Vaccination Covid : un collectif de Sages-femmes porte plainte contre le ministre de la Santé

Un collectif de sages-femmes porte plainte à la CJR (Cour de Justice de la République), contre M. Rousseau, ministre de la Santé, pour propos mensongers concernant l’absence d’effets secondaires de la vaccination contre le Covid.

Les sages-femmes sont empêchées d’accéder à l’information et interdites d’informer leurs patientes (pour un « choix libre et éclairé »).

 

Communiqué du collectif de sages-femmes « SF Clés »
Plainte à la CJR contre le ministre de la Santé

 

Notre collectif « SF Clés (Sages-Femmes pour un Choix Libre et Éclairé en Santé) » a porté plainte à la CJR (Cour de Justice de la République) contre Monsieur ROUSSEAU ministre de la santé pour ses propos mensongers du 3 octobre 2023 sur France-Inter concernant l’absence d’effets secondaires de la vaccination contre la COVID 19.

Notre collectif s’est joint à l’action du Pr PERRONNE, de Xavier AZALBERT
(journaliste) et de tous les Collectifs de Victimes.

Conscientes de l’enjeu de nos responsabilités de sages-femmes et de nos contacts réguliers avec les patients, nous nous sommes très vite interrogées devant les affirmations contradictoires des médecins, chercheurs et scientifiques, tant en France qu’à l’étranger, sur l’efficacité réelle des
vaccins et leur éventuels effets indésirables, notamment sur les femmes enceintes.
Nous avons suivi de très près les publications scientifiques depuis le début de l’émergence de l’épidémie de COVID afin d’apporter le maximum de sécurité médicale à nos patientes et leurs enfants à naître, tout en respectant notre code de déontologie.
Nous avons également questionné l’ordre des sages femmes, sans recevoir de réponse sur l’opportunité de la vaccination pour les femmes enceintes et ses potentiels effets secondaires, non seulement sur elles mais sur leurs enfants à naître, d’autant qu’il n’y avait aucune étude préalable, les femmes enceintes étant exclues des études des laboratoires.

Nous avons interrogé notre ordre précisément sur deux études à destination des femmes enceintes :

La première, l’étude COROPREG, qui a été annoncée par le ministre de la Santé au mois de mai 2020 et qui a pour objectif de connaître l’incidence de l’infection maternelle COVID19, sa gravité et les conséquences sur la morbi-mortalité maternelle et néonatale.
Aucune réponse n’a été faite par l’INSERM et il est étonnant que les conclusions de cette étude, annoncée il y a bientôt 3 ans, ne soient pas connues.

La seconde, l’étude COVACPREG qui a été lancée en avril 2021 dans le but « d’enrichir les connaissances sur les vaccins contre la COVID 19 et leurs éventuels effets indésirables chez les femmes ».
Pourtant, là encore, 2 années après avoir débutée, aucun résultat de
cette étude n’est disponible et l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) reste silencieuse…

Le Conseil National de l’ordre des sages-femmes dans son « FAQ sur la COVID 19 » a écrit[1] :
“Que risquent les sages-femmes qui participent à des opérations de désinformation ou qui dissuadent leurs patientes de se faire vacciner ?”

Et sous l’onglet “voir la réponse ” :
“Les autorités qui en seraient avisées peuvent porter plainte contre celles-ci pour mise en danger de la vie d’autrui tandis que le Conseil Départemental peut porter plainte pour manquements déontologiques”

Cette menace nous inquiète dans la mesure où les résultats des études à destination des femmes enceintes ne sont pas disponibles, nous privant de ressources concernant l’efficacité et l’innocuité des derniers vaccins contre la Covid 19[2].

Dès lors comment affirmer, comme le fait le ministre de la Santé, qu’il n’y aurait pas d’effets indésirables de la vaccination ?
Cette affirmation est trompeuse au regard des effets indésirables déclarés à l’ANSM.
De plus, nous constatons que les femmes sont fréquemment touchées par des troubles du cycle suite à la vaccination contre la Covid 19.
Nous nous sentons empêchées par la menace menacées d’exercer notre devoir de donner une information claire, honnête et transparente à nos patientes.
Comment respecter notre code de déontologie qui nous interdit de promouvoir un traitement insuffisamment validé sur le plan scientifique (art R.4127-314 du Code de la santé publique) ?
D’autant que nous avons interdiction d’aliéner notre indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit (article R.4127-307).

Contrairement au ministre de la Santé, nous ne pouvons pas dire à une femme que la vaccination contre la COVID 19 est sans risque.

C’est la raison de notre action.
[1] https://www.ordre-sages-femmes.fr/faq-covid-19/
[2] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-09/rapport_evaluation_place_des_vaccins_cominarty_bivalents_original.omicron_ba.1_et_origninal._omicron_ba.4-5.pdf

Contact : sf.cles@protonmail.com

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Sur le sujet des effets secondaires, voir également les plaintes en Allemagne :

https://www.dw.com/fr/sante-vaccination-covid-effets-secondaires-plaintes-allemagne/a-66079029

 

 

 

Surveillance de masse en France : la vidéosurveillance algorithmique entre dans le droit français

La France, premier pays d’Europe à légaliser la surveillance biométrique

Par LaQuadrature du net

L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques a été adopté ce midi (23 mars 2023) par l’Assemblée, actant l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français, jusqu’en décembre 2024.
À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées. Pour cela, il a usé de stratégies, de mensonges et de récits fictifs, pour que jamais ne soient sérieusement et concrètement discutés le fonctionnement technique de ces outils et leurs conséquences politiques et juridiques en termes de surveillance de masse. Grâce à une majorité totalement désinvestie et au soutien total de l’extrême droite, la VSA a donc pu être légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.

… … …

Surveillance légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.

  • Le mensonge de la biométrie
  • Le mensonge de l’utilité
  • Le mensonge technique

Retrouvez les détails et l’article entier  https://www.laquadrature.net/2023/03/23/la-france-premier-pays-deurope-a-legaliser-la-surveillance-biometrique/

… … …

“Nous n’allons pas lâcher le combat, nous continuerons de dénoncer les mensonges du gouvernement, nous serons présents dès que la première expérimentation sera mise en œuvre pour documenter les abus inévitables auxquels conduisent ces technologies. Nous chercherons des moyens de les contester devant les tribunaux, et nous nous battrons pour que cette expérimentation ne conduise pas, comme c’est hélas probable, à leur pérennisation.
Et nous continuerons de refuser ces technologies et la Technopolice qu’elles incarnent, notamment en nous battant au niveau européen pour obtenir leur interdiction.”

 

JO : feu vert pour la vidéosurveillance par intelligence artificielle

Source Reporterre.net
Article à retrouver dans son entier par ici : https://reporterre.net/JO-feu-vert-pour-la-videosurveillance-par-intelligence-artificielle

À la faveur des Jeux olympiques, la vidéosurveillance algorithmique fait son entrée dans le droit français. Jeudi 23 mars, l’Assemblée nationale a adopté — avec 59 voix pour (majorité présidentielle, Les Républicains, Rassemblement national) — l’article 7 du projet de loi relatif aux Jeux olympiques et paralympiques. Il légalise, à des fins d’expérimentation, la vidéosurveillance automatisée jusqu’à la fin de l’année 2024. Les associations de défense des libertés individuelles dénoncent une atteinte au droit à la vie privée et à la liberté d’expression.

Avec la surveillance « automatisée » (ou « algorithmique »), un logiciel est chargé d’analyser les images de surveillance fournies par des caméras fixes ou des drones. Cette intelligence artificielle envoie une alerte à la police dès qu’elle détecte un comportement ou une situation qu’elle a été entraînée à identifier comme suspect. C’est l’État — ou les entreprises privées qui fournissent ces logiciels — qui détermine ce qui doit être considéré comme tel. Aucune étude n’a jamais prouvé son efficacité pour lutter contre la criminalité.

Le gouvernement justifie la mise en place de ce dispositif par la nécessité d’« assurer la sécurité » des Jeux olympiques de 2024, qui doivent accueillir 13 millions de spectateurs. Les associations de défense des libertés individuelles redoutent cependant un « cheval de Troie », prélude à une installation plus durable de la vidéosurveillance automatisée dans l’espace public. « On l’a vu avec les boîtes noires [qui permettent aux services de renseignement d’analyser automatiquement les métadonnées des communications internet] ou l’état d’urgence, nous expliquait en janvier Noémie Levain, de La Quadrature du net. Ces dispositifs supposément temporaires sont toujours pérennisés. »

JO 2024 : la France championne de la surveillance de masse

https://reporterre.net/JO-2024-la-France-championne-de-la-surveillance-de-masse

Rejoignez la plainte collective contre la technopolice

Plainte collective contre la Technopolice

 

L’association “Bon sens” porte plainte contre Castex, Véran et Blanquer

Vidéo dans laquelle Maitre Virginie de Araujo ( avocate de l’association BonSens) NOUS explique pourquoi elle a déposée une plainte au pénales contre Caxtex, Véran et Blanquer.

Le texte de la plainte et la vidéo d’explication

sur le site lecourrierdesstrateges.fr :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/12/18/virginie-de-araujo-pourquoi-nous-accusons-castex-et-veran-dempoisonnement/