darmstadt

(Allemagne)
Christian Germanaz, Enseignant-chercheur en géographie à l’Université de La Réunion

Patrick Gaboriau, Anthropologue, directeur de recherche CNRS

Jean-Pierre Demailly, Mathématicien, Université Grenoble Alpes et Académie des Sciences

Mohan Ranganathan, Professeur émérite à l’Université de Tours

Olivier Poinsot, juriste en droit de la santé, chargé de cours aux Universités de Montpellier et Lyon 3

Christophe Al-Saleh, maître de conférences en philosophe à l’Université de Picardie

Philippe Morand, chercheur CNRS retraité, génétique, écologie

Ariel Prunell, Directeur de Recherche CNRS (retraité)

Emmanuel Dupont, chercheur physicien, Ottawa

Géraldine Bérail, docteur en science de l’environnement et santé, cadre supérieur de la fonction publique

Daniel Mesnard, PhD, Enseignant en Biologie

Françoise BAYART, Dr. en Neurosciences et Sciences du Comportement et de l’Environnement, retraitée du CNRS, bénévole au MNHN

Denis Flandre, Ingénieur, Professeur à l’Université Catholique de Louvain

Jean Jimenez, Docteur en Genie Biologique et Médical

Christian Toinard, Professeur des Universités en informatique, INSA Centre Val de Loire

Olivier Ozenda, Post-Doctorant en mathématiques appliquées/mécanique à l’INRAE

Christophe BELLEVAL, Maître de Conférences, Université de Paris

Gilles ENEA, Professeur en Automatique (E R) à l’Université de Toulon

Marie-Ange Dat, Enseignante-chercheuse Université de Nantes

Pierre BOUOPDA, Economiste, Maître de conférences, Université Polytechnique Hauts-de-France

Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour

Lyu ABE, astronome-adjoint, Observatoire de la Côte d’Azur

Sacha Singh, enseignant en droit (ATER) à l’Université de Lille

Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’Ifremer

Idriss Aberkane, Essayiste, Conférencier, Docteur de l’École Polytechnique

Roland Timsit comédien, metteur en scène

Patrick Dupuis, artiste peintre

Christian Sassano, artiste

Céline Guyot, Scénariste

Pascal Larderet, metteur en scène, comédien

Sylvain Piron, musicien

Aude VINCENT Photographe

Nicolas Bauer, comédien

Grégoire MOSSER, Artiste

Alexandre Gouzou, photographe

Jean-François de La Chaise musicien professeur

Catherine Piron-Paira, Conteuse

Nancy OFUJI, Libraire, galeriste

Stéphane Berthois, traducteur et adaptateur

Fred CALICHON, Artiste peintre

Didier Blonay, journaliste, romancier

Véronique Robin-Jallet, Artiste peintre

Raphaël Godeau, musicien

Frédérique Trunk, pianiste, vocaliste, compositrice

Cristina Crisci, metteur en scène

Alessandro Proietti, Artiste peintre

François DELPEUCH, traducteur littéraire

Romain Dallier artiste

Manuel Sorolla, Directeur de conservatoire

Catherine Gaudet, Chorégraphe, directrice de la Compagnie Catherine Gaude

Marielle BELLEVAL Artiste

Anton Thumiger, musicien

Manuel leonardi, peintre

François Séguin, Conservateur du patrimoine

Benoît Faivre / auteur – metteur en scène

Cyril Verdier, Artiste musicien

Pascal Regoli, réalisateur

Jean-Jacques Jaillat, philosophe, auteur

Peter Bannister, compositeur et concertiste

Steve Moreau, réalisateur

Patrick GUERIN, docteur Vétérinaire, ancien Vice-Président de France Biotech, Cofondateur, avec le Bataillon des Marins Pompiers de Marseille du Réseau COMETE

Laïla MALAGA, psychologue

Christine BLANC, Docteur en médecine, Médecin Généraliste

Lyne Furco, infirmière

Michel JREIGE , Médecin généraliste, ex-urgentiste

Claire SOULAS, infirmière

Christophe Fra, infirmier

Raphaëlle Montassut-Diarra, Infirmière

Frédéric VERNERE, médecin spécialiste anatomo-pathologiste

Dominique Branet, infirmière en EHPAD

Laurent TONNERRE infirmier en psychiatrie

Denis ASSELINEAU, Médecin Anesthésiste Réanimateur
Cathy-Anne Pireyn, Sage-femme

Murielle OGER RUCKER, Médecin

Pascal Piéton médecin généraliste

Brigitte Faure médecin généraliste

Emmanuel Pichot Medecin

Estelle Prévost, médecin psychiatre

Mathias Rio, psychologue

Bernard Bozzi, médecin généraliste

Paul BOURLIER Aide-Soignant

SCHOTT Sonia infirmière en psychiatrie

Aurélie Méheux, orthophoniste

Gabin Lopez, médecin

Jean Claude BOURRIN, médecin

Marie-Pierre BARRIER, aide-soignante

Élodie CRÉPIN, psychomotricienne

Jean-Louis Murati, médecin, ophtalmologiste

Salomé Savouillan, Infirmière scolaire

Michèle Bourrin kinésithérapeute

Marie-Anne Morien, Infirmière

Caroline Lecouvette Kinésithérapeute

Valérie HENRY, Psychologue clinicienne

Fanny Maldidier orthophoniste

Jean-Jacques Devic, pharmacien biologiste, industrie pharmaceutique

Casteret Isabelle, infirmière anesthésiste

Jean Grimberg, chirurgien orthopédiste

Florence PICHOT, Psychologue-psychothérapeute

Emmanuel Daigneau, ostéopathe

Elsa hybertie, psychologue

Sylvie descriaud, chirurgien-dentiste, libéral et praticien attaché en chu

Agnès Segura, psychologue- psychothérapeute, docteur en psychologie clinique

Aurore KIFFER, Sage-femme

Corinne Charton, Psychothérapeute

Mario Fiore, Kinésithérapeute et ostéopathe

Dumas Annie infirmière

Donia Hammami, vétérinaire

Valérie Franco, infirmière

Claudine Tatout cadre de santé

Laïla MALAGA, psychologue

Corine Lopez, psychologue

Lydie Pacteau, médecin gynécologue

Alain Wurtz, MD, PhD, Professeur Émérite de Chirurgie Thoracique

Sylvie Deneux ergothérapeute

Laurent HERDT, aide-soignant à l’hôpital

Sylvie Mannequin, médecin

Natacha GALET Psychologue Clinicienne- Psychothérapeute

Denis Sollelis Ribbe. médecin

Jean-Louis Gaudin, Médecin des Hôpitaux de Lyon, Gastroentérologue

Véroni Dhorasoo, Psychologue E.N.

Claudy GUILLON, directeur d’ Établissement et Service Médico-sociaux  et de protection des majeurs vulnérables

Isabelle Drucy, psychologue clinicienne

Bernard Waroquier, pharmacien

Khalid Foussih, osthéopathe

Monique Waroquier, pharmacienne

Xavier Gallet, psychologue

Philippe Garnier, psychologue

Julien Gaillard, médecin généraliste

Laurence Borgogno, vétérinaire

Marianne Saligny, kinésithérapeute

Marie-Pierre Mottet, infirmière

Agnès Cart-Lamy, Psychopraticienne

Theophile Megny-Marquet, psychologue-psychothérapeute en Service de Santé au Travail

Monique Béjat, médecin

J.-J. Delouvrier, médecin

Marie Boutrolle psychologue psychothérapeute

Pierre-Maurice, kinésithérapeute

Dominique CHANE-TO, Pharmacien

Carole XAVIER, médecin anatomopathologiste

Jean Luc Laurent. psychologue clinicien

Heger GZARA, médecin cardiologue

Catherine Coll, infirmière libérale

Olivier Brionne, ambulancier

Francis Fiocconi médecin radiologue

Thierry Lambert, médecin

Maryline Raina, praticien hospitalier, pédiatre

Annette Hure Richter psychologue clinicienne

Anne Dequin-Markyse, médecin généraliste

Tomaiuolo Laïla, kinésithérapeute

José Pedralva da Silva, Psychologue Clinicien

Jean-Louis VAUZELLE, psychologue

Solange Morvan, médecin

Thomas Brossier, kinésithérapeute

Docteur Catherine Gal-Bozzi, Médecin généraliste

Martin Pavelka, médecin pédopsychiatre

Henri Duchemin ambulancier

Pascale Orlowski, Infirmière libérale

Daniel Raveneau, Thanatopracteur

Clara Jolly, pharmacienne

Christiane Sipos, psychologue

Catherine Delattre, Médecin

Charles Benfredj, Avocat à la Cour de Paris

Laurent Frénéhard, Barreau de Rennes

Laurent NOREILS, Avocat au barreau des Hauts-de-Seine

Véronique Tatu magistrat honoraire

Stéphane VACCA, Avocat au barreau de Paris

Jennifer Guérin, Avocat

Didier Doré, juriste

Elisabeth Ruffinengo, juriste

Marc GELINEAU-LARRIVET, Magistrat

Hervé Grihangne, avocat

Marc BRESDIN, Avocat au barreau de Versailles

Michèle GAY, avocate

René Guichardan, Master en Sciences de l’éducation. Responsable du café philo Annemasse

Michèle GEORGE, Professeur de lycée

Roland Chastain, professeur de philosophie

Khadija Ben Amar, professeure des écoles

Laurence MAGUESYAN, professeur des écoles

Pascal Trutin, Enseignant

Lionel Bellec, professeur de lettres

Brigitte Mornet, enseignante

Damien Rondeau, professeur d’histoire-géographie

Audrey kieffer, Enseignante

Christian Ferrié, enseignant de philosophie

Daniel BERNARD, professeur de Droit et Economie

Georges SORAIS, Enseignant
Solange SORAIS, Enseignante

Marc Laureau, Professeur agrégé de mécanique

Annick DHAUSSY, Professeur

Barbaroux Bernard, enseignant

Bettine Banuls, Enseignante et psychanalyste

Katia MOLINES, professeur d’Histoire-Géographie en collège

Olivier Blazy, enseignant d’arts plastiques

Jeanne Torre enseignante

Annie Juhnke. professeur de français

Richard Juhnke. professeur de français

Franck Henry, enseignant

Laurence Henry, enseignant

Ghislaine Bigot, enseignante

Véronique Rocher , professeur des écoles

Elisabeth Germanaz, professeur des écoles spécialisée CHU

Fabien MAILLOT, AESH

Marianne Blin, conférencière gesticulante, éducation populaire

Brigitte Pierrat, professeur de danse

Thomas Noack, enseignant.

Emeline BRUGIERE,Monitrice Educatrice

François Saussac, éducateur spécialisé

Camille Rolland, Éducateur spécialisé, militant syndical

Françoise Delichères , professeur de philosophie

Maïté Lascaud, professeure agrégée EPS et docteure en STAPS

Hélène Apostolopoulos, Professeur agrégé de philosophie

Herminie BROCHOT, Enseignante

Isabelle Ducluzaux, professeur des écoles

Stéphane Toureille, Enseignant

Céline Peyre, Éducatrice spécialisée

Claude Terreaux, professeur agrégé de lettres classiques

Martine LE GALL professeur des écoles

Guillaume Durand, enseignant

Laurent Chantoiseau, Professeur d’anglais

Emmanuel CARRE, docteur en sciences de l’information, enseignant

Christine Snyder, professeur de Lettres

Rabah AMIR, professeur d’histoire

Orianne Noack, enseignante

Orianne Noack, enseignante

Sébastien Goyer, directeur d’école

Patricia Brezzo professeurs des écoles

Sophie Raveneau, professeur d’histoire-géographie

Lauriane Bigi, professeur des écoles

Laurence de Gueyer, formatrice

Jacqueline Collard chimiste,professeur

Johann Wattiez, professeur de mathématiques

Jean-Louis Marin enseignant de sciences

Florence Marin enseignante

Hélène Tilly, professeur de mathématiques

Anne Girerd, Professeur agrégé de SVT

Kévin Krantz, Professeur agrégé de philosophie.

Agnès Massard-Gomez, Educatrice

Véronique Duchesne, Formatrice

Paul Daudin Clavaud, ancien journaliste

Mickaël Ciccotelli, doctorant en science politique et journaliste

Nicolas Ziolkowski, Responsable Affaires Réglementaires et Évaluations Cliniques des dispositifs médicaux

Yves-Ferdinand Bouvier, Docteur ès lettres et écrivain

Olivier Filhol, sociologue E.R.A.S.M.E.

Isabelle Grimberg : docteur en sciences politiques

Catherine-D. WAJS, anthropologue

Julien LASSORT, Agent du MESR à l’UFR Odontologie de Bordeaux

Alain Jacquot, Economiste et statisticien

René-Jean Duret, Ingénieur, Expert de la coopération technique internationale

Daniel Sanchez Ingénieur

Gérard Zitta, Ingénieur retraité à l’Institut National des Sciences Appliquées

Jean Goychman, Ingénieur

Adel Chalouhi, Ingénieur

Marie Boutrolle, ingénieur

Christophe Louvel, Ingénieur

Stéphane Steunou, docteur en informatique, ingénieur

Manfred Schneider, Ingénieur

Maurice Heitz, Ingénieur

Lionel Palazzi, ingénieur

Benoît Guérin, Ingénieur

Grégoire Athanase, ingénieur en informatique

Elizabeth Walton, ingénieur d’affaires

Stéphane Wojnarowski, Ingénieur et sociologue

Guillaume Chomat, Ingénieur

Charpin Stéphane Ingénieur

Gilles Passis, ingénieur informatique

Pierre-Yves Raulo, Ingénieur

Yann Macutan, ingénieur et agrégé de Mathématiques

Françoise Cugnon de Sévricourt, Ingénieure informaticienne

Béatrice Vandervonden, Ingénieure Réseau et Système Informatique

Thierry Groussin, ingénieur

Philippe Chantry, DEA en astrophysique, ingénieur en informatique

Jean-Luc Aqua, ingénieur sénior

Emmanuel Roze, ingénieur

François Le Corneur, Ingénieur

Félix-Auguste Wilhelm, Ingénieur

Stéphane Roth, Polytechnique, ingénieur des télécommunications

Charles Oziel, industrie pharmaceutique

Josselin Prévost, prêtre

Christelle Desnues, virologue, Directrice de Recherche au CNRS

Alain Léger, professeur de sociologie retraité de l’Université de Caen

Bernhard Elsner, Professeur agrégé en mathématiques à l’Université de Versailles

Eric Castagne, Professeur de Sciences du langage à l’Université de Reims Champagne-Ardenne

Frédéric Grillot, professeur à Télécom Paris

Muriel Gilardone, Maîtresse de conférences en économie à l’Université de Caen
Alain Marliac, Archéologue, Directeur de recherches honoraire de l'IRD
Robin Candau, professeur à l’Université de Montpellier-UFR STAPS
Nadège Pandraud, sociologue, Maître de Conférences, Aix-Marseille Université
Eric Perera, enseignant chercheur, Université de Montpellier

Emmanuel Legeard, docteur ès lettres, historien des idées

Denis Geraads, Directeur de Recherche émérite au CNRS

Jacques H. Julliard, chercheur en biologie au CNRS, docteur en chimie, docteur d’Etat es sciences en chimie biologique

Daniel Serrat, professeur retraité de l’Université Paul Sabathier Toulouse

Jean-Jacques Christin, Université Claude Bernard Lyon 1

Florian Escoubes, enseignant chercheurs en communication à l’université Toulouse 1

Cécile Bourdais, enseignante-chercheure

Nicolas Ténèze, docteur en Science Politique, enseignant

Jean-Marie Geffroy, docteur en Informatique (Université Paris VI), chercheur à l’INRIA, chef d’entreprise

Nathalie Thomas, économiste de la santé, étudiante en psychologie de la santé

Lisa Brunelli, étudiante en Droit à l’université d’Aix-Marseille

Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux

Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire

Clément Evain, Enseignant-chercheur en physique

Bénédicte Sage-Fuller, Maitre de conférence, School of Law, University College Cork, Irlande

Murielle Bauchet, économiste de formation (Dea et Dess) et consultante en santé publique

Marie Lapeyronie, ingénieure d’études à l’université de Bordeaux

Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques dans l’enseignement supérieur

Claude Bouville. Directeur de recherche honoraire , CNRS

Anne Isla, Maitresse de conférences HDR en économie, Université de Toulouse

Marie-Hélène MARREC-LE YOUDEC, professeur (R) de sociologie à Sciences Po

Christophe Pouzat, Neurophysiologiste / Statisticien, CNRS Strasbourg

Céline Micout, doctorante en histoire

Céline Gaubert diplômée d’un Master de psychologie et d’un Master recherche en Neurosciences

François Bonnet, Enseignant à l’IUT Paris Descartes

Christophe VARNIER, ingénieur ENSPS, enseignant

Claude Dechesne, Chargé de Recherche, Inserm, à la retraite

Cyrille Rigolot, chargé de recherche, transdisciplinarité, INRAE

Pierre Roche, sociologue clinicien

Dominique Millet-Gérard, professeur de littérature française, Sorbonne-Université

Guillaume Lavoué, professeur des universités en informatique, Université de Lyon

Benoit Desnues, maître de conférences en biologie cellulaire à Aix-Marseille Université

Robert Joumard ancien directeur de recherche émérite Université Gustave Eiffel

Manuelle Peloille, Professeur en études hispaniques, Université d’Angers

Claude GIBERT, diplômé en Economieet en Sciences du Sport, référent « sport-santé » dans un Comité Départemental Olympique et Sportif

Yan Bour, Anthropologue et sociologue, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur

Edith Galy, professeure des universités en Ergonomie

Nicolas Bonnet, Professeur à l’Université de Bourgogne Franche-Comté

Fabrice Wilhelm, professeur des universités, 9e section, Université de Besançon

Gilles Guyot, Professeur honoraire de sciences de gestion à l’université Jean Moulin Lyon 3

Nicolas Loth, journaliste sportif

Jacques Girard, journaliste

Jean-Marie Dinh, Directeur de la rédaction du média citoyen Altermidi

Jacques MARTINEZ, journaliste retraité

Marie-Christine Baron-Fagé, Journaliste honoraire, chroniqueur judiciaire

Didier Lambert, président E3M (Association des Malades de Myofasciite à Macrophages)

Didier Plan, Médecin, Immunologue, ex-Directeur Recherche Clinique, Gériatre

Nicole DESCHODT, médecin

Michel Hénin, docteur en médecine , psychiatre

Alexandre Paganelli, infirmier hospitalier

Laurence Duboc-Lecocq, docteur en médecine vétérinaire

Anne GAUQUELIN orthophoniste

Pierre Acknin, médecin

Cathy VENTURIN, médecin généraliste

Virginie Limousin, psychologue

Pascale Martin, psychanalyste

Igor Labbé Kiné Ostéopathe

Aïd Zair kinésithérapeute en centre municipal de santé

Alain CARILLON – Médecin

Lucile Clair, psychologue

Aude Buche Infirmière

Estelle Hofmann, psychothérapeute

Danielle Delporte Psychiatre praticien hospitalier

Bernard DESCHODT, médecin spécialiste

Axel De Louise, psychologue clinicien, psychothérapeute

Olivier Personne, médecin généraliste

Emmanuel Thomas, vétérinaire

Alain Gressard  cardiologue

Bertrand BOISSON, Docteur en Pharmacie et Naturopathe

Emmanuelle Meunier, médecin

Emma Pitzalis, Psychologue

Dominique Jaulmes, Médecin hospitalier retraitée

Hélène Costamagna, médecin, Gynécologue

Véronique BERANGER, médecin généraliste

CHEMIN Marie Dominique, médecin généraliste

Françoise Volot, médecin

Marc Simon, Praticien hospitalier en retraite, Hématologue

Raphaël Proisy, kinésithérapeute

Dominique Lesuisse, Psychiatre – Psychanalyste

Monique-Cécile Drouet psychiatre, psychanalyste

Vladimir Pavlovic, Educateur Spécialisé en psychiatrie

Simone Davy Psychologue

François SCHAR, docteur en pharmacie

Claudie HENRY, pharmacien

Arnaud Brun, docteur en pharmacie et micro-nutritionniste

Marc Guibert, gynécologue obstétricien

Véronique ROUSSE. Thérapeute.

Pierrick Martinez, ostéopathe, recherche clinique en cancérologie

Pierre-Jean BATAILLE, médecin généraliste

Bernadette Lucas, psychologue

Yannick Marcadet, pharmacien

Arlette Fétat, infirmière retraitée – Sophrologue

Audrey Rodriguez, Psychologue clinicienne en Centre Hospitalier

Anne Levry pharmacien

Clotilde Maurin, masseur-kinésithérapeute

Sophie COLMART, Médecin généraliste

Laurent HENNEQUIN, Médecin Radiologue

Martine DURIEUX, Médecin du travail

Jackie Trividic  infirmière

Samira EL OUALI, médecin ostéopathe

Ahmed WADJINNY, Médecin spécialiste

Yves PIC, médecin généraliste

Stanislas Romankiewicz, psychologue

Marie-A. Trincat, infirmière

Lewintre Michel, médecin cardiologue retraité

Alonso catherine, Infirmière

Mickael Bonnan, médecin neurologue

Nicole-Emmanuelle Deloison, infirmière

Marlène Mellinger, Chirurgien-dentiste

Badel Frédéric, psychiatre

Lauranne VUILLERMET Kinésithérapeute

Zineb DEHEB, dermatologue

Sandrine Foulquier, médecin ophtalmologiste

Gérard Nauret, Psychologue clinicien

Pascale Munos psychomotricienne à l’hôpital

Baudy Romain, Osteopathe

Claudette Nantel, Infirmière

Valérie Daubié, sage-femme

PALLARES Guillaume, Ostéopathe

France Furby, Sage-femme

Philippe IMBERT, médecin

Françoise Bernard-Colombat Orthophoniste

Anne Franchimont, médecin

Stéphanie Boulet, gynecologue obstetricienne

Marie Lalfert, orthophoniste

Boisseleau Emmanuelle, aide-soignante

Véronique Hauss, Infirmière

Christine Lacostaz, directrice d’EHPAD

Jean Suignard psychologue de la Fonction publique hospitalière

Jean-Gabriel Flojollet, médecin

Marie Petracca, infirmière

Martine Gallice, médecin

Marie  PASQUIER, Médecin

Jérome Turostowski, ostéopathe

Eric Reboul, docteur en pharmacie, pharmacien

Jacques Pages, Infirmier

Angelique Delarue, kinésithérapeute

Catherine Willer Médecin

Annie Bergere, aide soignante

Sylvie BERTHELOT-PLANQUES, infirmière

Forné-Vivo Michel, Médecin, psychothérapeute

Carole Leconte, Chirurgien dentiste

Sophia HAMDI, Psychologue

Gilles Faurot, médecin

Marc ASMUS, médecin généraliste retraité, ancien directeur d’établissements médico-sociaux

Viviane Chartaud, Psychologue clinicienne

Joséphine CLEMENTE, Psychologue Clinicienne

Franck HUGBÉKÉ, Chirurgien dentiste

Serge Lainé, ophtalmologiste

Maëlle Lorain infirmière

Simone Casabon, médecine

Julie Ceccone, Physicienne médicale, CHRU Tours Bretonneau

Marie Dominique Tronchon, ostéopathe

Emmanuelle COLSON Orthophoniste

Göckel Alexander , Psychanalyste

Sylvie PRAT, infirmière

Marc Beranger, ostéopathe

Malika Bouchafa, psychologue clinicienne

Vincent NGUYEN TRONG, Masseur-Kinésithérapeute

‌Martine BRETEAU, médecin généraliste

Catherine Huerta, infirmière en EHPAD

Jean-Luc Sallard, médecin anesthésiste réanimateur

Julie Boisson, Orthophoniste

Daniel DUMINGER, médecin

Aram Ndiaye Infirmière

Laura GIUSTI, psychiatre des hôpitaux

Eli L. Cookson, psychothrapeute

Jérôme Jeudy, médecin, chirurgien

Christian Rugraff. Psychologue, Centre Hospitalier Montperrin

Brigitte Saclie, infirmière

Jacky Maillard, Médecin généraliste retraité

Francis Laurent, médecin anesthésiste -réanimateur

Georgantelis Cynthia, médecin généraliste

Jacques Bloch, médecin généraliste

Frida Dubernet de Boscq, médecin généraliste

Anne Maguin, soignante, psychomotricienne en HEPAD et en CMPP

Jean-François PASCAL, Gériatre

Bernard Hardt, Chirurgien Urologue

Anne-Florence Lanusse-Cazalé, ostéopathe

Dominique Dock, médecin généraliste

Esther Jeuffe vétérinaire

Poiroux Sylvie, Infirmière

Jérémy baschet, psychologue clinicien

Mina ADDARI LUMEN psychanalyste

Mahé chantal , infirmière

Christine Boisserie, Ostéopathe

Corinne Lefaucheur, médecin endocrinologue -diabétologue

Stéphane Lefebvre, médecine physique et de réadaptation et médecine du sport

BERRY Thibaut, électroradiologie médicale.

Martine ROULEAU, magistrat honoraire

Martine BAHEUX, Avocate

Dominique Henri Matagrin, Magistrat honoraire

Hervé Grihangne, avocat

Gilles Vincent, Avocat

Marielle Lorcy, avocat

Dominique Bibal, Magistrat Honoraire

Fabienne Becam, Juriste

Caroline Angeledei, Avocate

Gérard GUILLOT Avocat au Barreau de Paris

Florian BECAM, Avocat

Catherine Bastien, Avocat Honoraire, Barreau de Dijon

Marcel-Pierre Renart, juriste, Tableau de l’Ordre de Dijon

Magali Sappa, avocate au Barreau de Compiègne

Nathalie Blanchard, juriste

Yasmina Oulmi, avocate

Patrick SENDRAL, magistrat, conseiller à la Cour d’appel de Douai

Ulrich Schalchli, Magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature

Gérard BODELET, juriste

Stéphanie Palpacuer, Magistrat de l’ordre judiciaire, Substitut du procureur de la République

Bernard Louis BALTHAZARD, docteur en droit privé et sciences criminelles, juriste

Denis Guinaudeau, avocat au barreau des Hauts de Seine

Léa Mary, Avocat à la Cour

Patrice Berry, professeur de mathématiques

Maryse Regnier professeur des écoles

François Hou, Professeur agrégé d’histoire, Docteur en histoire contemporaine

Thomas NANNI, éducateur spécialisé

Marie Anne Andreani, professeur

Samia Ayadi , eneignante

Boris LIGNEL, éducateur

Olivier Pasquier de Franclieu, professeur agrégé de mathématiques

Florian CHEVILLOT, enseignant

Jean-Christophe Le Jalu, Professeur de mathématiques

Paule Bichi, Professeur des Ecoles

Léopold DARRITCHON, Professeur d’économie

Blanca Maudet, Enseignante

marc thibault professeur de philosophie

Elena Kichilov Wenger, Professeur agrégée d’anglais

Emy Levy- Professeur des écoles

Poiroux Freddy, Professeur des écoles

Brigitte LUPON, enseignante en Histoire-géographie et E.M.C.

Frédéric Bardeau, enseignant

Boris HENRY, docteur en Lettres et arts

Claire NICOLAS, professeure de Lettres Modernes

Stéphane HAISMANN, Professeur en génie mécanique

M‌ichèle Brison professeur d’histoire

Yves Desgranges, enseignant

Etienne LELIEVRE, Juriste et Enseignant

Lucile Bourcet, professeure, docteure en études germaniques

Dorothée Rouanoux, professeur d’histoire géographie

Anne Robertson, formatrice d’handicappés

Alexandre Gonzalez, professeur agrégé de sciences physique

Stéphane Ferrand, chargé d’études documentaires

Benjamin joffre artiste enseignant

Marie-Laurence Binet, éducatrice spécialisée

Jacqueline de Boisgrollier Enseignante

Raymond CASTILLO, professeur de philosophie, ancien réfugié politique

Nadine Yernaux, Formatrice

Chriseuane Coudray, enseignante (R)

Catherine Long, professeur de lycée

Nathalie PECH, professeur agrégée d’éco-gestion à l’IUT d’Annecy

francoise Martelli enseignante (R)

Georges Crochet, Professeur des écoles

Joëlle Roy, professeur de yoga professeur des écoles

Eugène Guignon, conteur, professeur

Isabelle Roux, enseignante

Candice Praud, Chargée de Professionnalisation – Formatrice Professionnelle d’Adultes

Valérie Civitella, Professeur de Lettres

Hélène Halegatte, enseignante

Bénédicte Denizot, prête-plume et formatrice

Gilbert GIRIEU proviseur honoraire

Frédéric GASTAL, enseignant

Salima Ehlinger. professeur de lettres modernes

Myriam de Vecchi, professeur des écoles

Daniel Da Silva, personnel lycée, Phd Physiologie (ancien CNRS)

Jocelyne Moinardeau, enseignante

Gwendoline Santoro, professeur des écoles

Christian Rousseau, professeur de lettres classiques

Guillaume JOSEPH, éducateur spécialisé et formateur en travail social

Joffrey Dieumegard, enseignant

Catherine Isambert Chantry – Professeur d’école

Alain Bergez, Enseignant professeur de piano

Arlette Schmitt, professeur agrégé de lettres Modernes

Cendrine Le Goupil, professeur des écoles

Christine SYLVA, éducatrice

Christine Cazenave, Education Nationale

Karine Astier, Responsable de formation

Anne Gensollen, enseignante

Marthe Métayer, formatrice, cours et modules d’enseignement en ligne

Thierry Borderie Enseignant conservatoire de Bordeaux retraité, formateur bénévole

Anne DESAUGE-TROUXE – action associative protection de l’Enfance

Liviu BALEA, ex -réfugié politique, professeur des Mathématiques

Joëlle Bentura, professeur des écoles

Myriam Derycke, Professeur de latin

Christiane Combe, professeur retraité et militante associative

Coutant Jean-Pierre, Professeur des Écoles

Michèle Forcioli enseignante

Jean-Guillaume BELLIER, ancien professeur agrégé de Géographie, thérapeute

Laurence PORTUGUES, professeur de lettres et de FLE

Tristan Dufay, enseignant

Serge Wagner, Professeur de mathématiques

Guillaume DELTEIL, Professeur agrégé

Anne Zelensky, professeur agrégée, Présidente de la Ligue du Droit des femmes

Marie-France FAURE, enseignante (R)

Monique AVISSE professeure de SVT (R)

Claire Juste, professeur de mathématiques

Caroline Apostolopoulos, Enseignante arts

MEUNIER Patrick, agrégé de Biochimie-Génie biologique

Michele  monteil professeur de mathématiques

Laurent sevagamy, Professeur EPS

Pascale Brun, enseignante en collège

Pascal Dupré, enseignant

Patricia Boulnois, enseignante

Thomas Guerin Professeur des écoles

Valérie GARREL, éducatrice spécialisée auprès de personnes handicapées

Laurent Gaillard, Professeur de sciences physiques

Emmanuelle Durot, enseignante

Pascal Emmanuel, bénévole auprès de personnes handicapées

Benoit EMO, enseignant en génie climatique

Sandra Ruh, Éducatrice en médico-social

Laure Dutruel enseignante

Jérôme brunet, professeur de musique

Philippe Alleaume, professeur des écoles

Xavier gannac, Educateur spécialisé

Daniel Ferro, enseignant

Rita Bozetti-Weiler, éducatrice en foyer de vie pour personnes en situation de handicap

Anne Valois, enseignante

Claire Antoine,  professeur de Lettres retraitée

Frédéric Vidal, chef d’établissement scolaire

Marc Giglio, musicien

Alexandre Triaca, comédien

Jacky Nonnon, traducteur, comedien

Florence Hermitte, Ingénieur du son, Directrice de label

Roland PILAIN, Directeur du Théâtre du Petit Monde

France Thiroloix, plasticienne

Jany Laborey, artiste plasticien

Frode BJORNSTAD, comédien

Roger KOBEL, magicien

Joseph Paul FAVATA, Musicien

Andréa VALIENNE, directrice artistique

Clément de Dadelsen, Metteur en scène et Auteur dramatique

Pauline Deshons, comédienne

Jocelyne Santos, artiste plasticienne

Eric Meary, libraire

Camille Schmitt, Restauration d’oeuvres d’arts

Marie-Christine Depreaux Destison auteure

Sabine Le Floch, Responsable de cinéma

Dimitri Bacro, artisan peintre

Asencio Julien, musicien

Frédéric Lumen, Musicien

Nathalie Barbelivien, comédienne

Gaëlle GUILLAUME musicienne

Arnaud Fleuri, Réalisateur

Fabienne Gokelaere, musicienne

Sylvie Gélard, patrimoine mediatheque/ Centre d’art

Michel Pech, Portraitiste dessinateur

Marie Flusin, illustratrice

Chloé Mary, éditrice

François Marquet, photographe

Frédéric Paume, artisan, musicien

Jean Tricot, Musicien

Dorien Kouyzer, critique littéraire

Olivier FOURNIER, Musicothérapeute

Evelyne Ménard photographe et fondatrice Fb de la maison des Citoyens d’Outre-Mer

Eric Heidenkopf, illustrateur – artiste

Xavier Chapron, Musicien

Thierry Marchal, artiste peintre

Mariane Borie, éditrice, docteur en philosophie

Thierry Le Youdec, sculpteur

Danielle FAVATA, Musicienne

Victor Castillo, Opérateur de prise de vue/ videaste/ Photographe

Béatrice Sprenger, Pianiste, compositeur, ancien professeur au conservatoire à Paris

Danielle Bouthillon (alias Évangéline Brunoy), chanteuse lyrique et metteur en scène de récital, Chroniqueuse littéraire

Serge Perez, Ecrivain

Philippe Bussière-Meyer, artiste-musicien, professeur d’enseignement artistique au Conservatoire de Belfort

Florence Bonnet, artiste

Frédéric Tari Musicien, compositeur, enseignant, formateur et coordinateur adjoint d’un centre culturel international à Montpellier

Gauthier Vranken, libraire et éditeur

Valérie Rouzeau, poète et traductrice

Caroline ROCHETTE, artiste peintre

Prabhu Edouard, artiste

Valérie Moreau comédienne

Stéphane Fricous, Professeur de danse

Jean-Michel carau. Artiste musicien et comédie

Serge Rivron, auteur

Julien Charluet, artiste de cirque

Christian Chevallier artiste

Béatrice Rosen, comédienne

Armelle Godefroy, ancienne styliste illustratrice

Gilbert ROSSION, auteur-comédien-metteur en scène

Emmanuelle Escal, auteure-compositrice-interprète

Philippe Lignières, cinéaste

Gilles CABANES, musicien

Christine Girard, Professeur de théâtre Conservatoire de Lille

Jérôme Vieuxtemps, Inspecteur de l’action sanitaire et sociale

Jean-Louis MAS, Ingénieur

Jean-Louis Coirat, Docteur en physique, Ingénieur

Patrick Lawson, Ingénieur d’études (retraité), sciences humaines, université

David DELCAMPE, Ingénieur des travaux publics de l’État, Cadre supérieur du ministère de la transition écologique

Jacques Aubry, ingénieur

Jean-Marc Sauret, Sociologue clinicien

Olivier Lambert, géographe

Jackleen Falhun, Ancienne responsable de laboratoire Suisse & Belge

Christophe PERRIER, Ingénieur

Camille Lanos, Médiatrice CNV et Psychopraticienne

François BRUYANT, Ingénieur

Bertrand Gauthier. Ingénieur géologue

Emmanuel GUILLAUME,automates d’analyses en biologie médicale

Jean-Claude CARRIER, Ingénieur

Philippe-Olivier PRIVAT, Ingénieur

Christian Bourdeloie, Chef de projets nucléaires

Miche LAVAREC Ingénieur
J-D Lecuyer, ingénieur
Philippe LAMBERT-RIQUE, informaticien, ingénieur territorial
Christelle Rault, Cadre de santé

Ghislaine Duret, ex directrice d’Ehpad

Francis HOH, Ingénieur

Vincent de Larminat, ingénieur

Éric Marin, Directeur d’établissement et de services sociaux et médico-sociaux

François Roy, avocat et intervenant social auprès des mal logés

Dominique Henryon, dirigeant de laboratoires pharmaceutiques, en retraite

Sébastien Magnier, créateur de la pétition « Covid Stop » et du document « Une autre vision de la Covid »

Bertrand VAN PETEGHEM, ingénieur et maire

Frederic Seve, Ingenieur

Luc Chelly, conférencier Université Evry-Paris Saclay

Franck VIDAL, Ingénieur

Agnès Ricciardi, Cadre Socio Éducatif

Damien Gauden, Ingénieur expert, Docteur ès sciences physique

Jacques Eutrope, doctorat d’histoire, ancien cadre de l’industrie

André MARTIN (R) , Ingénieur Général des Mines

Thomas Fournier, Ingénieur (INSA Toulouse)

Marie Van Egroo, ingénieur
Lionnel Cazenave, Retraité Direction Générale des Finances Publiques

Patrick Bruno, ingénieur

Jean-Luc Aqua, ingénieur de recherche en génie civil et environnement

Didier Minot, ingénieur agronome, responsable associatif, ancien chargé de mission à la DATAR

Jean-Pierre GERARD, Ingénieur informatique (Ecole Centrale Paris et MS du MIT)

Christian PELLERIN,  ingénieur

Christophe Baratault, formateur/consultant qualité de vie au travail et risques psycho-sociaux

Guy Deloison, Directeur Pénitentiaire d’Insertion et de Probation retraité

Odile Hélier, anthropologue

Alexis Pathé, Ingénieur ESITE, QSE

Valérie OZIEL, Cadre de la fonction publique

Marc Le Bolay, Ingénieur

Stephane Oziel, ingénieur en informatique

AUDE NOLLET, Ingénieure, thérapeute

BORDEAU charles, ingénieur retraité du CNRS

Christine Le Corneur, ingénieur

David Kony, ingénieur, docteur en Chimie

Gregory MESLY d’ARLOZ, Ingénieur Arts et Métiers. Chef de Projet prévention et gestion des Risques Naturels

Beatrice Lung cadre de la fonction publique

Dorothée Gatin, Ingénieur et enseignante en mathématiques

Abbé Guy Pagès, prêtre